DECISIONS BOURSIERES
3 méthodes pour jouer en bourse :
méthode fondamentaliste (connaître l’entreprise)
méthode chartiste (suivre les cours boursiers)
méthode scientifique (la loi rendement risque)
La première préoccupation est d’être crédible :
lire la cote des valeurs,
connaître les marchés,
le rôle des acteurs,
et les produits.
Il faut également être opérationnel :
connaître les méthodes et savoir les utiliser (fondamentalistes, chartistes, scientifiques)
Il faut aussi être en situation :
suivre trois titres sur trois ans.
manier un logiciel boursier.
Une opportunité : l’Auro.
L’univers de la bourse
Le cours boursier est un prix de transaction (échange du titre contre numéraire). « à ce prix, j’achète ; à ce prix, je vends ».
« Le cours a perdu 40% » : cela signifie que quelqu’un qui possédait quelque chose qui valait 100, était contente de le vendre à 60 (par anticipation d’une baisse).
Le rôle de la bourse :
financement de l’entreprise
augmentations de capital, émissions d’obligations.
Le marché primaire n’est qu’une part faible de transaction.
évaluation des entreprises
Le marché secondaire (marché de « l’occasion »)
Evaluation d’une place = somme des capitalisations boursières des entreprises.
= cours boursier * nombre de titres.
L’entreprise et la bourse :
Pourquoi se faire coter en bourse ?
la bourse = une consécration :
Reconnaissance « économique », mais aussi des obligations d’information. notoriété.
trouver un financement :
Accès direct aux marchés financiers et aux investisseurs. se libérer des banquiers.
liens management - associés :
Les actionnaires peuvent céder leurs titres libérer les associés.
L’investisseur et la bourse :
Pourquoi investir en bourse ?
les avantages :
Liquidité parfaite :
Je peux convertir rapidement mon titre en liquidité (ie vendre), même de façon partielle.
Evaluation permanente
Gestion peu coûteuse
Avantages fiscaux
Discrétion
les inconvénients :
Le risque
Gestion du portefeuille
Internet et la bourse :
www.BOURSORAMA.com
www.LEREVENU.com
www.WARGNY.com
www.BOURSE.LESECHOS.com
www.TOPBOURSE.com
www.SIGMABOURSE.com
Les acteurs : C.O.B., S.B.F.
La COB : la commission des opérations de bourse :
Mission : Protection de l’épargne investie en valeurs mobilières ou tous autres placements donnant lieu à appel public à l’épargne.
informations financières :
Vérification du respect des règlements : attribution du visa de la COB.
Améliorer l’information : les Recommandations de la COB.
fonctionnement des marchés :
Surveillance des cours et transactions pour détecter d’éventuelles manipulations de cours ; droit d’enquête.
répression des infractions :
Délit d’initié : utilisation d’informations privilégiées par des personnes liées à l’entreprise. (Cf. l’affaire Pechiney – Triangle)
Délit de manœuvre : action artificielle sur le marché par de fausses informations.
Publication des anomalies :
Le rapport annuel de la COB.
FESCO = COB européenne.
A côté de la COB, on a le conseil des marchés financiers.
Le CMF : le conseil des marchés financiers :
les agents de change
Officiers ministériels ayant le monopole des transactions des valeurs mobilières.
La compagnie des Agents de Change
Fonds de garantie des Agents de Change
les sociétés de bourse
suite au krach de 1987, réorganisation profonde (les établissements financiers peuvent s’impliquer dans les décisions de bourse).
Ouverture du capital à des établissements financiers et assureurs.
Les missions du CMF :
Pouvoir réglementaire
Pouvoir de contrôle et de discipline
En particulier :
Agrément des sociétés de bourse
Garantie en cas de défaillance
Réglementation du marché
Admission / Radiation des titres à la cotation
Recevabilité des opérations (OPA / OPE)
Son émanation : la SBF (Société des Bourses Françaises) assure la cotation et les transactions.
La SICOVAM : Société Interprofessionnelle pour la Compensation des Valeurs Mobilières :
Les missions de la SICOVAM :
Dépositaire national français des titres.
Facilité de circulation des titres par des mouvements de compte à compte entre ses affiliés.
Le code de la SICOVAM :
Attribution d’un numéro d’identification pour chaque titre
Dématérialisation des titres :
En 1984, suppression des titres aux porteurs …
Développement de son activité.
Les produits : actions, obligations
Les actions
action = titre de propriété
droit à l’information
droit de participation aux votes
droit aux bénéfices = dividendes
différents types d’actions
actions NOMINATIVES : la société en connaît le propriétaire
actions AU PORTEUR
Dématérialisation des titres
Action à dividende prioritaire = A.D.P.
Versement d’un dividende prioritaire (au minimum 7.5% du nominal) en contrepartie d’un renoncement au droit de vote
Tout dividende non versé est reporté
Après 3 ans sans dividendes, acquisition du droit de vote.
(En cas d’OPA, l’ADP ne donne pas droit au vote)
La cotation :
Toute société peut être cotée en bourse car il y a monopole de cotation, en s’inscrivant à ce que l’on appelait la « hors-cote ».
Pour apparaître à la cote officielle, il fallait :
plus de 25% du capital ouvert
Taille : il faut un certain capital social
Informations financières : audit + note TB
Volume de transactions élevé
Un titre peut être sur le RM ou au comptant.
Le RM (Règlement mensuel) :
Livraison / paiement : une fois par mois à la date de liquidation boursière (5ème séance avant la fin du mois calendaire). Intérêt = on peut jouer.
Il est réservé aux titres qui ont la plus grande qualité boursière ie beaucoup de transactions boursières sur le titre.
En terme de comportant, le RM va entraîner des anomalies de marché : à l’approche de la date de liquidation, il peut y avoir des anomalies liées aux gens qui ont pris des positions identiques et donc non dénouables.
Le marché au comptant :
On encaisse l’argent dès que la transaction a été faite = dénouement immédiat.
En 1983, on a créé le « compartiment spécial du hors-cote » dans lequel on mettait les société qui prenaient l’engagement d’être inscrites à la cote officielle sous trois. Mais beaucoup de sociétés n’y arrivaient pas on l’a supprimé pour créer le second marché, qui a des exigences moindres que la cotation officielle :
Capital ouvert à 10% sur le marché
Taille réduite
Contrainte audit moindre
Sur le second marché, « le flottant est étroit », ie il y a peu de transactions (car il y a peu de titres et peu de transactions). Mais problème : il y a amplification très forte des variations de cours.
Mais, en bourse, le plus important c’est le volume des transactions.
Petit à petit, on a complété la bourse et on a inventé « le nouveau marché » où on trouve toutes les sociétés à très forte croissance, à fort potentiel :
fondateurs jeunes et diplômés
secteurs d’activités à très forte valeur ajoutée évoluant dans des marchés embryonnaires
doublent de taille rapidement
société de marché mondial.
Mais sur ce marché, il y a certes un très fort potentiel, mais il y a aussi un gros risque.
Dernièrement (08/99), le « hors-cote » a été supprimé et remplacé par le « marché libre ».
la cotation à la criée :
Généralement, il n’y avait qu’une cotation dans la journée.
la cotation en continu :
Tout a été informatisé cotation permanente. Ainsi, le cours boursier peut varier très fort tout en ayant la même cotation à l’ouverture et à la fermeture problème : à quel cours mon ordre a-t-il été passé ?. De plus, on va nous forcer à passer des ordres à cours limité.
La cotation par le fixing
Un certain nombre de titres n’ont pas assez de mouvements pour être cotés en continu on regroupe les cotations à T fixé.
les variations de cours
Il y a tout un système de suspension des cours pour maintenir les cours :
CAC du RM = variation maximale de 20% par jour (10% du cours de la veille puis deux fois 5% en 15 min).
CAC du Comptant et du second Marché = variation maximale de 10% par jour (5% du cours de la veille puis deux fois 2.5% en 30 min).
Il y a suspension de cours quand il y a information anormale (liquidation, etc. …), mais surtout quand il y a fortes variations de cours.
Actions : Passer un ordre en bourse :
les différents types d’ordres :
Ordre au mieux : ordre à exécuter à tout prix.
Ordre à cours limite : on indique la fourchette dans laquelle on souhaite travailler.
Ordre au prix du marché : sans indication de prix, à exécuter à tout prix.
Ordre à appréciation : on laisse l’intermédiaire réagir.
Ordre tout ou rien : pour éviter qu’un ordre ne soit exécuté qu’en partie.
Ordre stop : Si le titre baisse, il sera vendu. S’il augmente, il sera acheté. ordre à seuil de déclenchement.
Le contenu de l’ordre en bourse :
SENS de l’ordre : achat ou vente
MARCHE concerné : RM, Comptant, HC
QUANTITE : nombre de titres
NATURE DU TITRE : action, obligation
NOM de la SOCIETE
CODE VALEUR : Sicovam ou RGA
COURS
VALIDITE : jour / à révocation
(Ex : acheter sur le RM 100 actions PEUGEOT (code 12150) à 551 francs …).
Il faut éviter le cours touché, ie quand le cours d’équilibre est atteint, on est servi au pro rata de notre demande. Il faut donc éviter de demander un titre au cours qui est le cours d’équilibre (cours touché).
« Les valeurs magiques » (cours d’équilibre) sont souvent des chiffres ronds, les cours les plus hauts atteints ….
La Cote
Elle est composée de :
Plus haut, plus bas : cours extrêmes de la séance
Dividende net : somme effectivement versée par la société pour une action
Dividende global : dividende net majoré de l’avoir fiscal
AC/S : part du dividende distribué (A : acompte : avance sur les dividendes versés avant l’approbation du conseil d’administration, S : Solde du dividende, T : totalité)
Secteur d’activité : secteur dans lequel la société occupe son activité principale. Le premier chiffre correspond aux grandes catégories, le second affine l’activité dans cette catégorie.
Cours de compensation : cours fictif établi par la SBF-Bourse de Paris et calculé le jour de la liquidation. Il sert à calculer les soldes débiteurs et créditeurs des sociétés de Bourse. (C’est ce que les gens attendent en moyenne à la fin).
Report : rémunération à acquitter lorsque l’on fait, au règlement mensuel, reporter une position, d’une liquidation à une autre.
Cours moyen : valeur moyenne des cours sur le mois glissant.
%année : variation du titre par rapport au 1er janvier.
%veille : variation du titre par rapport à la veille.
%liquidation : variation du titre depuis la dernière liquidation.
Volume : nombre de titres échangés pendant la séance.
Cours précédent : dernier cours de la séance précédente.
Dernier cours : dernier cours de la séance.
Nominal : valeur de l’action dans le capital social de la société.
Nombre de titres : nombre de titres mis sur le marché.
Premier : premier cours de la séance.
La SBF décide si l’on passe du RM au marché au comptant. Elle prend ses décisions en fonction de la liquidité du titre.
Les obligations :
C’est un titre de créance : contrat de prêt : remboursement capital et intérêts.
La qualité d’une obligation dépend de la « qualité de la signature » (protège contre l’insolvabilité), mais l’inflation peut ronger le capital et l’intérêt.
Caractéristiques d’une obligation :
Valeur nominale ou faciale : base de calcul des intérêts.
Prix d’émission : prix de vente de l’obligation = « pair »
Durée : de 5 à 30 ans
Le taux d’intérêt nominal (intérêt fixe, variable, progressif, indexé …) : taux apparent
Taux de rendement actuariel net : ce que l’on touche réellement
Amortissement : in fine (remboursement en totalité à l’échéance), linéaire..
Les différentes obligations :
Obligation à taux fixe : l’intérêt reste inchangé
Obligation à taux variable : en fonction du taux de référence
A court terme : TAM, T4M, TMB…
A long terme : TME…
Obligation indexée : en fonction d’un indice
Intérêt = (capital du)*(taux d’intérêt)
2392045552450013862055524500
Indexation du capital Indexation du taux
Il y a parfois des doubles indexations (du capital et du taux)
Obligations participatives : en fonction d’une évolution de CA
Intérêt = capital du * taux d’intérêt
2483485228600016605252286000
Taux minime Pondération selon la performance de la société
Obligation à coupon zéro : le coupon est égal à zéro.
On fait une émission en dessous du pair : on va payer par exemple 3500F un coupon qui ne va rien rapporter mais qui va valoir 5000 à la fin.
Pas de versement d’intérêts, émission très en dessous du pair, remboursement in fine élevé.
C’est une astuce fiscale : les produits financiers sont plus taxés que les plus values de cessions.
La cotation des obligations :
Le cours d’une obligation dépend du taux d’émission des obligations nouvelles.
Exemple :
An 1 : Emission de titre A à 10% (nominal 1000), coupon annuel de 100
An 2 : Emission de B à 20% (nominal 1000), soit un coupon de 200
L’obligation A ne rapportant que 10, cours A = 500
An 3 : Emission de C à 5% soit un coupon de 50
Cours A = 2000
Cours B = 4000
Coupon et intérêt couru :
Coupon versé chaque année
1974852032000
18434051492250010204451492250010204451492250019748514922500
102044513335000
197485635000 échéance Temps
Intérêts courus augmentent chaque jour de 1/365
Le cours intègre la proximité de l’échéance
Intérêts courus ou coupons courus
L’aller-retour : une technique fiscale
cession avant distribution du coupon
rachat après …
La fiscalité des plus values diffère de celle des produits financiers.
Cotation au pied du coupon :
Déduction de l’intérêt couru du cours boursier.
Cotation en pourcentage du nominal :
On a des valeurs nominales différentes, pour comparer :
Cotation en % = cours boursier en valeur /valeur nominale de l’obligation
L’intérêt couru est aussi exprimé en % du nominal de l’obligation.
Les OAT (obligations assimilables du trésor)
Toute nouvelle émission d’obligation offre les caractéristiques identiques à celles d’un emprunt antérieur.
En taux
En valeur nominale
Même échéance
Modalités de remboursement identiques
Différents OAT :
OAT à taux fixe
OAT à taux variable
Les types d’obligations :
OC : obligation convertible
Possibilité d’échanger l’obligation contre une action (selon parité fixée à l’avance) pendant une période donnée, à une parité fixée d’avance.
Utilisée par des sociétés qui ont quelques difficultés.
Les OC sont devenues des OCEANE (Obligation Convertible Echangeable en Actions anciennes ou des Nouvelles Emissions) ie La société se garde la possibilité d’acheter ses propres titres en bourse pour pouvoir payer les obligataires qui veulent la conversion évite l’augmentation de capital.
ORA : Obligation Remboursable en Action
Paiement à l’échéance en Action selon parité connue d’avance.
OBSA : Obligation à Bon de Souscription d’Action
Possibilité d’acquérir en plus une action à un prix fixé à l’avance (on a le bon ET l’action) OU volonté de souscription (paiement du titre au prix fixé plus value sur titres) OU vente du bon en bourse.
Bon = droit de souscrire une ou plusieurs actions . Avec un effet de levier pour jouer en bourse.
Caractéristiques du bon :
parité : nombre d’actions auquel il donne droit
prix d’exercice : prix unitaire à payer pour une nouvelle action
durée de vie : période d’exercice
L’effet de levier :
Avec une mise de fonds réduite, la valeur unitaire des bons est faible, possibilité de jouer sur un grand nombre d’actions, les bons permettent donc de multiplier les gains (ou pertes).
OCBSA : Obligation Convertible à Bon de Souscription d’action
Possibilité de convertir l’obligation en action et droit pour achat d’une action en plus OU souscription autre action (paiement du prix fixé) OU vente du bon.
La gestion indicielle (ou la non gestion)
La gestion indicielle
Le gérant va être évalué sur sa performance vis à vis de l’indice.
Gestion indicielle
= reproduction systématique de la composition de l’indice.
C’est la gestion passive.
Avantages :
Automaticité de la gestion
Limitation des coûts de gestion
Transparence pour l’investisseur
= résultat toujours moyen
Remarques :
Très utilisée par les fonds de pension
Que représentent réellement les indices ?
Indice : Reflet du marché ?
Deux méthodes statistiques :
Echantillon de taille suffisante
Echantillon représentatif car sélection
L’indice DOW JONES = le plus grand menteur
car simple moyenne arithmétique des 30 meilleures valeurs industrielles de la bourse de New York
= représentatif de l’« aristocratie de la bourse ».
Uniquement des Blues Chips
Pas de pondération selon capitalisation
Une entreprise en difficulté est sortie de l’indice
Mais,
L’indice représente ¼ de Wall Street (il n’est pas du tout représentatif du marché américain mais seulement des valeurs qui le compose)
Indice très ancien (1884) pas d’informatique
Le standard & Poor’s 500
Composition de 500 sociétés
=75% de la capitalisation de Wall Street.
LES TYPES D’INDICE
L’indice, reflet du marché ?
Tout dépend de :
La composition du panier de valeurs
Nombre de valeurs retenues
Les indices de sélection :
Composition des valeurs phares de la place
Titres à grande liquidité
=représentatif du comportement boursier des meilleurs titres.
Les indices larges :
Composition de nombreux titres
= représentatif de l’ensemble du marché.
Note :
L’indice n’est qu’une moyenne
Connaître ce que font les meilleurs est utile
Comparaison avec l’ensemble du marché
CAC 40 : les 40 titre du RM
SBF 120 :valeurs du CAC40 + 80 titres
SBF 250 : valeurs du SBF120+130
(SBF 80 = Les 80 valeurs rajoutés au CAC pour le SBF120)
EN NOMBRE DE EN CAPITALISATION
VALEURS
383857515811500372427543815004095754381500
395287510477500
866775-190500
418147559055CAC 40
00CAC 40
10953755905500
132397512001500
14382756667500 CAC40
3381375133350016668751333500 SBF120
3381375742950020097757429500 SBF250
MIDCAC : nouvel indice, symbole des valeurs moyennes
=indice transversal de 100 valeurs :
Aucune valeur du CAC40
pas de valeurs financières
avec des valeurs du 2nd marché
mais avec des cotes en continu
LES INDICES
LES INDICES DE SELECTION
INDICES DAX = bourse de Francfort
indices de capitalisation à dividendes réinvestis
=30 valeurs = 70% capitalisation
les indices larges
indice FOOTSIE FT100, bourse de LONDRES (FT=Financial Times)
indice de capitalisation à dividende réinvestis
=100 valeurs = 80% capitalisation
indice NIKKEI, bourse de TOKYO
moyenne arithmétique
Aujourd’hui, on s’aperçoit qu’avec la gestion indicielle, les gens finissent par faire n’importe quoi. Pour une entreprise, le fait d’être sélectionnée dans un indice modifie les cours, et parfois à tord.
Les titres choisis dans les indices sont sélectionnés par un comité scientifique.
Les OPCVM (Organismes de placement Collectif en Valeurs Mobilières)
= SICAV (Société d’Investissement à Capital variable grande souplesse du capital)
= FCP (FONDS Commun de Placement).
Gestion d’un portefeuille de valeurs mobilières :
Gestion par un spécialiste
Diversification possible = effet de taille
Des frais de courtage plus faibles qu’un direct
4 900 OPCVM pour 2 620 milliards de francs
Une réglementation simple mais efficace
Comparatif SICAV et FCP :
SICAV
FCP
Action
Valorisation quotidienne
Part sociale de copropriété
Valorisation hebdomadaire
Obligation d’obligation
Contrainte :
Obligation d’avoir 30% des actifs en obligation à taux fixe ou en liquidité
Maxima
Contraintes :
20% en liquidité (donc au minimum 8 titres)
20% au marché libre
Pas plus de 10% de l’actif sur un seul titre
Pas le droit de prendre plus de 10% du capital d’une société
Taille = grande
Les SICAV collectent trois fois plus que les FCP
Taille = réduite
Quatre fois plus de FCP que de SICAV
Frais maxima
Gestion = 1%
Entrée /Sortie = 4.75%
Frais maxima
Gestion = 2%
Entrée /Sortie = 4%
Frais de gestion et droits d’entrée /sortie :
OPCVM de trésorerie = court terme :
Pas de droits d’entrée /sortie
Frais de gestion uniquement
Rendement régulier
OPCVM pour capital retraite = Long terme :
Droits d’entrée ou de sortie forts
Frais de gestion réduit
Rendement à long terme
La vocation de l’OPCVM :
Objectif de gestion
Politique d’investissement
Méthode fondamentaliste
Principe : connaître l’entreprise
Le titre est une partie de l’entreprise.
La réalité s’impose toujours au marché.
Ne pas se laisser prendre par le marché et ses rumeurs.
Règle :
Détermination de la valeur réelle du titre
Comparer au cours boursier.
On traque les valeurs sous-évaluées en bourse par rapport à la valeur attribuée par la méthode fondamentaliste.
EUROS
5238759398000
6381754826000
2009775109220Augmentation
De capital
00Augmentation
De capital
Ligne
de
cours
523875109220000 temps
Les Raiders :
Raiders = revente des entreprises par « appartement ».
Recherche d’une société sous évaluée en bourse
Faible image « boursière »
Management peu dynamique
Achat de l’entreprise en bourse
Ramassage du titre en bourse
Collecte de fonds : grâce à des « junk bonds »
Prise de contrôle de la direction
Nomination d’administrateur
Renouvellement direction
Cession des actifs
Vente des actif à leur valeur vénale
Constitution d’une trésorerie pléthorique
Distribution de dividendes
Versements massifs aux actionnaires
Remboursement des fonds mobilisés (de « junk bonds » si on en a utilisés)
Les outils : évaluation des titres
EVALUATION GLOBALE DE L’ENTREPRISE
ANALYSE FINANCIERE DE LA SOCIETE
EVALUATION D’ENTREPRISE
LE RATING
EVALUATION PAR LE RENDEMENT
LE TAUX DE DIVIDENDES
LE TAUX DE RENDEMENT
LE P.E.R.
L’analyste financier :
le spécialiste de l’évaluation des sociétés :
Production de diagnostic et études financières
Spécialisation par secteurs
Ouverture internationale indispensable
La multiplicité des critères
Analyse des comptes de la société
Etude de marché, des produits et de la concurrence
Appréciation de la qualité du management
La SFAF (Société Française des Analystes Financiers) ( Diplôme SFAF reconnu)
Cinq ans de pratique ou diplôme SFAF
Réunions professionnelles avec les sociétés cotées
Revue Analyse Financière
Simples conseillers…
…ou fins manipulateurs ?
Evaluation globale de l’entreprise :
Analyse financière de la société
Analyse financière en quatre dimensions :
Croissance (TRES IMPORTANT
= connaître le potentiel de l’entreprise
Capacité à se développer :
en CA
en valeur ajoutée
en effectif salarié
Rentabilité
= capacité à générer des profits
compte de résultat
Soldes de gestion
Ratios de rentabilité
CAF
Autonomie
= relations management et associés
Rentabilité financière
Politique de dividendes
Solvabilité
= capacité à faire face aux échéances
Bilans
Bilan financier retraité
Plan de financement
Ratios et agrégats
Evaluation de l’entreprise
LA SUR-VALEUR
Le problème de la sur-valeur : accepter de payer très cher quelque chose, plus cher que le prix normal, en prenant en compte des potentiels de profits connexes.
Ex. : acchat d’un terrain 300F au lieu de 1000f (sa réelle valeur) car aménagement d’une future route…valeur comptable pourtant = 1000F en compta on amortit la sur-valeur
Dans les entreprises la sur-valeur est très importante et modifie beaucoup les comptes.
Le profit warning
On prévient le marché que le résultat ne respectera pas le consensus (estimation générale du marché des résultats à venir).
= Mise en garde des dirigeants vis à vis des prévisions faites par des analystes.
actif net comptable
14382752667000 Actif passif
actif fictif actif fictif
immo nettes
SITUATION NETTE
Stocks
Créances clients DETTES
autres créances
disponibilité
TOTAL DE L’ACTIF
- ACTIFS FICIFS …(Frais d’établissements…)
- DETTES………….(Emprunts fournisseurs,…)
= ACTIF NET COMPTABLE
ON PEUT COMPARER ANC A
L’actif net comptable corrigé
= ANC + plus ou moins values sur actifs
( fonds de commerce et marques, immobilier , autre actifs)
méthode plus juste mais difficile à calculer. ( prix d’une marque ?)
on peut aussi comparer
l’actif net comptable par action (ANCC/Nbre de titres)
au cours boursier.
On part de l’idée que le marché boursier peut ne pas se rendre compte de la valeur d’une entreprise.
13233404127500Le rating ou NOTATION FINANCIERE
Définition : Le « pèse signature »
= Classification des entreprises selon leur qualités par des analystes indépendants
Agences :
MOODY’s
STANDARD AND POOR’S
ADEF
IBCA
La notation permet à un investisseur de sélectionner des sociétés
qu’il ne connaît pas.
le poids des agences de rating.
Une BONNE NOTE = réduction du coût d’emprunt
Toutes modifications à la baisse mal acceptées…
« mise sous surveillance »
Leur poids est très important, car pour les entreprises cela signifie une réduction du coût d’emprunt.
Ces agences sont indépendantes.
Evaluation par le rendement
Le taux de dividendes :
l’entreprise représente un potentiel de profit.
mode de calcul
taux de dividendes
= dividendes + avoir fiscal
cours boursier
avoir fiscal = crédit d’impôt
= non paiement de l’impôt
permet d’éviter la double imposition sur la société.
Quel cours boursier ?
En prenant le dernier cours boursier on peut se tromper.
Plusieurs visions :
Politique de Cash-Flow
Pour un investisseur : son coût d’achat du titre
standard
cours boursier n-1
Le coût d’achat d’il y a un an
Le dernier cours connu
= Vision de la bourse Biais important de l’information car ne correspond pas au prix auquel on l’a acheté absurdité possible
Interprétation
= ce taux de liquidité du titre dépend de
la politique de dividendes de la société
prix de l’action.
CERTAINS APPEL TAUX DE DIVIDENDES TAUS DE RENDEMENTS
OR
TAUX DE RENDEMENT
= TAUX DE PERFORMANCE REELLE EN LIQUIDITE EN CAPITAL
1° MODE CALCUL
TX DE RENDEMENT = DIVIDENDES + A.F. + Ecart de COURS
Cours Boursier
QUEL COURS BOURSIER ?
Voir remarque pour Taux de dividendes…
QUEL ECART DE COURS ?
Voir remarque pour Taux de dividendes…
TAUX EN %
S’assurer qu’il s’agisse d’un taux annuel…
Le taux de rendement
Mode de calcul
= dividendes + AF + écart de cours
cours boursier
8661404127500taux en % s’assurer qu’il s’agit d’un taux annuel.
Donc on évalue la performance en liquidité et en plus ou moins value sur le titre.
Evaluation par le rendement
Le bénéfice par action ou BPA
BPA = bénéfice de l’entreprise
Nombre de titres
Quel bénéfice ?
RNC après impôt sur les sociétés, avant affectation des résultats.
En finance = cash flows
En terme de liquidité
Réintégration charges non décaissables
Incidence du nombre de titres
Augmentation de capital
Multiplication du nombre de titres
Effet de dilution du BPA
Rachat d’actions
Le price earning ratio.
PER- P/E = Taux de capitalisation ou combien d’années me faudra t il d’années avant de récupérer ma mise.
1 METHODE DE CALCUL
PER = cours boursier
Benefice par action
En multipliant par le nombre de titres
PER = Capitalisation boursière
Bénéfice de la société.
ON PREND TOUJOURS
RESULTAT NET D’IMPOT AVANT DISTRIBUTION DES DIVIDENDES
2 Interprétation
Taux de capitalisation
Combien faudra t’il d’années de bénéfice pour retrouver le cours boursier actuel ?
Comparaisons sectorielles
Moyennes par secteur d’activité.
si grande entreprise investit beaucoup on accepte 15/20
si entreprise informatique par exemple, 2/3
PER normal entre 8 et 10
On accepte des PER longs si la prévisions des bénéfices est intéressantes : Très forte croissance du bénéfice (YAHOO = 350 !!!!!!).
En effet, le PER se calcul à partir du dernier résultat connu
SUREVALUATION SI supérieur à cette moyenne
SOUS EVALUATION SI inférieur à cette moyenne
En moyenne 10 ans de bénéfice actuel pour récupérer ma mise c’est relativement long.
Méthode fondamentaliste : je connais la vrai valeur et je sais que tout le monde se trompe.
Ex : Warren Buffet à Omaha.
Fonds Magellan : Peter lynch
« si le produit est bon et la société valorisée, il y a sûrement du profit à faire. »
Méthode chartiste
Principe : suivre les cours boursiers
« on suit au jour le jour les cours boursiers pour suivre les changements de tendance.
Il faut donc acheter au plus bas et vendre au plus haut. »
Les outils : graphes et figure
Les cycles de la bourse
Phase de croissance.
Les entreprises se développent grâce à des augmentations de capital ou missions d’obligation qui financent les investissements rentables. C’est la phase de hausse des cours.
Phase de spéculation :
La croyance en une ère de croissance entraîne des investissements inconsidérés. C’est la phase d’emballement de la bourse « surcotation »
Phase de désespoir :
Chute de rentabilité des entreprises et absence de financement par la bourse. C’est la phase de chute des cours.
Phase d’attente :
Assainissement du marché et restructuration des entreprises.
Phase d’éveil de la bourse.
Le choix des graphiques :
1. une valeur par séance boursière
der nier cours côté en bourse
cours moyen de la séance.
2. le bar chart
le niveau le plus élevé du bâtonnet correspond au cours le plus haut
le niveau le plus bas du bâtonnet correspond au cours le plus bas
le trait intermédiaire correspond au dernier cours côté
ajustement des cours
Opérations en capital :
Cours de la période étudiée , la société a pu procéder à :
Une augmentation de capital
Une distribution d’actions gratuites
Des conversions d’obligations convertibles
Impossibilité de comparer les cours boursier avant et après l’opération
Ajustement des cours
En remontant dans le temps recalcule des anciens cours.
Lissage par application d’un coefficient fonction de la parité d’opération.
Exemple :
Division du nominal d’une action par deux
Le cours va perdre immédiatement la moitie
Le volume est important car plus il y a d’échange plus le cours constaté est considéré comme valable.
La méthode des canaux :
Méthode simple mais d’application délicate.
Déterminer la tendance avec deux droites/la ligne des plus hauts (ou sommets)
La ligne des plus bas ( ou creux)
= enfermer la ligne des cours.
On ne prend jamais la première valeur, ni la dernière.
Mettre en valeur :
Des planchers de résistance ou supports
Des plafonds
Critères de décision :
A la hausse : tout franchissement de la ligne.
A la baisse : quand on crève le plafond
La tendance c’est vraiment un comportement du marché. Si on sort de ce trend, cela devient intéressant.
1809751270000638175127000001809751270000
2952757620000
63817525400006381752540000
29527515240000
63817510160000
66675000
La méthode chartiste ne s’intéresse pas à la vrai valeur du titre mais ce que pense le marché du titre.
On recherche ce que font les autres
Métaphore de Keynes
Dans certains journaux, concours de beauté où les concurrents doivent sélectionner la photo qui sera le plus souvent choisie.
Il ne faut pas retenir celle qu’on préfère.
Ni même celle que l’homme moyen va trouver la plus jolie
IL faut anticiper ce que le grand public
pense être l’opinion du grand public.
= TROISIEME DEGRE
Principe de head and shoulders :
Lorsque on passé les trois phases, il faut s’attendre à une forte baisse.
132397578740tête
00tête
40957512319000
2466975104140Epaule droite
00Epaule droite
295275104140Epaule gauche
00Epaule gauche
395287515240Ligne des plus bas ou
Ligne du cou
00Ligne des plus bas ou
Ligne du cou
303847527940001803403556000
6667540640Tendance haussière
00Tendance haussière
360997540640Signal de vente
00Signal de vente
Les « day- traders » font des entrées et des sorties jour après jour
Interprétation :
ANALYSE DU COMPORTEMENT DES INVESTISSEURS
PHASE DE HAUSSE : le titre s’approche de son point de retournement. Il atteint le plus haut de la sinusoïde et la pression baissière va commencer à faire son effet ;
la première épaule : une légère baisse avec un prix bas attire des nouveaux investisseurs qui croient encore dans la titre. Cette demande arrêt la baisse et le cours rebondit momentanément dans un volume de transaction
la tête : des retardataires regrettent de n’avoir su profiter de la dernière baisse et se portent acquéreurs du titre. Comme ils sont moins nombreux –volumes en baisse- l’envolée est forte mais limitée d’où la rechute abrupte jusqu’à hauteur du cou. Une ligne des plus bas ou ligne du cou peut être tracée.
la deuxième épaule : quelques investisseurs tardifs retiennent la baisse pour un court moment et en faibles quantités (volumes réduits). Tous les acheteurs qui voulaient profiter de cette baisse au niveau des plus bas ont été servis.
Soit en résumé :
le titre est en phase de baisse.
un prix bas attire les investisseurs = arrêt de la baisse, le cours rebondit. (1ère épaule)
des retardataires moins nombreux achètent le titre d’où une envolée courte et limitée (rechute) = tête
quelques investisseurs tardifs retiennent la baisse pour un faible moment et en faible quantité = 2ème épaule
plus rien n’arrête la chute du cours = forte baisse.
La tasse avec anse :
294640266700040894014097000
29464012065000
Les chandeliers Japonais
Si il y a hausse , le corps vrai est blanc ( ie limite entre le cours d’ouverture et le cours de fermeture.)
Un chandelier noir, cela signifie que le corps vrai est noir ie que le cours final plus bas que le cours d’ouverture.
Ex :
Si cours d’ouverture = cours de fermeture mais séance mouvementé
Le chandelier blanc (marché en hausse) Le chandeleir noir (baisse)
18954751447800029527530480Plus haut
00Plus haut
178117515748000752475157480Cours de cloture
00Cours de cloture
5238754318000
52387510668000
-50482568580Cours de fermeture
00Cours de fermeture
29527513208000
29527530480Plus bas
00Plus bas
Quand cours ouverture = cours fermeture = DOJI
DOJI LONGUE JAMBE
DOJI PORTEUR D EAU
DOJI PIERRE TOMBALE
PHASE DE NUAGE NOIR
8667755588000
75247557785004095755588000
29527511938000
PHASE DE L ETOILE NOIR
1438275132080008667751778000
7524758128000
1323975144780004095755588000
29527511938000
THEORIE DE CHARLES DOW
212407514478000155257514478000
2952759398000
258127510668000246697510668000
1438275558800010953755588000
98107568580005238756858000
3038475177800028098751778000
666754318000
Interprétation des trois mouvements
Accumulation des astucieux
Imitation des suiveurs
Distribution par les astucieux (allégement ou vente)
Theorie du nombre d’or
Suite de Palaschi ? est obtenue en ajoutant les deux nombres précédents :
1
2
(2+1)
5 (3+2)°
8 (5+3°)
13 (8+5)
22383751066801
001
R.N. ELIOTT ne peut que s’n inspirer pour comprendre dans le mouvement des cours boursiers ,le rythme et le comportement
2581275304805
005
269557530480002124075304800029527514478000
1781175939803
003
349567515748000315277515748000
9810751066801
001
200977510668000143827510668000
292417568580A
00A
200977550804
004
13239751193800075247511938000
1323975812802
002
5238751066805 vagues de TENDANCE
005 vagues de TENDANCE
28098751066803 vagues de CORRECTION
003 vagues de CORRECTION
6667513208000
LES VAGUES D ELIOTT
LE THEME ASTRAL DES SOCIETES
8667751778000Triangle : très forte hausse
1803406985000
Cela arrive si un individu décide de vendre lorsque son titre atteint une certaine valeur.
29527514224000
METHODE D ANALYSE TECHNIQUE
Les moyennes mobiles
Principe :
Pour Supprimer les variations secondaires
faire une moyenne arithmétique des « n » derniers cours.
la moyenne mobile se place à hauteur du dernier cours boursier connu =
décalage du graphique.
La moyenne n’est pas au centre !
408940-190500-90170-70929500
Moyenne mobile
On va utiliser comme critère de décision le franchissement de la courbe des cours par la courbe des moyennes mobiles est un signal de changement de tendances.
Ritères de décision M.M.
Tout croisement de laligne des cours et de la ligne des moyennes mobiles est un indicateur de changement de tendance.
Un signal « en berceau » avec une lente évolution de ligne des moyennes mobiles est de meilleure qualité qu’un signal brusque lié à une variation abrupte des cours boursiers.
SURETE DE LA DECISION ET RAPIDITE
Une préoccupation de la rapidité de l’information amène à choisir des moynnes courtes de 5,10, ou 20 séances.
La recherche de la sûreté dans l’information impose des moyennes longues soit jusqu’à 200 séances
C’est à dire près d’un an de cotation
MOYENNE PONDEREES
PONDERATION
Pour donner plus d’importance aux cours les plus récents, on attribue un poids d’autant plus faible que les cours sont anciens.
Les moyennes exponentielles en sont une autre forme de pondération.
Durée de M-M
De 50 jours à 240
Plus la moyenne mobile est courte, plus on aura un signal rapide mais l’interprétation est peut être trop courte.
Interprétation des bandes de Bollinger
un mouvement partant de l’extrémité d’une bande a tendance à aller jusqu’à l’autre extrémité de la bande.
Quand les prix passent à l’extérieur des bandes, poursuite de la tendance existante.
Après une contraction des bandes correspondant à une chute de la volatilité, des retournements violents de prix surviennent
Des sommes à l’extérieur de la bande suivis de sommets à l’intérieur anticipent un changement de tendance.
LES MOYENNES MOBILES DOUBLES
Deux moyennes mobiles :
La moyenne longue indique la tendance o long terme
La moyenne courte alerte vite sir les évolutions en cours.
Le croisement des deux moyennes indique un changement de nature de la tendance
L ANALYSE TECHNIQUE
= utilisation de techniques statistiques élaborées pour déterminer les changements de tendance
exemple du lancement d’un caillou : il monte puis rest un temps infinissimal arrété puis il redescend.
Principe
Analyse cinétique de l’évolution du cours boursier pour anticiper le changement de tendance.
Juste avant ce retournement, ralentissement de la vitesse.
INDICE DE VELOCITE
= puissance d’accélération ou de décélération
METHODE DES FILTRES
= sélection de variations significatives.
Le point et figures
= une méthode différente oubli du facteur temps.
Constitution dela grille PF
Spprimer sur le graphe l’incidence du temps en abscisse par une analyse des mouvements du cours boursier en unités minimales de.
5F pour un cours de moins de 100 F
10 F pour un cours entre 100 et 1000 F
20 F pour un cours supérieur à 1000F
règles
une X pour chaque hausse d’une unité minimale
un O pour chaque baisse d’une unité minimale
les X et lesO sont placés dans des colonnes différentes
chaque colonne contient au minimum trois signes
s changement de colonne
pas de signe X et O à la même hauteur.
Critère de décision
Signal classique.
X
X O X
X O X
X X O Le nouveau plus haut est moins haut que l’ancien plus haut
X O O
X O O le nouveau plus bas est plus bas que le précédent plus bas.
Vente.
X
Analyse cinétique du cours.
On étudie la vitesse relative du cours.
N’est-il pas en train de ralentir ? dégringolade proche ?
Méthode des filtres.
= sélection de variations significatives ou non.
Méthode scientifique
Une approche théorique
Analyse scientifique à partir d’une banque de données = historique cours boursiers.
« maîtrise et compréhension des lois de la nature qui régissent les variations de cours boursier. «
hypothèse théorique :
il faut qu’il y a lire accès à l’information :
délit d’inités et délits de manœuvres
coût de transaction faible.
Inférieurs à 1%
Fiscalité neutre et transparente
Neutre = identique pour tous les produits financiers
Transparente = connue lors de la décision
Hypothèses techniques
Divisibilité des titres
Un nominal adapté au cours
Théorie des marchés efficaces
« le marché dans son évaluation d’un titre intègre instantanément les conséquences du passé et reflète toute les anticipations »
analyse
le cours boursier est juste
=intègre toute l’information disponible.
le cours est non prévisible
l’évolution du cours est aléatoire.
Conséquences
Théorie des cheminements aléatoires ou random walk théorie
Validation forme faible
Le cours boursier a t-il vraiment un cheminement aléatoire ?
Recherche d’une éventuelle corrélation entre les variation de cours boursier d’une période à l’autre.
Validation semi-forte
Les méthodes chartistes ou fondamentalistes.
Peuvent-elles battre le marché ?
A long terme ,ces deux méthodes ne s’avèrent absolument pas valables.
Mais elle pet être ponctuellement efficace.
Analyse peu appréciée par les spécialistes de la bourse.
Validation forme forte :
Les spécialistes battent – il le marché ?
Evaluation des performances des gestionnaires de portefeuille :
Sur logue période, pour l’ensemble de leur gestion, compte tenu du risque.
Conclusion :
Aucun gestionnaire ne peut battre le marché.
Principe : loi rendement / risque
Rendement = dividendes + avoir fiscal + plus value sur le titre
RDT = moyenne de chaque rendement pondérée par sa probabilité.
Définition du risque d’un titre :
Le risque c’est la variabilité du résultat attendu
L’outil qui va nous servir à mesurer c’est l’écart type.
Hypothèse de la loi normale.
Pour faciliter les calculs on suppose une symétrie autour du rendement attendu
Loi centrer réduite ou loi laplace-gauss.
Donc risque de perte mais aussi de gain.
On va pouvoir présenter :
66% de chance d’être entre plus ou moins un écart type
95% de chance être entre plus ou moins deux écart types
99% de chances d’être entre plus ou moins trois écart types
principe : le critère rendement – risque
a rendement égal, choix du risque le plu faible
a risque égal, choix du rendement le plus fort.
La ligne d’efficience
Elle relie les titres non comparables entre eux
Règle : prime de risque.
Toute augmentation du risque doit être compensée ….
La gestion de portefeuille
Comment calculer le rendement :
= moyenne pondérée du rendement de chaque titre par sa part dans le portefeuille.
Risque d’un portefeuille.
Le risque d’un portefeuille n’est pas égal à la moyenne pondérée du risque de chaque titre par sa part dans le portefeuille.
Les variances ne s’additionnent pas.
V ( X, Y) = V(X) + V(Y) + 2 COV (X,Y)
En réalisant en même temps deux opérations à risque opposé on limite le risque global..
Le modèle de Markowitz
On se retrouve devant un nombre de composition de portefeuille infini.
Le modèle de sharp
Simplifier les calculs en prenant référence au rendement du marché .
La variation du rendement d’un titre peut être décomposée en :
Des variations communes à l’ensemble du marché
Des variations spécifiques au titre.
Mesure :
Par hypothèse, la relation entre l’évolution du rendement d’un titre et celle de l’indice de marché est considérée comme linéaire.
Régression linéaire : droite des moindres carrés :
Droite …………………….. RIT=
Alpha + bêta * RMT
Si bêta >1 alors le rendement du titre va progresser.
6604095250002946409525000
13233404572000
-16256010985500Rdt titre
29464013970000
Rdt marché
Si 1