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LA GESTION OBLIGATAIRE
- 1 : les titres du marché obligataire
- 2 : la cotation des titres obligataires
- 3 : le rendement des titres obligataires
- 4 : le risque des titres obligataires
- 5 : la gestion du portefeuille obligataire
- 6 : l ’approche bilantielle
les titres du marché obligataire
mode de remboursement
Amortissement : 3 choix a l’origine :
in fine : désormais le seul choix possible ou du moins le plus courant
capital remboursé en une fois en totalité à l’échéance
amortissement constant :
ex : 4 ans 10% AC emprunt n x 100
VP 1 = 110 / (1+ r)
VP 2 = 10 / (1+r) + 110 / (1+ r)²
VP 3 = 10 / (1+r) + 10 / (1+ r)² + 110 / (1+ r)3
VP 4 = 10 / (1+r) + 10 / (1+ r)² + 10 / (1+ r)3 + 110 / (1+ r)4
VP = Valeur présente
tirage au sort :problème de risque gratuit augmentation du coût
SEA (Série Equivalente Annuelle) = Annuité constante là aussi obligation de tirage au sort
taux d ’intérêt facial
taux d ’intérêt fixe
taux d’intérêt fixe : recherche bien évidemment du taux le plus faible
choix d’un taux fixe : anticipation d’une hausse de taux / ou choix d’une charge d’emprunt fixe
possibilité de changer en taux flottant
en rachetant l’emprunt
en le swapant ( les encours de swaps est 4 fois supérieure à celui des obligations)
comment choisir un taux fixe :
BMK + SPREAD
BMK = Benchmark
SPREAD = prime de risque dependant de la notation (rating)
BMK = SD =Sovereign Debt
C’est donc pourquoi des pays empruntent dans des monnaies différentes ayant une meilleure notation, donc un spread moins élevé, et donc des conditions plus avantageuse. (attention risque de change !!)
Exemple sur REUTERS = 5,10% = 7mois t 10 ans emprunt 10 ans dans 7 mois :
BMK + SPREAD
4,95 % + 15 centimes ou points de base
taux d ’intérêt flottant
taux d ’intérêt infra-annuel :
USA : Taux Trimestriel ! dû aux fonds de pension qui demande des rémunérations trimestriel : Attention à ne pas confondre les taux annuels et trimestriels.
Taux facial ou taux nominal : il relit le revenu payé (coupon) à la valeur nominal du titre
Taux de rendement actuariel : ( Yield To Maturity) = taux d’actualisation ou à maturité ou taux de rendement exigé par le marché à l’instant t (r dans la formule précédente)
Différence entre les 2 TAUX le premier est fixé par contrat et est connu ou peut être calculé ou anticipé ; le deuxième est plus libre et influe sur le prix.
Obligation = somme de flux = VP =
durée de vie et maturité
Taux d’intérêt dépendent de la durée
Court terme 1-2 ans : BTF(Fr), T-Bund(Us)
Moyen terme 2-5 ans = Treasurie Note (US) ; Bubble(All), BTAN(Fr)
Long terme 6-10 ans : OAT (Fr)
Maturité = durée de vie résiduelle du titre (vie moyenne dans « les Echos »)
nature de l ’émetteur
Etat ou entreprise privée
la cotation des titres obligataires
marché primaire
marché du neuf
marché à terme : anticipation du taux : exemple Euribor 3mois le 28/02/01 sur « les échos »
sur le CME : €$ MAR2 = 95,03 (« comp ») = 100 - €$3mois = 4,97%
sur le LIFFE : euribor3mois = 4,33%
exemple = émission en fév2001 10 ans TF (TX fixe) nov 2001
Fev-01 = 4,95 % spot 20bp futures
2171700115570001028700127000800100127000
= 4,90 % TN = 5,10%
TRA = 5,15%
100 – 99, 61 = 0, 39 % = “prime d’émission”
PR = PE (1 + r)10
= 0,39%(1,0515)10 avec : PR = Prime de remboursement
= 0,64 % PE = Prime d’émission
251460016700500
émission à 99,61 % du pair &
342900045085On baisse le prix d’émission ou on augmente le prix de remboursement pour satisfaire les exigences de rentabilité du marché
00On baisse le prix d’émission ou on augmente le prix de remboursement pour satisfaire les exigences de rentabilité du marché
remboursement au pair
ou
Emission au pair
remboursement à 100,64% du pair
marché secondaire titre à taux fixe
marché secondaire titre à taux flottant
obligation à zéro coupon et obligations démembrées
« 0 coupon »=titre qui ne donne pas de revenus.
Cotation du 28/02/01 de l’emprunt d’état échéance 2029 : 22,2 on va donc le payé 22,2% de sa valeur et on sera remboursé 100 à l’échéance taux actuariel constaté 5,49 qui est très proche ici de son taux de rendement
Obligation démembré (cf. efi 492)
STRIPPED BOND en USA LION
En France l’Etat a créé le Félin :
Fonds
Etat
Libéré
Intérêt
Nominal
Obligation démembré = Vente par appartement
Même l’Etat français vend des OAT démembré
obligation indexée
Adjudication = vente aux enchères
Exemple OAT 3%
Capital indexé IPC (indice des Prix à la Capitalisation)
= symbole mathématique qui signifie qu’on travaille sur une variable anticipée car on ne connaît pas l’inflation sur les prochains mois.
le rendement des titres obligataires
taux de rendement actuariel en fonction de la durée
taux de rendement actuariel en fonction de l ’émetteur
le risque des titres obligataires
Le risque est attaché à la notion de durée.
Si on achète un produit 3 et 7 ans à revenu fixe. Après l’achat taux augmente.
Résultat : le meilleur placement était 3 ans car au bout de 3 ans on peut réinvestir pendant 4 ans à des conditions plus favorables. (raisonnement inverse avec une baisse des taux).
La durée de vie d’un titre va permettre de retrouver le risque.
vie moyenne
On cherche le centre de gravité des revenus, pour cela on va calculer la vie moyenne.
Ex :
Soit 2 titres A &B
A : 5 ans 0% in fine
Vie moyenne (VM) =
B : 5 ans 0% amortissement constant
VM =
La vie moyenne n’est pas la durée de récupération du titre.
Durée de récupération titre A et B = 5 ans.
Vie moyenne = centre de gravité de la balance
Si VM =
11430073025150
00150
1028700126365VM ?
00VM ?
22860012128500
41148006032500
41148004445110
00110
320040011874510
0010
342900011874510
0010
365760011874510
0010
285750011874510
0010
34290011366500
388620016700500365760016700500342900016700500320040016700500
262890010604500
011366500
duration
La différence entre vie moyenne et duration est due au fait que l’on n’a pas actualisé les flux.
Vie moyenne =
DURATION =
sensibilité
La sensibilité mesure la variation de prix induite par la variation de un point du taux de rendement actuariel (TRA)
S =
La sensibilité est un calcul d’élasticité prix, donc un calcul de dérivé.
= Indicateur de risque potentiel
VP
457200160655001143004572000
45720014478000
115.32
-228600152400010287001524000
107.499
114300000
010668000
4.55% 8.50% TRA
contexte de hausse des taux choix d’un portefeuille défensif
faible sensibilité
duration courte
contexte de baisse des taux recherche d’un portefeuille offensif
forte sensibilité
duration longue
convexité
calcul de dérivé seconde pour permettre de différencier des titres
critère :
il faut chercher la convexité la plus forte.
Dérivé tiers = accélération de convexité
la gestion du portefeuille obligataire
duration d ’un portefeuille obligataire
= moyenne des durations individuelles.
duration et gestion passive : l ’immunisation
On constitue un portefeuille pour 5 ans par exemple, et on n’y touche plus : il est ficeler
Méthode :
on choisi un horizon de placement (5 ans par exemple),
on constitue un portefeuille dont la duration moyenne est équivalente à l’horizon de placement
RESULTAT :
LE PORTEFEUILLE EST IMMUNISE :
le TRA à l’achat est garanti sur l’horizon de placement
EXEMPLE d’horizon de placement 5ans :
MATURITE
DURATION
PROPORTION
A
5.8
5.5
50%
B
4.8
4.5
50%
Pour B, il faut placer le complément pendant 0,2 années restant sur le monétaire
duration et gestion active
Le portefeuille évolue en fonction des mouvements
La duration reflète les anticipations
Si le contexte est à la baisse des taux recherche
d’un portefeuille plus agressif
et donc d’allonger la duration de notre portefeuille.
l’approche bilantielle
duration actif & duration passif
bilan bancaire : le cas des dépôts à vue
bilan et gestion du risque de taux
MODELE DE CHOIX DE PORTEFEUILLE
Introduction :
Quelques définitions :
marchés financiers : confrontation de la demande et de l’offre des capitaux
rôle de ces marchés : assurer le financement de l’activité économique en complément du secteur bancaire
économie d’endettement
économie de marché
produits échangés sur ces marchés : actifs financiers : titres (action, obligations…) donnant droit à la perception d’une ou plusieurs sommes d’argent dans le futur.
Acteurs de ces marchés :
agents de besoin de financement (entreprises, Etat) : émission d’actifs financiers
agents à capacité de financement (ménages, investisseurs institutionnels) : acquisitions d’actifs
agents …
Questions que l’on va se poser :
Comment les agents décident –ils de la composition de leurs portefeuilles ?
Comment se fixent les prix sur les marchés financiers ?
Ces marchés fonctionnent-ils correctement ?
hypothèse d’efficience face aux bulles spéculatives et aux crises financières
évolution des marchés financiers et éco réelle
Rentabilité , risque, diversification
rentabilité et rentabilité anticipée
Rentabilité et rendement :
Le rendement est le revenu d’une valeur mobilière :
action dividende ; obligation intérêt
La rentabilité d’une action = dividende et plus ou moins value
Rt = (Dt + Pt - Pt-1)
Pt-1
Rt : tx de rentabilité sur la période t
Dt : dividende perçu en t
Pt : cours de l’action à la fin de la période t
La rentabilité anticipée est la moyenne pondérée des rentabilités possibles.
Exemple :
Un actif peut, selon l’évolution de l’activité économique, avoir une rentabilité de 10% ou 12%.
Calcul de la rentabilité anticipée (R’) :
R’= 0,5 x 10% + 0,5 x 12% = 11%
Formule générale de la rentabilité anticipée :
R’= R1P(R1)+R2P(R2)+….
R’= somme de RiP(Ri) pour i allant de 1 à n.
Objectif de tout investisseur : maximiser la rentabilité anticipée, mais nécessité d’intégrer également le risque dans le cadre des choix de portefeuille.
risque d’un actif
Prise en compte de l’incertitude :
la rentabilité réelle peut différer de la rentabilité anticipée, c’est cette divergence qu’appréhende le risque.
mesure du risque
Markowitz et Tobin : mesurer le risque par l’écart type.
Plus l’écart type est important plus le niveau de risque est important.
En présence d’un seul actif, le niveau de risque de cet actif est mesuré par son écart-type.
Ecart type = ( (1/(n-1) de somme de (Ri-R)² )(1/2) par approximation.
ou = ( somme de Pi*(Ri-R))² ) (1/2)
En présence de plusieurs actifs à risque, il faut tenir compte de l’interdépendance de la rentabilité des différents actifs.
Covariance entre deux variables aléatoires :
Cov (Ri, Rj) = écart type x = E( Ri- E(Ri)) * E(Rj – E(Rj))
Covariance pour n produits:
Ecart type X = 1 / (n-1) x somme de (R1t – R1)(R2t – R2) pour t allant de 1 à n.
Coefficient de corrélation : il relie la covariance entre deux titres à la dispersion (écart type) de leurs rentabilités.
Pij = écart type x/ (écart type i * écart type j)
risque de portefeuille
Un portefeuille composé de deux titres i et j, et x la part de chaque titre dans ce portefeuille :
Ecart type ² p = x²i * écart type ² i + x²j * écart type ²j + 2xixj * écart type ij
Avec : xi + xj = 1
La corrélation entre deux investissements a une influence sur la variance d’un portefeuille.
Ecart type < ou = à 0 baisse du risque et ce d’autant plus que écart type <0, car covariance négative d’où deux titres qui évoluent différemment. En diversifiant le portefeuille, on minimise le risque.
Généralisation à n actifs :
Ecart type p² = somme de i à n de somme de j à n de xi*xj* écart type ij
Où xi représente la proportion d’actif i détenue dans le portefeuille et écart type ij, la covariance pour i différent de j, et les variances pour i=j.
risque et diversification
Un investisseur ayant une aversion pour le risque construira un portefeuille diversifié en investissant dans différents actifs.
Principe de diversification
:
Elle réduit l’éventualité des revenus extrêmes qu’ils soient bons ou mauvais.
Le degré de réduction du risque obtenu grâce à la diversification dépend de la corrélation existant entre les rentabilités des différents actifs.
Corrélation négative : gains et pertes se compensent portefeuille présente un risque très faible concernant les résultats extrêmes
Corrélation positive : rentabilités positivement corrélées moindre réduction du risque
Les modèles de choix de portefeuille
le modèle de marché
le modèle de Markowitz et Sharpe
Il existe une relation linéaire entre la rentabilité d’un actif Ri et la rentabilité de l’ensemble des actifs Rm.
Ri= alpha i + bêta i* Rm + epsilon i
Bêta i : coefficient mesurant la façon dont la rentabilité d’un actif particulier évolue par rapport à la rentabilité de l’ensemble des actifs.
Bêta i = écart type im/ écart type m²
Epsilon i : résidu qui n’est pas expliquée par alpha i ou Rm ; variable aléatoire reflétant l’apparition d’événements non anticipées affectant la rentabilité du titre i.
Droite caractéristique ou droite de régression pour chacun des titres :
obtention du bêta par la méthode des moindres carrés
pente de la droite : mesure de la volatilité du titre par rapport au marché.
Pour 1,35 par ex. : cela veut dire que l’entreprise a tendance à amplifier les variations du marché en moyenne de 35%.
Var du titre
4318001003300043180010033000 Forte volatilité
43180010604500
Faible volatilité
4318009080500
Var du titre
Limites du bêta :
- il s’agit d’une estimation, on perd de l’information
Risque total, risque macro et risque micro
La variance de Ri peut être décomposée ainsi :
Var (Ri) = bêtai² x var (Rij) + var (epsilon i)
Risque total = risque macro + risque micro
risque macro : risque systématique ou risque de marché. Il concerne les événements macroéconomiques non anticipées (chocs sur les taux d’intérêt, taux d’inflation, taux de chômage…) affectant l’ensemble des titres
294640014732000
risque non-diversifiable
294640022606000 risque micro : risque non systématique, relatif aux événements spécifiques aux compagnies individuelles
risque diversifiable
Gestion du risque
L’incertitude majeure est celle qui est inhérente au risque macro, c’est-à-dire à l’évolution du marché, la valeur de Rm, sur laquelle un investisseur n’a aucune influence.
En revanche, il peut influer sur la valeur du bêta : sur la sensibilité de son portefeuille à l’évolution du marché.
Bêta : mesure appropriée du risque pour les gérants de portefeuille.
Bêta = 1 : portefeuille aussi risqué que le marché
Bêta > 1 : portefeuille agressif
Bêta < 1 : portefeuille conservateur
20320014732000
31750016573500Risque total de portefeuille
35179003746500 Risque spécifié Risque total
2032007620000
Risque systématique
408940019050020320011620500
30 Nombre d’actions
de portefeuille
L’équilibre du marché pour les actifs à risque : le MEDAF ( ou Capital Asset Pricing Model)
Marché composé uniquement d’actifs sans risque
tous les actifs doivent procurer le même taux de rentabilité (LPU, arbitrage).
294640011366500
Marché comportant des actifs risqués :
tous les actifs, une fois intégrés leur niveau de risque, doivent procurer le même taux de rentabilité.
Comment ajuster les titres au regard de leur risque ?
concepts fondamentaux
fonction d’utilité
C’est un fonction qui va représenter les préférences d’un individu, qui fait correspondre à chaque panier de biens, ou chaque portefeuille, un nombre réel.
Arguments de la fonction pour les choix de portefeuille :
rentabilité
risque
Représentation graphique :
3175009017000Rentabilité espérée
31750084455003175008255000
P’
243840139700019177001397000Ep’
P
245745908050012319009080500Ep
31750016827500
Risque
écart type(p) écart type (p‘)
L’investisseur est intéressé par la courbe d’indifférence la plus haute.
Portefeuille efficient et frontière d’efficience
Portefeuille efficient = choix du couple Rentabilité / Risque optimal :
pour un niveau donné de rentabilité :
le portefeuille efficient est celui qui présent e le risque minimum.
Pour un niveau donné de risque :
le portefeuille efficient est celui qui présente la rentabilité maximum.
Frontière d’efficience = ensemble des portefeuilles de titres dont la composition ne peut être modifiée de façon à augmenter la rentabilité sans que le risque n’augmente simultanément.
Choix de l’investisseur
Choix de portefeuille qui lui procure la plus grande utilité compte tenu de son aversion pour le risque.
Portefeuille optimal = portefeuille X, portefeuille pour lequel la frontière d’efficience est tangent à l’une des courbes d’indifférence de l’investisseur.
actif sans risque : rentabilité certaine r
les investisseurs peuvent combiner le portefeuille M et le titre S, ce qui permet en général d’atteindre un niveau d’utilité plus élevé.
Droite de marché : en présence d’un actif sans risque, et en considérant un portefeuille de marché M composé de tous les actifs risqués, la droite qui passe par r et par M est appelée droite de marché (Capital Market Line).
26035007747000
-2540010477500-254004191000
Rentabilité espérée droite de marché
-25400819150030607008191500 M
r
-254008318500
écart type M-25400698500 Risque
Elle donne des indications sur la mesure du risque, car la pente de la droite indique le supplément attendu par les opérateurs pour assumer un risque accru d’une unité.
Elle me permet de déterminer les titres qui sont sur ou sous évalués.
Les hypothèses du MEDAF
L’actif sans risque a un taux identique pour l’emprunt et le prêt.
Les investisseurs ont une aversion pour le risque et ont un comportement de maximisation sur la période considérée, période identique pour tous les investisseurs.
Les anticipations de rentabilité et de risque sont les mêmes pour tous les investisseurs
Les marchés de capitaux sont parfaits :
Les actifs sont indéfiniment divisibles
Absence de frais de transactions et d’impôts
Il en résulte que la frontière d’efficience des portefeuille d’actifs risqués est identique pour chaque investisseur.
conditions d’équilibre sur les marchés d’actifs à risque
A l’équilibre tous les actifs doivent donner le même taux de rentabilité compte tenu de leur niveau de risque.
Si deux actifs i et j ont des rentabilités attendues Ri et Rj, et des bêtas i et j, à l’équilibre, on a :
Ri – bêta i(Rm-Ri) = Rj – bêta j(Rm – Rf)
Rf : rentab de l’actif sans risque.
Conditions d’équilibre avec l’actif sans risque
Ri= Rf + bêta i (Rm – Rf)
La rentabilité attendue d’un actif donnée doit être égal à la rentabilité de l’actif sans risque augmentée d’une prime de risque.
Prime de risque : rendement supplémentaire demandé par les investisseurs pour accepter de supporter le risque d’un actif particulier.