Top Posters
Since Sunday
s
5
g
5
K
5
o
5
g
5
o
4
k
4
s
4
I
4
k
4
j
4
o
4
A free membership is required to access uploaded content. Login or Register.

Confucianisme

Uploaded: 6 years ago
Contributor: Guest
Category: Cultural Studies
Type: Lecture Notes
Rating: N/A
Helpful
Unhelpful
Filename:   Confucianisme.docx (58.42 kB)
Page Count: 9
Credit Cost: 1
Views: 86
Last Download: N/A
Transcript
Civilisation de L’Asie Orientale – Confucianisme et Taoïsme - 1) INTRODUCTION AU CONFUCIANISME Introduction Confucius, dont le nom latinisé par les missionnaires jésuites du XVIIe siècle est composé de son nom de famille (Kong) et de deux appellations honorifiques, qui signifient «maître» (fu et zi) Confucius est à l’origine de la sagesse. Ce n’est ni une croyance, ni une religion, c’est un enseignement. Et celui-ci est considéré comme le meilleur. Confucius (Kongzi, 551-479 av. J.-C.) Environnement historique et social Confucius à vécu à une époque correspondant à une dynastie importante, fondateur de l’Etat Chinois : les Zhou. Cette dynastie a vécu 1000 ans (850-221 av. BC) sous un régime de royauté et non d’empire : existence d’un système féodal avec un Roi, des seigneurs, des vassaux, etc. … grande hiérarchie Les rois réalisaient des exercices de rituel pour gouverner le peuple mais ce n’est qu’un vision magique de la royauté Confucius vit à la période dit : printemps/automne (722-481 av. BC) C’est l’entrée dans une période où il y a une grande ambition guerrière, des questionnements sur la morale, et la perte des anciens repères. À l'époque où la Chine traversait une période troublée par la rivalité de ses princes, elle tenta d'inculquer aux souverains l'art de gouverner par la vertu, un idéal qui a marqué tout l'Extrême-Orient de mouvance chinoise. Eléments biographiques Confucius est né dans le royaume de Lu (province du Shandong) d’une famille d’aristocrate (il est donc de bonne naissance) spécialisée dans les rites à la cour du roi. En temps de guerre, le pays est divisé. Cette situation amène l’apparition de personnes toutes les classes aristocratiques qui tiennent un discours sur les recettes de bon gouvernement. Confucius est le 1er qui va utiliser le discours pour tenir un langage personnel. Son discourt n’est ni en rapport avec le roi ni l’histoire ni la divination (en effet les anciens textes étaient très officielles, donc inexistence des textes à la 1ère personne). Confucius va voyager, il va tenir durant ses voyages un discours (sur les textes anciens, l’histoire, les rites… étude des 6 classiques) qui tendance à ennuyer les autres roi, et de ce faite ne se fera pas employer. Confucius va fonder une école avec 72 disciples. C’est les disciples qui ont réunie les paroles de Confucius dans un petit livre (lunyu) qui sont ses « entretiens ». Confucius n’a rien écris !! Le haut idéal personnel, social et politique de l’enseignement confucéen, ou : qu’est-ce qu’être un « prince » au sens moral ? Junzi = prince Confucius à une vision du monde qui est cosmique, le monde des hommes est l’harmonisation du monde du ciel et du monde social (famille et relation familiale). Les relations entre les hommes sont encrées dans la nature qui ordonne le monde des homme et tout ce qui existe. Le roi harmonise le monde, le corps social avec des rites ; or Confucius pense que toutes ces très anciennes valeurs sont plus intérieures et plus morales. Confucius lui ouvre plutôt la porte de la morale à défaut de celui des divinités. Pour lui une personne morale est un junzi sans besoin d’avoir une couronne (c’est un roi sans royaume). Il est le fondateur de la morale chinoise Notion de Ren : la vertu d’humanité est au cœur de l’enseignement : rapport entre 2 personnes. Dans la tradition chrétienne l’homme est un humain qui lui est à l’image de Dieu dont les hommes sont fondamentalement égaux. Confucius pense tout le contraire, pour lui le rapport d’homme à homme se fait en acceptant la frontière d’inégalité des hommes. Les inégalités de la société sont voulues par la nature et il faut accepter sa position pour être en harmonie. Les variations, les transformations sont les résultats du Tao la vie La vertu d’humanité c’est l’intégration des différences avec les hommes, les rapports avantageux mutuelle. Loyauté, confiance, etc. … Notion de Li : rituel Tout les rapport entre les hommes sont inscris dans un rapport de prescription, souvent intérieur qui permet dans un exercice contraint intérieur d’harmonisation. Obéir aux rites c’est s’harmoniser avec l’univers (Confucius pense que c’est le Dao), avec un ordre invisible : la moral Si chacun à sa place, accomplit les rites qui lui incombent, et celui qui doit intérioriser intériorise alors le monde est harmonisé. Les paroles de Confucius sont d’ordre aussi bien social que politique. Le discours du maître : parler pour ne rien dire ?... Si quand je soulève un coin, il n’en devine pas les 3 autres je ne m’en occupe plus. La parole du Dao ne peut pas se dire, car c’est trop absolu. La parole de Confucius mène sur la voie : il commence l’explication mais ne continue pas c’est un sage pas un philosophe. Il ne cherche pas la vérité. Le maître (le sage) est dans idée et sans moi (n’a pas de position) neutralité = Dao Les continuateurs de la tradition moraliste de Confucius dans l’antiquité Mencius (Menzi ; 372-289) Vit à l’époque des royaumes combattants, il est originaire d’un petit état de la presqu’île de Shandong Elève d’élève Mencius est le grand théoricien de la moral : le Rousseau de la Chine. Tout homme à un cœur et la nature humaine se porte sur le bien, ou tous les humains sont reliés les uns au autres  Dao Influence par la morale et la confiance. Il est apparut comme le fondateur de l’idéalisme confucéen à plusieurs reprise. Xunzi (vers 298-235) N’a pas de destiné 1er à avoir pausé le problème de la morale social, et à une dessein égoïste prétend que l’homme est mauvais de nature donc peut être dompté par la morale. Il a une pensée trop occidentale et n’aura pas d’influence. Le confucianisme dans l’histoire chinoise La référence officielle du nouvel Etat impérial (les Han, 202 BC -220 AD. J.-C. En 221 c’est la réunification de l’empire. Ce 1er empire laisse vite la place à la dynastie des Han, qui a intégré de manière massive la pensée de Confucius aux système de l’Etat. Il y avait une coexistence entre les écoles confucéennes et les écoles légiste. Ce sont les théories de ces écoles et les manipulations politiques qui ont permis au 1er empereur de fonder le 1er empire. Les textes classiques vont être commentés selon les théories et morales confucéens et seront adopté comme étant des normes. Ce système d’intégration des idées confucéen à l’Etant se fait dans le courant du 4e siècles BC Eclipse : le temps des mysticismes et des religions (IIIème siècle – Xème siècle) C’est une époque qui couvre 6 dynasties, dont les Sui et les Tang. A l’époque des Tang l’empire est alors divisé. C’est la grande époque du bouddhisme et du taoïsme. Au sein de la cour des Tang, on reçoit depuis l’Inde l’enseignement du Dalaï-Lama. C’est une époque ou il y a une ferveur religieuse, dont l’enseignement de Confucius un peu oublier car l’enseignement du divin est moins bien pris en charge par Confucius. Le renouveau philosophique des Song (960-1279) ; le « néo-confucianisme » En 907 l’empire des Tang se casse en morceau de manière rapide, avant d’être réunis par les Song. Le néo-confucianisme est représenté par un certain nombre de penseur dont Zhu Xi (1150-1200). Zhu Xi explique au peuple qu’ils ont perdu l’enseignement confucéen. Donc pendant la période des Song, il y a une reprise de la pensée confucéenne en même temps qu’un rejet du bouddhisme. La pensée bouddhique est très différente de la pensée chinoise puisqu’elle est d’origine indienne. 3429006096000 center160655Bouddhisme 00Bouddhisme Séparation des 2 mondes 148590015303500285750015303500 3429000137795Monde transcendant : Là ou réside la vérité absolu, monde supérieur au notre 00Monde transcendant : Là ou réside la vérité absolu, monde supérieur au notre 571500137795Monde des phénomènes : Celui ou l’on vit 00Monde des phénomènes : Celui ou l’on vit 3429005397500 160020031115Confucianisme 00Confucianisme Tout n’est pas visible mais coexistence 2286000234950014859002349500 251460069215Monde Yang 00Monde Yang 91440069215Monde Yin 00Monde Yin Il y a une analyse très fine de l’univers par rapport à l’homme et l’osmose, ou au fond le Dao est animé par une sorte de raison spontanée : le Li ou tout est bien ordonnée qui lui-même est invisible. Il est caractérisé dans le monde par le Qi (le souffle) La notion de Xing = la nature humaine est à la confluence de la notion de Li et de Qi. Le néo-confucianisme à tendance à figer la société de par son coté conservateur. Cependant il montre de manière philosophique et avec beaucoup d’argument comment les inégalités sont ordonnées dans l’univers. Sous les Song il y aura donc l’existence d’une philosophie qui permettra de gouverner beaucoup de monde. Le néo-confucianisme aura par ailleurs une très mauvaise réputation. Idéologie de l’Etat : la référence cardinale des lettrés fonctionnaires A partir des Song l’empire chinois va s’éteindre au bout de mille ans. Le confucianisme va devenir une idéologie de l’Etat avec les concours mandarinaux. Pendant le dernier millénaire, l’empereur recrutait les grands administrateur par des concours difficile, sélectif, régulier (tous les 3 ans).aux qualités confucéennes. Le programme était sur l’ensemble des classiques de l’antiquité avec des commentaires néo-confucianistes. C’était à l’époque les normes du savoir et de la sagesse. Les classiques ne se déclinaient plus au nombre de 5 mais au nombre de 13. Les lettrés connaissaient pas cœur ses textes, et parfois passait tout une vie à étudier (pour ceux qui en avait les moyens). C’est une manière d’acquérir le savoir le plus universel possible. Les fonctionnaires étaient très polyvalents. Et la Chine à une population immense. Le confucianisme dans le / face au monde moderne : entre rejet et idéalisation La chine de l’extrême orient en fin du 19ème siècle aura un choc colossale à cause de l’occident (composante colonial = Vietnam). Il y aura une remise en question par la plupart des personnes. Ces personnes sont fasciné part l’occident qui obéissent à des lois légales et non pas à des rites. Il y a une introduction d’une nouvelle pensée avec un rejet du model confucéen considérer comme trop étouffant. La tendance récente de Confucius est comme un refuge, une garanti contre les dérives du monde moderne avec une protection. La nouvelle pensée donne plus de liberté mais isole l’individu contrairement à la pensée confucéenne. La pensée confucéenne revient en force dans l’Asie orientale ou les données du monde moderne s’entrechoquent avec le monde de Confucius. Conclusion : pourquoi le confucianisme ? Le pari que les Chinois ont fait, à savoir imaginer un monde qui à sa propre régulation sans transcendance est une belle réussite. Le monde c’est de l’harmonie avec la dimension sociale sans renoncer à l’inégalité. 2) Introduction au taoïsme. Introduction Comme les autres concepts fondamentaux de l’esprit chinois, celui de dao est antérieur aux grandes philosophies classiques. Dao signifie « le chemin, la voie » mais aussi « communiquer, exprimer ». Le Dao à une valeur métaphysique ; il régit l’alternance du yin et du yang, gouverne les grands rythmes de l’univers, est le processus même du mouvement qui est à l’œuvre dans tous les processus naturels. Les philosophes taoïstes n’ont pas inventé le Dao, mais ils le développent après en avoir fait le concept de base de leur philosophie. Il n’y a pas de créateur, on se contente de faire un constat, tout naît, croit, décline et est remplacé : c’est une voie sans fin. Mais attention il faut faire une différence entre le taoïsme philosophique et le taoïsme religieux Chez Confucius, il y a un message social et rituel, le dao s’atteint à travers les relations sociales, vivre en harmonie. /!\ Le taoïsme fait partie des trois enseignements, avec le bouddhisme et le confucianisme Le dao des taoïstes. Le dao des taoïstes est quelque chose de l’ordre de l’absolue, une réalité ultime, qui nous transcende. C’est une chose qui est au dessus de nous. Une existence est réussit quand on a rejoint le dao. Cela consiste en une démarche plus individuelle que celle de Confucius, il faut s’unir avec la nature. C’est plus individualiste, donc beaucoup moins social, les taoïstes se considèrent comme des personnes se fichant des rituels. L’union avec la nature est une chose mystique, on ne s’occupe plus trop de la vie sociale. Il est donc clair que le taoïsme s’opposera au Confucianisme. C’est aussi une opposition du naturel contre le culturel. Une doctrine mouvante, un ensemble de conception fortement transformée par l’histoire. Les écoles chinoises ne sont pas le fruit d’une révélation, il n’y a pas de prophètes, ces écoles se créent au grès des accidents de l’histoire. Le taoïsme rassemble des tas de choses : Pendant l’antiquité c’était plutôt une vision philosophique du taoïsme. Tout au long de l’histoire le taoïsme va se charger de choses mystique et religieuse. Au début on avait une philosophie adossés a de vieilles croyances puis on a eu un mysticisme puis une religion. Tout au long de l’histoire, de nouvelles révélations ou de nouvelles impulsions sont venus l’enrichir, on comprendra alors combien le taoïsme est une religion ouverte, en perpétuelle progression et évolution, ce qui est la différence avec le confucianisme qui possède un état civil. La taoïsme n’a cessé de cheminer’ de se transformer et d’absorber ; L’antiquité : le taoïsme philosophique et mystique ; Le Daodejing « livre de la voie et de la vertu » est indissociablement lié au taoïsme et occupe une place de premier choix dans l’expression philosophique de ce dernier. Dans ce livre le dao est définie comme quelque chose de « ineffable et indéfinissable », il est l’universel ; il est le processus de transformation perpétuelle du mouvement cyclique : « tout ce qui tant vers un extrême est fatalement transformé en son contraire puis revient à son point de départ. Zhuangzi (vers 370-300) Le Zhuangzi du nom de son auteur est l’ouvrage fondamentale du taoïsme philosophique il est presque aussi connut que le Daodejing, il est rangé parmi les textes fondateur du taoïsme. Zhuangzi vécut pendant la période des royaumes combattant, c’est la dernière grande phase de l’antiquité. Cette période est caractérisée par de nombreux combat mais aussi par une grande floraison de la pensée chinoise. C’est à cette période qu’apparaît Zhuangzi qui élève une voie avec une très grande originalité. Zhuangzi se méfie de langage, ce qui motive le taoïste est la fusion avec la nature, or la fusion totale n’existe que quand il n’y a pas de langage. Zhuangzi refuse la recherche de savoir, il parle des « jeûne de cœur » car pour les chinois le cœur (xin) est le siège de la pensée. Pour atteindre le dao, les hommes doivent vivre dans l’ignorance et sans envies, grâce à cette vie simple ils acquièrent leur vraie nature. Zhuangzi reprend en partie a Laozi les thèmes de l’unité, de la sérénité, du refus du monde, mais il se différencie de Laozi par une plus grande intériorisation ; le non agir n’a plus une connotation social ou politique mais devient un état de conscience. Zhuangzi est caractérisé principalement par une totale liberté mentale et physique : il est hors du monde, il navigue. Laozi (III siècle avant J.C.) et le daodejing. Laozi aurait écrit ce livre a la fin de sa vie, il fut aussi l’objet de nombreuse légendes, c’est pour ces raison qu’il est difficile de cerner cette homme. Laozi s’exprime avec des énigmes et il emploie beaucoup de caractère autorisant des interprétations différentes. Quelques-uns y voit un guide de culture corporelle et spirituelle mais d’autre y voit un guide de stratégie militaire. Le Daodejing conseille au souverain de gouverner discrètement, l’idéal est la « non intervention » (Wuwei). Pour une efficacité maximale il ne faut pas essayer de se renforcer mais plutôt de se diminuer, car la position idéale de celui qui veut n’est pas la position de conquérant. Le Daodejing apporte une autre vision du monde fondé sur la sérénité, le retrait des « affaires » du monde, le refus des valeurs établit en tant que trop recherchées, il faut vivre dans un monde de spontanéité. La force originelle est associée à l’enfant, car l’enfant à une force intacte et pur, sa force n’a jamais servit. D’après Laozi le dao est une vérité ultime, une transcendance ; invisible, inaudible, imperceptible, non praticable et non nommable. La vérité ultime est une, elle agit spontanément, sans qu’il soit besoin de l’intervention de la conscience de l’homme, la pensée ne peut i atteindre puisqu’elle est forcement dualisme et on ne peut la rejoindre qu’en la laissant opérer naturellement. Le grand bouillonnement des han aux six dynasties Du taoïsme ésotérique… « huang-Lao » Huang-Lao est une école qui constitue l’un des maillons importants dans l’histoire du taoïsme, et qui tient son nom de l’empereur Huang-di (l’empereur jaune), et de Laozi. Elle avait son centre dans le pays de Qi au nord. Cette école prônait le renoncement aux richesses et l’application des recettes de longévité, et mettait en pratique l’art du gouvernement par le non agir. Alchimie et immortalité. Le grand respect que l’on attachait depuis toujours en chine au grand âge ne fut jamais limité au cercle taoïste, même si une longue vie, et au delà l’acquisition de l’immortalité devinrent un objectif explicite pour eux. Les pratiques individuelles qui visent ce but se reposaient sur diverses technique et méthodes par lesquelles on tentait d’anéantir les causes de la déchéance corporelle et de la mort. L’immortalité est physique. Une bonne partie des pratiques visent à purifier et à sublimer le corps. Les taoïstes ont une vision de corps particulière. Pour eux le corps de l’homme est un microcosme, l’univers les planètes et la terre. Dans cet art tel que le cultivait les taoïstes, on distingue deux catégories : l’alchimie externe (cherche à obtenir a partir de substances les plus pures possibles, un élixir rendant le corps immortel.) et l’alchimie interne (elle usait exclusivement de techniques méditatives combinée a des techniques respiratoires ou autres, qui provoquait dans le corps un processus conduisant a l’immortalité. Le souffle du dao chez les penseurs , les artistes et les poètes. Le mouvement des penseurs s’exprimes par des attitudes anticonformistes : mépris des rites, laisser aller, indifférence à l’égard de la vie politique, goût de la spontanéité, et amour de la nature. L’indépendance et la liberté d’esprit, l’horreur des conventions sont caractéristiques de toute l’époque troublée qui s’étend du 3ème siècle au 6ème siècle. Il y a une tendance opposée à la tradition classique L’intérêt accordé à la nature telle qu’elle apparaît a travers les conceptions taoïste séjours d’immortels, lieux saints où peut être menée une vie libre et pure, est à l’origine d’un enrichissement parallèle des traditions poétiques et picturales. … à la religion Taoïste. Le grand malaise des Hans orientaux. Le taoïsme en tant que mouvement religieux organisé débute vers le milieu de deuxième siècle A-D., quand deux chefs charismatiques indépendant l’un de l’autre réunissent leur disciple. A l’est, zhang Jue propagea sa vision de l’avènement de la grande paix (Taiping), qui serait le commencement du paradis sur terre quand le ciel bleu ferait place au ciel jaune. Les disciples de se mouvement se coiffèrent alors d’un turban jaune. A L’ouest, c’est Zhang daoling ou plus exactement son petit fils Zhang Lu qui profitant de la faiblesse des Han, réussit à développer un royaume largement indépendant dans la région de Hanzhong. Chaque ménage devait donner cinq boisseaux de riz en forme d’impôt, c’est ainsi que cette forme de taoïsme est aussi appeler « Voie des cinq boisseau de riz » Beaucoup de trouble a la fin de la dynastie des Han est du au disciples de Zhang Jue et qui était très reconnaissable car ils portaient le turban jaune. Les maîtres célestes. Le véritable fondateur de l’époque terminal de la dynastie des Han postérieur est Zhang lu (vers 190-220), il prêche au Sichuan et se donne le titre de « maître céleste », il avait organisé un état indépendant jouissant grâce à des taxes prélevé sur ses fidèles d’une véritable autonomie. Tous ses descendants portèrent le titre de maître céleste. Une composante essentielle de la religion syncrétique chinoise. En concurrence avec le bouddhisme L’empereur Taïwu des Wei était tout pénétré de vénération pour la doctrine Taoïsme, il fit brûler les écritures bouddhiques, les statues de bouddha, les temples et les pagodes. Les bonzes furent massivement persécutés. Le taoïsme devint la religion officielle sous les Wei. La « religion populaire. » A partir des textes funéraires des Han révèle que la divinité suprême était appelée soit « empereur céleste », soit « empereur jaune », soit encore « le dieu jaune du boisseau ». Outre cette mention du boisseau, nous rencontrons un envoyer de dieu armé jusqu’au dent, on reconnaît le prototype des démons protecteurs et exorcistes du taoïsme. Taoïsme et messianisme ; la méfiance de l’état. Conclusion De nos jours, le taoïsme s’est réduit à deux tendances extrêmes et complémentaires, représentées par le rituel et par l’alchimie interne. Le rituel relève désormais des seul maîtres célestes, alors que les maîtres de l’alchimie intérieure se réclame en général de l’école Quanzhen. Foncièrement nominaliste comme le bouddhisme et au contraire du confucianisme et du légisme de tendance réaliste, Il a dès son origine posée au fondement de son discours l’impuissance de la parole et de la pensée.

Explore
Post your homework questions and get free online help from our incredible volunteers
  981 People Browsing
Your Opinion
Who will win the 2024 president election?
Votes: 7
Closes: November 4