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Le travail politique.docx

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Contributor: pentapenguin
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Etude du travail politique. Le W pol= spécialisésavoir faire professionnel, qui s’apprend sur le terrain, svt sous la direction d’un mentor (dirigeant d’un parti ayant exp ministériel par ex). « Métier » polq suppose qu’il y ait professionnalisation : Weber, « vivre de et pour la politique » =>statut +/- juridicisé, des immunités (qui ne st pas incompatibilités !!!) pr protéger liberté d’expression ; => question de la rémunération débattue à la fin du XIX : il faut un certain (voire haut) niv de rémunération pour protéger contre la corruption active (encore prégnant aux US tandis que richesse n’est pas un atout en Europe) ms il n’est pas non plus normal que le SU soit moyen de s’enrichir, notamment selon idéologie de gauche. Idée de rémunération s’est finalement imposée : des indemnités, mais que les représentants devaient reverser au parti=>éviter de se couper du peuple et alimenter les caisses du parti. Today : justification de indemnités : coût de l’exercice d’une fonction polq et enjeu sbq (situation ds l’échelle sociale : les représentants du peuple st sensés ê en haut de échelle sociale). Pb au PE : rémunération en fonction du pays d’origine qui est source de difficultés. VGE à la tête de la convention a demandé à avoir même rémunération que psdt de la commission. =>Carrière aussi  ac deux profils types: 1. premier profil : commencée à la base modestement (candidat aux municipales, aux cantonales ;….==>carrière nationale car baron local bien implanté. Type Mauroy 2. deuxième profil : haut niv de formation (ex sc po)accéder à fonction d’emblai ds entourage d’une pers. Polq de premier plan, point de départ élevé qui permet d’obtenir vite une circonscription, notamment grâce à un « protecteur ». type Fabius. = en permanence confronté à du conflit : d’intérêts par ex, d’aspirations, d’analyses. Pas qu’entre ennemis et adversaires mais aussi entre « amis ». tissu normal et quotidien du polq. Rokkan : nécessairement des conflits au sein d’un même parti. Un travail sur le réel, avec mise en oeuvre de processus de décisions, mécanismes de solutions ou de gels des conflits. rôle des resp polq ds processus décisionnels.identification. des acteurs qui ont des compétences juridiques. Mais aussi des rapports de force, des consultations formelles et informelles… Mise sur agenda d’un pb à résoudre. Agenda= ensemble des pb perçus comme appelant un intervention des pv publiques, sans pour autant que processus décisionnel doive être mené à son terme. Marge d’initiative des acteurs pol. : = pvent se saisir spontanément d’une question, faire un pb. Anticiper des difficultés prévisibles ms non perçues encore par op° publique. Mieux informés, les dirigeants sont plus à même d’anticiper à +/- lg terme. Ex ds les années 90 anticipent impact du déclin démographique sur syst des financements des retraites. surfer sur un consensus pour int général : ex : moderniser école (tt le monde est d’accord). Polq ont tdce à privilégier questions à ht rendement médiatique :anticiper la construction d’un bilan en fin de mandatlaisser des traces positives. Lien ac identité de la formation polq.ex : les 35h, montrer qu’in gvmt de gauche p gver à gauche. Réforme à Kr identitaire prononcé. De la même manière à droite accent est mis sur les baisses d’impôts. une maj qui se sent divisée, déstabilisée ou cherche à div/déstabiliser adversairepb qui va unir son camp mais div l’opposant. Ex 1984 ; Mauroy ressort question de la laïcité, de l’école (école privée). Résultat médiocre. Ex :Loi sur les signes religieux ostentatoire : div le camp adversaire (gauche). =polq st contraints de mettre un pb sur agenda. contrainte conjoncturelle : catastrophe naturelle…remettre dans le débat la question de insécurité des équipements publics. Ou encore naufrage de boat people au large des côtes italiennes. Mais des risques ds ces réponses à chaud : prendre des initiatives hâtives et s’en repentir ultérieurementpr parer à cela : réponse immédiate vigoureuse mais on se donne laps de tps pr action (et réflexion préalable) ; mise en place de commission d’enquête. sous contrainte d’adversaires. Ceux-ci st vigilants….opp° polq moins efficace que les campagnes d’op° ds les médias ou manifestations protestataires ex mobilisation de chercheurs…ce st également les médias qui ont attiré attention sur conflit yougoslavedirigeants obligés d’intervenir. émergence de nvx acteurs polq aussi. Les partis d’ex droite et mvts anti immigrésctrl des flux d’immigration sur agenda (car c’est sur cette question que ex droite se faisait des voix).marche des beurs en 1982, etcmodification de agenda. Pol, qd ils s’emparent d’un pb, st confrontés à des scénarios différents et importants car conditionnent succès/échec du processus décisionnel. Risques inhérents aux différents scénarios : Tableau : influence du calcul cout/profit pol sur le processus décisionnel. (badioleau) Proc dés en coursune polq qui offre des avantages au moins à certains, visibles ou peu. Degré d’institutionnalisation ; Des processus institutionnalisés ou pas (conventions tacites, accord verbal) Style secret ou non…. Mise en œuvre : coop des partenaires ou coercition…. Probabilité de succès : Bénéfices concentrés coûts diffus : ex allégements fiscaux pr une cat précise (ex les journalistes) Bénéfices concentrés, coûts concentrés : ex limitation de la chasse à la palombe, par directive européenne, ds le Bordelais. fureur des chasseurs bordelais, protestation vive au nom de traditions anciennes= coûts tr concentrés, et bénéfices concentrés sur les palombes et aussi LPO (gpe de pression pr protection des oiseaux)..Probabilité de succès moyenne car des résistances tr fortes. Style conflictuel, affrontement violent. Bénéfices diffus, coûts concentrés : aug taxe sur les produits pétroliers pr dim déficit étatique. Cette dim ne rétablira pas équilibre… et .. probabilité de succès tr incertaine. Résistances tr fortespv publiques vt avancer masqués (juillet, aout). Bénéfices diffus, coûts diffus : relever de 0,4% de salaires d’une cat. Pas de mob des acteurs polq,faible risque de conflits, faible institutionnalisation. Décisions techniques surtt. déroulement du processus décisionnel. Part des polq ds le déroulement du processus décisionnel. Important à deux nivx définir le périmètre de la concertation. Dessiner le cadre à l’intérieur duquel le processus décisionnel doit demeurer. Ex : réforme des retraitesrétablir eq des cmptes sans porter atteinte à la compétitivité des entreprises. Ms c aussi définir quels st les acteus qui vt intervenir ds le processus : des acteurs qui st juridiquement incontournables (ex les asso et commission,s des asso et conseil d’etat en formation consultative et comités consultatifs pr réformer une loi), ceux aussi qui sr assez puissants pr s’imposer (représentants syndicaux par ex). instance pol a aussi marge de manœuvre pr choix des experts, en fonction d’affinités pol réelles ou supposés, ou en fonction de leurs analyses de fond. Concertation large ou restreint : large=>légitimation au nom de la démocratie et aussi plus d’information. Mais largemaintien du statu quo car rapports de force du statu quo restent. Concertation restreinte :manque d’info décisives, et moins de démo, résistances escomptables moins visiblesau final des difficultés insoupçonnées. décider et trancher : des décisions intermédiaires en cours de processusdébloquer qd des désaccords internes. Décisions finales : clicher un etat du processusarrêt du processus, son état à ce moment fournit décision finale. Endossement aussi : alors que plusieurs acteurs ds le processus, la décision est imputée exclusivement au polq. (ex loi evin….), associée à idée de resp. (seul gvmt /min tenu resp) avantages pr les autres acteurs : hts fonctionnaires protégés et représentants des gpes d’intérêts déresponsabiliser. interrogations sur ces rôles. rôle exact des polq. Deux questions (débat politique et sci/débat scientifique). rôle des experts. expert : détenteur d’un savoir spécialisé suffisamment rare pr être difficilement substituable. Par ex des juristes, des économistes….. des gestionnaires, des sociologues, des experts en marketing pol….sc de la communication…. Dilemme démocratique : polq s’aligne syst sur pos° des expertsn’y a-t-il pas là démission ?==>virulence à l’encontre de la techno bureaucratie. mais le pol qui s’affranchit des avis des experts est suspecté de populisme et démagogie … en santé, 53% des sondé ft confiance aux experts, 4% seulement aux polq. =Interwar : idées de gvts de techniciens. Ex raymond barre en 1976. Mais les min techniciens st tjrs les ppales victimes en cas de remaniement min. =Deuxième poss : pr le pol, se construire une image d’expert. Ex / Pierre Mendès France, réputation d’écost et de financier, ou encore Rocard…. Lien entre profil de polq et d’expert est tr efficace. Mais un min ne peut être expert dst tes les questions qui relèvent de son ministère. Ce qui est dc efficace, c pas le fait d’ptre expert en tant que tel mais idée que l’on est expert. L’homme pol : doit savoir ds un dossier sentir quels st les risques pol encourus par telle disp. Expert a sens de la cohérencene comprend pas pq il faut abandonner une disp°. Le polq doit avoir sens du « coup d’œil » pour identifier les mines. Le pol est capable de prendre en compte attente rationnelles ou irrationnelles des ces électeurs. W sur la communication pr faire passer ce qui ne passe pas ou faire tomber disp°litigieuses. D’où rôle spécifique et important du polq ds le processus décisionnel : assurer emballage du produit. « opération séduction » que ne savent pas mener les techniciens.experts car ils ‘ont pas de plan com. rôles des personnalités. Influence de la personnalité des dirigeants. Vie polq surmédiatisées=> apparition des polq sur plateaux télé plus que ds enceintes pltaires=>surestimer le rôle des personnes ds le déroulement de la vie pol… car idée insupportable d’être régi par des processus collectifs anonymes. En fait les pers ont moins d’influence qu’on le suppose. Certains styles psychologique : la polq=le conflit ; activité pol dépensière en tps et énergie ; vie pol est insécurisante (échéances électorales….). les motivations des pers polq autour de 5 pôles : besoin de prestige et de notoriété, souci de travailler sur de s programmes concrets, besoin de convivialité et de soutien, désir de mettre en ouevre des convictions morales (gdes causes), goût du calcul/de l’intrigue. Certains st montrables. Ts les syst psychologiques ne peuvent dc être représentés. Combinaisaion svt de ces modèles, qui rétroagissent sur les institutions. Poids individuel ds le cours d’un processus décisoinnel ds la vie polq et même ds l’histoire. court terme, et microsocial (conseil des mini ;….), poids de la personnalité est important voire décisif. Lg terme et macro social, pas décisif (ex : que cons de smin soir psdé par mitt ou de gaulle) Qd secret privilégié, qd stress (ex : crice grave). Group think (pensée , effet de gpes) tr important : le gpe décisionnel qui dirige restreint et s’entoure de frontières infranchissablesmécanismes d’ordres psychologiques autour du leader st déterminants. (ex : gestion de crise de Cuba par Kennedy) : les collaborateurs du pdt se censurent pr ne pas le fragiliser et éviter de fragiliser cohérence/cohésion du gpe. Ex gestion de la crise irakienne. Des situations où éq précaire entre les forces sociologiques et pol qui poussent à la solution A et celles qui poussent à son opposé B. logiques lourdes s’annulent car elles sont contradictoiresrôle du style pol redevient prééminent. Plus les stes sont différenciées, globalisées (notamment au niv européen)interdpce étroiteplus le poids spécifique de l’instance pol diminue un travail de communication (CM9). Les poli st des communicateurs. En soc po, on s’intéresse à la com polq depuis debut du XX ième siècle. =>auteur suedois P lazarsfeld. Bcp d’auteurs à citer, même si pas tr dvpés en France. Bcp de travaux empiriques sur le langage pol, les idiomes rhétoriques… LUHMANN. Sens large de l’acception de comm polq, ne pas se limietr aux discours des campages. Comme tt lgge, deux nivx : -émission de msg, d’infos, d’arg pour donner sens à une action entreprise. Activité de persuasion, susciter allégeance, conviction -émission de msg, voire de signes qui tendent à asseoir autorité du locuteur. Activité de justification. Boltanski. Lien entre communication et légitimation de la polq publique adoptée, de la décision prise, de l’auteur de l’action et de l’auteur de la polq menée et légitimation de l’autorité de l’institution polq elle-même. Pr faire appliquer, coercition certes ; mais travil de légitimation est tr important car une loi qui smeble légitime est plus facilement appliquée Légitimer : souligner la compatibilité d’une action/cpmt  ac des valeurs de références réputées être partagées. Ex : la norme démocratique : les communicateurs vt chercher à montrer que leurs actes st compatibles ac la norme démocratique. Ex2 : l’intérêt général (pratique car fluide), produit d’une bataille idéologique, de luttes sbq. Ex3 :norme de rationnalité. Par rapport à des objectifs perçus comme opretinents/souhaitable, mises en place de moyens pr fonctionnement optimal I . Logiques lourdes. II. outils de la communication dt disposent les resp polq. Dpce ou cap d’influence ? les logiques lourdes de la communication. Les polq ont besoin de légitimer leurs actions/cptmts. St aussi des élusbesoin de mobiliser des soutiens pr assurer leur rééelction ie survie politique. 1.1construire une causalité polq. 1.1.1=assurer une prééminence du pv polq sur la sc sociale, pr montrer que pv polq joue un rôle majeur. Face à insécurité, chômage…,bcp de faceturs causaux. Des logiques sociales qui poussenet à attribuer au pv pol des resp majeures. Logique des opposants ; opposition à intér^pet à souligner que le pv est resp des phénomènes négatifs que l’on peut repérer. Le pv polq n’a pas fait ce qu’il aurait du faire (carence), n’a pas su faire/inventer (impuissance) et constat d’incompétence (n’a pas su s’y prendre). Valorisation voire survalorisation de la resp des resp polq, et on occulte les autres facteurs qui interviennent. Logique des gouvernants : s’attribuer tt ce qui ce bien ds la ste à un moment donné. photos du maire devt un chantier, courrier du député qui est le premier à informer de l’investissement d’une firme ds sa circonscription…. Tt en se dissociant de la resp des el négatifs : intérêt théoriques, mais c pratiquement difficile vu discours de l’opposition (ex : fermeture d’une usine en Belgique, jospin est juridiquement incompétent ,ms l’avouer=faire le jeu de l’adversaire). Dc restituer ‘info déplaisante ds un contxt qui l’euphémise. Logique des victimes. Par ex de licensiement, de catastrophes….mettre accent sur resp de etat ou comités publiques, car probabilité d’intervention efficace plus forte ; recherche des causes est influencé epar obj de tenter d’accroitre resp des coll publiques. Arrière plan de valeurs/normes culturels ds une ste. Variable selon les pays. Ex : la pauvreté, considérée comme un pb politique ( contrairement au XIX), et que pauvres pas resp de leur sort… 1.1.2. notion de causalité pol liée à notion de resp Kelsel. Téhorie générale des normes. PUF. Approhe scientifique, pq J. Chiraca t il gagné les élections de 2002 ? non pas parce que bon mais parce Jospin mauvais, parce FN fort….chacun de ces facteurs p être interrogé : mauvaise campagn,e de Jospin car mal conseillé, car conjoncture éco mauvaise.. ;que l’on p requestionner. La causalité scientifiquechaîne ininterrompue de facteurs qui s’enchaînent, dc dilution de la causalité Ms si causalité juridique ou pol, clôture rapide de l’enchaînement des faceturs, au nom de l’imputation (concept fondamental).s’attribuer le positif, attribuer l’adversaire le négatif Une contrainte : la pertinence (me^me si rarement vrai) : ie produire le maximum d’effets cognitifs pr le minimum de couts. Donner impression de la maîtrise auprès de gens qui ne st pas ts experts dc on p simplifier pr minimum de couts= minimum de remise en cause pr son propre camp et maximisation pr les autres. 1.2mobiliser des soutiens. Crucial en période électorale et nécessaire qd il n’y a pas d’élections. Deux types de lgges de légitimation= lgge des intérêts : chez les opposants, c’est le lgge de la promesse.rationaliser ds un bloc de cohérence ces promesssesun programme, sans certitude pr les destinataires qu’il y aura mise en œuvre. (sur les 110 promsses des mittérand en81, 20 env réaliser). Programme affirme une maîtrise. Chez les dirigeants, surtt qd ils st sortant, stratégie des bilans. Débat polq scandé par des batailles de chiffres. Plus ou moins fiables, meêm chez les candidats sérieux. Contestation de la cap des opposants à réaliser leurs promesses en chiffrant ces romesses, opposants mettent en question le bilan des dirigeants. Economie est celle qui est perçue par les journalistes, les pol, mais ce n’est pas l’éco réelle. Eco subjective, en qlq sorte, qui ets la toile de fonds des analyses des acteurs polq. Ceux qui st ds éco réelle ne souhaitent pas s’exprimer (ex directeur de BCE)… ce ne st pas les acteurs écoq de premier plan qui créent l’arrière plan éco. Bataille d’experts et débats techniques ennuient ou à deaut déconcertent les citoyens. Pdt les débats éco, l’essentiel se joue moins sur le contenu que sur une bataille d’image (quel est celui qui persuade le mieux).GAVY lgge des valeurs. Faire état de convictions est important. Dire qu’on a des convictions ss être trop précis sur le contenu des convictions car convictions trop précises peuvent partagerdilemme : ac des convictions tr largeme,r partgaées, pb identitaire. Ms affirmation de convictions + restreintes marque la diffréence ac risque d’être moins rassembleur. Sur le terrain des valuers, le locuteur est auréolé, s’extrait des débats des antagonismes prosaiques d’intérêtvaleur morale. Donner l’impression d’être convaincu (même en l’étant peu).lgge des valeurs réunifie alors que le lgge des intérêts divise. Enfin à certains égards, le lgge des valeurs auréole le destinataire : crédité de convictions élevées, d’actions désintéressés qui flatte l’égo Deux scénarios pr ne pas être perdus (plus facile pr des léus que des candidats) : -défniner une situation en des termes tels que les adversaires st tendantielleme,t disqualifié polq ou/et moralement. A ^partir de menances réelles, il est imoprtant de les hiérarchiserapparaîre en situation avantageuse. Ex :Bush : menance=terroristes, qui st ennemis de la nation et de la civilisation. J’ai des convictiosn fremesje suis le mieux placé. Si éco avé été menace centrale, c Kerry qui était en meilleure posture vu situation/bilan. Idéal est de s’identifier à une cause= pomotion de la paix. Travail de construction des thèmes saillants ds une campagne, basés sur les menaces. Mots marqueurs : paix, dvt, droits de l’homme. Importance des labels.importance d’une caractérisation du polq : ex pos en europe vis-à-vis des US Formulation ternaire, et posititionnement intermédiaire (position dit équilibrée, de bon sens). Ex : Fabius, qui fait campagne pr une europe sociale, entre les anti europe et l’europe à éco Kst sauvage Travailler à construire et ortifier une identification préférentielle de son camp à des valeurs positives. Pr la gauche, association à solidarité ;.. tadis que droite identifiée à gestion rigoureuse des budgets …. Crédibilité sectorielle les ouils de la communication.§monopoles pr presse locale. Distinction TV des chaînes publqiues/privées : plus de volume et qlté pr les chaînes publiques pr le polq. Ce qui compte : capacité de résistance des journalistes, déontalogie de ceux-ci=>dissociation entre ligne directionnelle et propriété. dpdce des polq à l’égard des médias. Connivence etroite entre milieu notabiliaire local et presse écrite/TVinfo aseptisée ac exception poss de conflit personnel entre un polq et le dirigeant d’un gpe de presse. (Cf baudis). Large public non segmenté de cette presseligne directionnelle prudente. Presse natioanle : info plus incisive. Mais encore une influence pas forcment directe mais au moins relai d’op pr image d’un leader Image : effet de vérédiction. A été vrai dc elle est variecontebu de la comm° est moins imoprtant qeue le ton, style, qlté de la prsce des locuteurs. TV : illsuion de proximité entre le leadre et les citoyens, en fait profil sbq. Médias eux même sous contrainte : d’interactivité : ne peuvent pas ne pas parler de ce dt parlent les autes. Interactivité des jugements aussi. Réceptivité de leur lectorat/audience. Des attentes à combler : appétance exceptionnelle des brit pr le sex scandals. ) Reprise d’initiative par les polq : spin ctrl, spin doct (faire tourner imagination). Activité délibérée de sresp polq en vue d’alimenter la presse en info +/- ctrlables. Réguler ce dt on parle et comment. Phénomène ancine mais subtilité croissante, experts qui travaiellent ds orbite immédiate des resp polq de premiers plans. Ex : info exclusive à 1 journaliste. Comme ça premier commentaire publié va tendre à influencer la suite. On choisit le bon journaliste de la bonne chaine au bon moment Ex : fuite organisée inaboutie, sorte de ballons d’essais Amortir le choc d’une info importante ms négative en choiss=issant le moment (ex : attenation captée par un autre evt) Sortir des info pr disqualifier adversaire) Comm officielle Communication gouvermentale, pris en charge par min spécialisé (SIG depuis 200 en France) : informer le gvmt via des sondages, anamyses de presse, études d’experts et informer SUR le gvmt :communication des mini sur sec routière, lutte contre le SIDA… augm des budgets tr fortes. En GB Fr les pvs publics deviendrainet les permiers annonceurs publicitaires. Gdes coll publqiues : services de comm, de presse, Internet…. : informer sur les réalisations mais aussi accueillit et faciliter accès des administrés aux admi°. Dc prestation de services, qui si elle est positive rétroagit positivement sur les dirigeants locaux ; et aussi promotion de l’iamge de la coll. Comm officielle qui a des frontières fluides ac comm partisane 2. rétroaction effets de rétroaction de la comm/comditions de la comm sur fonctionenemet pol personnalisation du pv et l’ex du pv polq : tr clair ac TV (maires et resp nationaux). Ms ds nos stes à différenciation sociale croissance, le rôle de insatnce pol va en diminuant, place des dirigeants pol dim. Ms prééminen ce sémique des dirigeants pol ; cap des médias à co,struire un monde irréel renforcer exécutif : comm d’un Plmt est difficile et p difficilement ê personnaliséeintéersse moins les médias. Chefs d’etat et gvt, min des min ppx et resp nationaux des gds partis pol st mis en valeur. Destabilisation d’une org : cf PS : image médiatqiue forte de Fabius par rapp au n°1 Hollande diffusion du scepticisme : dirigeants pol ont vocation à se contredire, les commentateurs à critiquer (logique de commentaires destabilisateurs, ironiques qui écornenet déference et respect). Medias préfèrent les mauvaises nouvelles.==>diff de scepticisme à l’égar des polq, envers dirigeants eux-mêmes, partis, ds une moindre mesure envers les syndicats mais pas envers la démocratie en tant que telle. Sceptisme tolérance. George Bush Vs Edward Kerry (salve d’applaudissements)… je me révèle aujourd’hui… C’est quoi son prénom? John, ah oui John Kerry, John Kennedy. Lionel Besancenot Ça fait quarante ans que j’ai des pb ac les prénoms Le travail politique : C'est un travail spécialisé qui demande un savoir faire professionnel qui s’apprend en situation mais aussi sous la direction d’un mentor qui a une expérience certaine. S’il y a métier politique cela veut dire qu'il y a professionnalisation. Weber fait la distinction entre vivre de et pour la politique. Cela suppose un statut, juridicisé notamment avec les protections, libertés légales, l’immunité (à ne pas confondre avec les incompatibilités). La question de la rémunération des représentants politiques est également importante. Elle a été longuement agitée à la fin du XIX : on débat sur la question de savoir s’il faut que les hommes politiques aient un haut niveau de rémunération pour les protéger de la tentation comme la corruption active ou bien s’il est normal que les représentants du peuple s’enrichissent à l’élection, au suffrage universel (cette crainte est surtout le fait des partis de gauche) se coupant ainsi des représentés. Cependant on impose la rémunération : même les partis de gauche pensent qu'il est important d’avoir des indemnités (à reverser au parti). Aujourd’hui la légitimation de ces rémunérations vient du fait qu’exercer un métier politique est coûteux : frais de représentation, cotisations, … Il y a un enjeu symbolique : le niveau de rémunération vous situe dans l’échelle sociale. Or, les représentants du peuple sont sensés être placés haut dans l’échelle sociale. Les parlementaires européens ont des difficultés, ils sont rémunérés selon leur pays d’origine malgré le fait qu'ils font le même métier. Professionnalisation veut aussi dire carrière. On distingue deux profils de carrière : Départ à la base : militant, puis candidat à la municipale, puis au conseil général et finalement député ou maire d’une grande ville voire carrière nationale. Haut niveau de formation dès le départ (comme science po) et rôle dans l’entourage d’une personnalité politique de premier plan, rôle dans les cercles intellectuels qui approfondissent les analyses du parti puis, grâce à des protections, obtention d’une circonscription et ainsi de suite. Gardons à l’esprit qu’un professionnel de la politique est constamment confronté à des conflits. Ce peut être des conflits d’intérêt, d’aspiration, d’analyse ; entre adversaires mais aussi entre amis. Les conflits au sein d’un même parti peuvent être du aux clivages centre/périphérie… I – Travail sur des conflits réels,mise en œuvre de processus de décision. A – Rôles des responsables politiques L’organisation constitutionnelle d’un Etat, met en évidence qu'il y a des acteurs qui ont des compétences juridiques. Mais c'est une vision appauvrie du déroulement réel des décisions. Il y a des conflits d’intérêts, des pressions… 1 – Mise sur agenda des problèmes à résoudre C'est l’ensemble des problèmes perçus comme appelant une intervention des pouvoirs publics. La marge d’initiative des représentants politiques : Il arrive que les politiques se saisissent d’eux-mêmes d’un problème. Il faut anticiper des problèmes prévisibles à terme. Normalement les dirigeants ont de meilleures informations sur les tendances longues qui dirigent la société et devraient donc pouvoir anticiper des risques ou dangers majeurs. Le souci d’œuvrer dans le sens de l’intérêt général tout en surfant sur une situation de consensus mène également les politiques : exemple : moderniser le système public… Les politiques privilégient alors les dossiers à haut rendement médiatique. Ils doivent aussi anticiper la construction d’un bilan en fin de mandat, pour que leur mandat laisse un bilan positif. Cela a un lien avec l’identité politique des dirigeants concernés (exemple : les 35 h pour la gauche : montrer qu’un gouvernement de gauche peut gouverner à gauche !; la droite elle met l’accent sur les baisses d’impôts). Il y a des cas où une majorité se sent déstabilisée ou cherche à déstabiliser le camp adverse, alors se saisir d’un problème qui divise l’autre camp et réunit le sien peut être pertinent, mais pas nécessairement efficace. (exemple : la gauche, après le recul sur le terrain économique au moment de la mise en place d’une nouvelle politique après 1983, s’intéresse à la laïcité). Des saisines imposées 1) Les politiques sont contraints de s’emparer d’un problème si l’initiative qu'ils prennent est sous contrainte conjoncturelle : une catastrophe naturelle, une centrale nucléaire ayant des fuites anormales qui imposent la remise en question de la sécurité… Et les exemples sont nombreux. Le risque dans ce cas, de réponse à chaud, est de prendre des initiatives hâtives dont on se repend ensuite. Il faut donc se donner les moyens d’attendre par la suite : création d’une commission d’enquête avec des moyens exceptionnels. 2) Les politiques peuvent aussi être sous la contrainte de leurs adversaires. Par hypothèse les adversaires sont vigilants et exigeants. L’adversaire peut être l’opposition politique, les mobilisations protestataires dans la rue (mobilisation de chercheurs en 2003), les campagnes d’opinions dans les médias (ces 2 derniers sont les plus efficaces, réduisant la validité du débat démocratique), l’émergence de nouveaux acteurs politiques. Expl : Les mouvements anti immigrés des années 1980 ont contraints à inscrire sur l’agenda la question du contrôle des flux d’immigration et de l’intégration des immigrés. 2 – Déroulement du processus décisionnel Classification : Les probabilités de succès ou d’échec dépendant de la manière dont la décision est mise en place et dans quelles conditions. Quand un processus décisionnel est en cours, la politique qui le met en place apporter des avantages visibles ou non sur certains individus et léser d’autres individus (ou les mêmes- ici Braud montre un tableau pas clair et peu utile). L’institutionnalisation du processus décisionnel peut être plus ou moins forte selon les institutions sollicitées. Des processus ne sont pas du tout institutionnalisés : accord tacite, verbal. Le type et le style du processus importent également : on négocie le plus largement et ouvertement possible ou l’on avance secrètement, mettant un minimum de partenaires dans la confidence. La mise en œuvre ou comment rendre effective la décision prise ? pour la coopération ou la coercition. La probabilité de succès du processus peut enfin être plus ou moins forte. Exemple : Bénéfice concentrés et coûts diffus : avantages fiscaux pour une catégorie de population, pour les journalistes par exemple. La perte de revenu fiscaux pour l’Etat est moindre, mais les bénéfices sont très concentrés. La négociation sera ici discrète, suivra un processus de coopération et la probabilité de succès sera forte. Bénéfices et coûts concentrés : réduire une période de chasse : les chasseurs sont outrés et la protestation est forte : les coûts sont concentrés et les bénéfices sur les oiseaux ainsi sauvés !! La probabilité de succès est moyenne en raison de résistances fortes. Le processus sera donc très conflictuel. Coûts concentrés et bénéfices diffus : Augmenter la taxe sur les produits pétroliers pour réduire les déficits du budget de l’Etat. Les automobilistes seront très contres alors que les bénéfices seront diffus, peu visibles par la population. Le processus sera masqué. Bénéfices et coûts diffus : le gouvernement décide de relever de 0, 4 % un truc de traitements publics. Personne ne se rend compte de l’impact de cette mesure. Aucune mobilisation des acteurs politiques, peu de mobilisation institutionnelle. Ce sont des décisions techniques, sortes de rationalités qui font l’unanimité. Rôle des acteurs politiques dans le processus décisionnel. Définir le périmètre de la concertation : dessiner le cadre à l’intérieur duquel le processus doit avoir lieu. Il s’agit des idées directrices, des objectifs, des moyens envisageables et en exclure d’autres. Définir les acteurs qui ont leur mot à dire dans le processus. Certains sont juridiquement incontournables. Lorsqu’il s’agit de modifier une loi par exemple la constitution est très précise. D’autres acteurs sont politiquement indispensables : le risque serait trop grand de les exclure : patronat, salariés par exemple. Il faut également consulter des experts. On les choisit soit en fonction de leurs affinités politiques (réelles ou supposées) ou bien, c'est plus efficace, en fonction de leurs analyses de fond. Il y a un débat : processus transparent ou secret ? chaque système a des avantages et des inconvénients. La consultation large permet de se légitimer par la démocratie. De plus il réunit davantage d’informations que par exemple seuls les syndicats sont capables de donner. Cela permet d’identifier à temps les problèmes, difficultés…ms plus le processus est large plus le risque qu'il échappe à ses initiateurs est large. La concertation restreinte : absence de démocratie dans le processus, manque d’information décisive qui auraient évité des erreurs, risque de moins voir les résistances escomptables et de découvrir au stade final des difficultés insoupçonnées. Décider et trancher : il y a des décisions intermédiaires en cours de processus. Elles contribuent à débloquer ou désenliser un processus. Parfois l’effet est inverse ! Et puis il y a la décision finale. Il y a alors clichage : le processus est arrêté et son état actuel fourni la décision finale. Il y a aussi l’endossement :un processus décisionnel est imputé exclusivement par le politique alors qu'il est issu de la concertation de nombreux acteurs. Il y a là-dessous l’idée de responsabilité démocratique et protège les hauts fonctionnaires et déresponsabilise les représentants des groupes d’intérêts. B – Interrogations liées à ces rôles 1 – Le politique et l’expert Expert : détenteur d’un savoir spécialisé, suffisamment rare pour être difficilement substituable. Cela donne donc du pouvoir. Ce peut être des juristes, économistes, sociologues… Il y a un dilemme démocratique : le politique qui s’aligne sur la décision des experts ne démissionne-t-il pas de son rôle de représentant ? L’inverse induit le risque du populisme et de la démagogie. Selon un sondage de la SOFRES, les experts seraient plus « crus » que les politiques. Les ministres techniciens sont toujours les premières victimes en cas de crise politique. Est-ce donc la meilleure solution ? On peut aussi faire que le politique se construise une image ou devienne expert. C'est l’exemple de Mendès-France, Rocard Le lien entre image politique et expert est très efficace. Or, un politique ne peut être expert sur toutes les questions, il faut donc prendre ceci avec précaution. C'est l’idée d’expert, de compétence qui compte donc ici. L’homme politique est quelqu’un qui sait, dans un dossier, sentir les risques Politiques encourus du fait de telle ou telle position alors que l’expert à une rationalité logique qui lui dicte une autre position. Il faut donc savoir identifier les mines et risques d’un dossier. Il doit aussi être capables de prendre en charge les attentes rationnelles comme irrationnelles de ses électeurs. Il doit donc travailler sur la communication pour faire passer ce qui normalement ne passe pas ou faire tomber les dispositions litigieuses. Le rôle du politique sous ce rapport est donc important : c'est assurer l’emballage du produit, assurer une opération séduction. Tout ceci n’étant pas le rôle des experts. 2 – Influence de la personnalité des dirigeants La vie politique est surmédiatisée et bien des apparitions, débats politiques se font sur les plateaux de télé plus k’au parlement. Ceci peut nous conduire à surestimer le rôle des personnes dans le déroulement d’une vie politique, des processus décisionnels. Il y a donc une attente du rôle des personnes. Le désir d’accéder aux responsabilités politiques est lié à un style psychologique. La politique c'est le conflit, il faut savoir les vivre. Il faut savoir donner son temps pour cela. Cette vie est insécurisante, il faut donc continuellement convaincre. On peut voir 5 pôles de motivation pour les hommes politiques à suivre cette vie : Besoin de prestige et de notoriété Soucis de travailler sur des programmes concrets Besoin de convivialité et de soutien Désir de mettre en œuvre des convictions morales Goût du calcul, plaisir de l’intrigue, l’amour de monter des coups (rien que ça !) Tout cela influence le fonctionnement du système. Importance des personnalités individuelles dans le cours de la vie politique, des processus décisionnel, dans l’histoire : Dans le court terme et le microsocial : le poids de la personnalité est important voire décisif. Dans le long terme et le macrosocial : le poids de la personnalité et minime. En certains domaines privilégiant le secret (par exemple militaire) et en temps de crise grave les effets de la personnalité sont forts. La communauté qui dirige est restreinte, s’entoure de frontières infranchissables et de ce fait les mécanismes d’ordre psychologiques autour du leader sont décisifs et aboutissent à des biais énormes dans l’analyse des situations. Exemple : la crise Irakienne et Bush. Il y a des situations où il y a un équilibre précaire entre les forces sociopolitiques qui poussent à une ou une autre décision. Alors, le rôle de la personnalité, du style politique redevient prééminent. Enfin, dans nos sociétés, plus elles sont différenciées, globalisées, plus le poids spécifique de l’instance politique diminue.

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