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Ingénieur de police scientifique
Histoire et dépendance
Créée en 1985 identification auteurs d’infractions
Ingénieur police scientifique appartient à la police judiciaire concours
Exerce fonction au sein de la sous direction de la police technique et scientifique
Domaines et services
Elle est composée de cinq services : la division de la logistique opérationnelle, le centre national de recherche, de documentation et de formation, le service central d’identité judiciaire, le service central de documentation criminelle et le service de l'informatique et des traces technologiques.
Domaines : recherche criminelle
Mission d’identité judiciaire
Travaux d’analyse en laboratoire
Nouvelle technologie
Informatique
Balistique : étude des armes, munitions, détermination des trajectoires de tir,…
Biologie : analyses de traces biologiques (sang, sperme,…), établissement de profils génétiques,…
Documents-traces : examens de documents, études comparatives d’écritures manuscrites et dactylographiques, révélations et études des traces papillaires,…
Incendies-explosions :(A Paris, spécialité traitée par le laboratoire central de la préfecture de police) : analyses des explosifs et liquides inflammables, détermination des causes d’un incendie,…
Physique-chimie : analyses des peintures, verres, fibres,… recherches de résidus de tir…
Stupéfiants : analyses de substances chimiques (échantillons de saisie, drogues,…).
Toxicologie : recherche de toxiques dans les milieux biologiques (A Paris, ces deux dernières spécialités sont traitées par le laboratoire de toxicologie de la préfecture de police).
Rôle et évolution du technicien et de l’ingénieur
Lutte contre le terrorisme, le crime organisé et la petite et moyenne délinquance
Ingénieurs ont pour mission d’effectuer toutes constatations, examens et analyses qui leur sont demandés par les magistrats, les services de police ou de gendarmerie et toutes autres autorités qualifiées.
Possibilité d’évolution vers responsable de direction d’un service.
Evolution, localisation et ouverture de la police scientifique
Création en 2001 du service de l’informatique et des traces technologiques (le traitement du signal audio, de l’image et l’expertise informatique).
Ecully (Rhône), la sous-direction de la police technique et scientifique
5 labo : Lille, Lyon, Marseille, Paris, Toulouse
Coopération internationale
La police technique et scientifique (Ingénieur)
Fonctionnaires de la police nationale, les ingénieurs de police technique et scientifique concourent à la mission de police judiciaire de leur service d’affectation.
De ce fait, et eu égard à la nature de leur recrutement, ils ont pour vocation principale à exercer leurs futures fonctions au sein de la sous-direction de la police technique et scientifique.
Créée en 1985, celle-ci réunit l’ensemble des services qui concourent à l’identification des auteurs d’infractions.
Ainsi, elle exerce sa mission d’aide à l’enquête dans de nombreux domaines tels que les recherches criminelles, les missions d’identité judiciaire, les travaux d’analyses réalisés dans les laboratoires de police scientifique, les nouvelles technologies, la mise en oeuvre d’outils informatiques.
Par son action, elle contribue à la lutte contre le terrorisme et le crime organisé, mais également, au quotidien, à la lutte contre la petite et moyenne délinquance.
Elle collabore, par ailleurs, à des actions de coopération internationale dans le cadre d’Interpol ainsi que de l’Union Européenne et participe aux actions menées à l’étranger par le Service de Coopération Technique Internationale de Police.
Située à Ecully (Rhône), la sous-direction de la police technique et scientifique couvre l’ensemble des domaines de la criminalistique au travers des services qui la composent dont, notamment le service central des laboratoires, le service central d’identité judiciaire et le service de l’informatique et des traces technologiques.
Le service central des laboratoires assure la gestion du fichier national automatisé des empreintes génétiques et fédère l’activité des cinq laboratoires de police scientifique situés à Lille, Lyon, Marseille, Paris et Toulouse. A court terme, l’ensemble de ces services (ainsi que le laboratoire de toxicologie de la Préfecture de Police) seront intégrés dans un « institut national de police scientifique », établissement public administratif sous la tutelle du ministère de l’intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales. En son sein, ils poursuivront leurs activités dans les domaines suivants :
Balistique : étude des armes, munitions, détermination des trajectoires de tir,…
Biologie : analyses de traces biologiques (sang, sperme,…), établissement de profils génétiques,…
Documents-traces : examens de documents, études comparatives d’écritures manuscrites et dactylographiques, révélations et études des traces papillaires,…
Incendies-explosions :(A Paris, spécialité traitée par le laboratoire central de la préfecture de police) : analyses des explosifs et liquides inflammables, détermination des causes d’un incendie,…
Physique-chimie : analyses des peintures, verres, fibres,… recherches de résidus de tir…
Stupéfiants : analyses de substances chimiques (échantillons de saisie, drogues,…).
Toxicologie : recherche de toxiques dans les milieux biologiques (A Paris, ces deux dernières spécialités sont traitées par le laboratoire de toxicologie de la préfecture de police).
Le service central d’identité judiciaire organise et coordonne l’activité de tous les services d’identité judiciaire, ces derniers regroupant l'ensemble des moyens techniques propres à assurer l'identification des individus ainsi que la recherche et le prélèvement des indices matériels et biologiques sur les scènes d'infraction en vue de leur exploitation en interne ou dans les laboratoires de police scientifique.
Il élabore et planifie la formation de leurs personnels et programme leur équipement en matériels spécifiques.
Il définit les protocoles de travail applicables à la spécialité.
Comptant parmi son personnel des spécialistes en balistique, documents et révélation de traces papillaires, il assure également la direction d'application du fichier automatisé des empreintes digitales qui permet d'unifier les recherches dactyloscopiques dans un fonds documentaire unique et exhaustif, commun à la police et à la gendarmerie.
Créé en 2001, afin de tenir compte de l’irruption massive dans la vie quotidienne des nouvelles technologies, susceptibles de constituer un nouveau vecteur de criminalité, le service de l’informatique et des traces technologiques comporte parmi ses missions les principales activités suivantes : le traitement du signal audio, de l’image et l’expertise informatique.
Ainsi, dans des domaines diversifiés, les ingénieurs de police technique et scientifique ont pour mission d’effectuer toutes constatations, examens et analyses qui leur sont demandés par les magistrats, les services de police ou de gendarmerie et toutes autres autorités qualifiées.
En outre, ils assurent l’encadrement des personnels placés sous leur autorité et peuvent se voir confier la responsabilité de la direction ou de l’encadrement de services ou d’unités de police technique ou scientifique, en fonction de leur compétence.
Participant à la mission de police judiciaire, ils reçoivent leur affectation en fonction de leur spécialité et des besoins de l’administration.
Balistique
Étude des armes, munitions, détermination des trajectoires de tir,…
Biologie
Analyse de traces biologiques (sang, sperme…), établissement de profils génétiques,…
Documents-traces
Examens de documents, études comparatives d’écritures manuscrites et dactylographiques, révélations et études des traces papillaires,…
Incendies-explosions
(A Paris, spécialité traitée par le laboratoire central de la préfecture de police) : analyse des explosifs et liquides inflammables, détermination des causes d’un incendie,…
Physique-chimie Analyse des peintures, verres, fibres,… recherche des résidus de tir…
Stupéfiants
Analyse des substances chimiques (échantillons de saisie, drogues,…)
Toxicologie
Recherche de toxiques dans les milieux biologiques
Projet Personnel et Professionnel
Technicien d’Investigation
Sommaire
Sommaire Général :
Introduction
Synthèse
Discussion
Conclusion
Sommaire des annexes :
Fiche projet individuelle
Fiche recherche documentaire
Introduction
Le thème que nous avons choisi, est le métier de technicien d’investigation. Ce métier est raccordé à la police scientifique en général. Ce métier qui était très spécialisé a été étendu à l’ensemble de la police scientifique pour nos recherches.
Ce travail consiste en des recherches et des prélèvements d’indices sur le terrain, en une aide apportée au gérant de laboratoire, en un ensemble d’expériences en laboratoire ou sur le terrain qui peuvent conduire à la résolution d’une enquête.
Nous avons pensé que pour avoir le profil pour ce type de travail, il fallait être motivé, rigoureux, minutieux, observateur, et qu’il ne fallait pas être émotif ou routinier.
Nous pensions au départ que la formation devait passer par un baccalauréat Scientifique, puis deux choix s’offraient à nous : une licence et le concours de police, ou le concours de police et une formation interne.
Enfin, cette activité professionnelle est centralisée autour de laboratoires, dans le monde du fonctionnariat, puisque employé par l’état.
Synthèse
Pour nos recherches, je suis d’abord allé sur internet, sur le site de la police, de la gendarmerie, et sur les sites qui pourraient traiter du sujet, et de tout ce qui toucherai de près ou de loin au secteur de la police scientifique. Malheureusement, le peu d’informations à ces sujets, et même l’inexistence totale d’informations sur les « techniciens d’investigation » m’ont fait abandonner cette voie.
Je suis donc aller faire des recherches au SUIO de l’université, et une conseillère m’a aiguillé vers les fiches concours de la police. Mais encore une fois, la mention « technicien d’investigation » n’était pas de la partie, et donc cette fois encore, mes recherches furent peu fructueuses.
C’est donc avec peu d’informations que nous avons recherché des contacts dans ce monde. Et de par notre manque d’informations, et de par le peu de disponibilité des personnes contactées, nous n’avons pu recevoir de réponses à nos questions. Ainsi, nous n’avons ni interview, ni réponses de quelque sorte qu’elle soit.
Pour ma part, ayant été absent à une séance (je me suis fracturé le coude la veille), et donc n’ayant pas revu mon groupe assez tôt, je n’ai pas pu chercher à entrer en contact avec une personne de ce milieu. J’ai certainement manqué d’organisation avec le reste de mon travail en dehors de ces PPP, et donc manqué de temps pour faire mes recherches. De plus, les évènements dans les « citées » n’ayant pas facilité notre travail, je pense que l’erreur ne vient pas entièrement de nous, mais que nous avons notre part à assumer. Pour ma part, j’ai essayé de participer un peu plus pour la fin de notre travail, c'est-à-dire quand nous avons mis en place une structure pour le poster, et j’ai réalisé les explications relatives à chaque département de recherche sur le poster.
Enfin, et simplement à titre d’information, nous avons reçu des renseignements par mail de la gendarmerie, mais il était trop tard pour que nous puissions les exploiter pleinement.
Discussion
De par l’absence d’informations reçues de nos entretiens, nous ne pouvons confronter que les quelques informations que nous avons pu trouver par nous-même.
Ainsi, nous nous sommes rendus compte que pour pouvoir entrer dans la police scientifique en tant que technicien, il faut être titulaire d’un diplôme universitaire de technologie, d'une qualification classée au niveau III ou d’un diplôme délivré dans un des Etats membres de l’Union Européenne et assimilé au DUT par une commission spécifique.
Je me suis rendu compte qu’il existe aussi le poste d’ingénieur de la police scientifique, pour lequel on peut se présenter au concours si l’on a eu préalablement un diplôme national sanctionnant un troisième cycle d’études supérieures dans les domaines scientifiques ou un diplôme équivalent délivré par un des Etats membres de l’Union européenne.
Ainsi donc, j’ai appris que pour entrer dans la police scientifique en tant que Technicien ou Ingénieur, il faut être titulaire d’un licence scientifique, dans le cas de l’université, puis on peut se présenter aux concours, et en cas d’admission, on entre en phase de stage probatoire d’un an, a la suite duquel on est admis ou pas à entrer dans la police scientifique.
J’ai donc pu apprendre plusieurs choses à travers ce module, bien que notre travail ait été bridé par l’absence d’interview. Le meilleur moyen d’éviter ce problème aurait, je pense, été de prendre un rendez-vous bien plus tôt, et pour cela il aurait fallu que nous ayons plus de temps entre la 3ème et la 4ème séance.
Avec le recul, je pense avoir fait mon travail tant que je l’ai pu et que le temps me le permettait. J’ai eu une équipe qui a fait ce qu’elle a pu de la même façon, et je pense que notre poster sera une réussite. Cependant, nous avons noté un problème dans le cadre de la remise des posters, qui a été expliqué directement avec la personne qui nous les a remis, nous faisant encore une fois perdre du temps, puisqu’il a fallu recommencer ce poster 2 fois.
Conclusion
Ainsi donc, le métier de technicien d’investigation n’étant pas réellement reconnu dans la police scientifique, nous nous sommes intéressés aux techniciens et ingénieurs de la police scientifique. Nous sommes restés dans le cadre qui nous intéresse, en élargissant quelque peu notre horizon.
La police scientifique est divisée en plusieurs départements tels que la balistique, la toxicologie, les incendies, etc. chacun d’eux étant composé de techniciens et d’ingénieurs spécialisés dans leurs domaines. Par exemple, il faut un diplôme biologique pour entrer au département de biologie et ainsi analyser les traces de sang et de sperme pour établir des profils génétiques.
Notre opinion sur le profil à avoir n’a pas changé, mais cela est dû au fait que nous n’ayons pas reçu de réponse à nos questions.
La formation après le baccalauréat doit donc contenir une licence, puis en cas de réussite au concours, une formation interne d’un an. Je pense qu’il est possible de passer par un master avant de rentrer dans la police et d’accéder à un plus haut grade, mais je n’en ai pas trouvé de trace.
Nous avons une idée des salaires de base qui peuvent être perçus en début de carrière grâce au site internet de la police. Pour un technicien, le traitement net (au 01/01/2004) est de 1 292,56 €. Pour un ingénieur, il est de 1 662,93 €.
Enfin, la police scientifique se développe autour de laboratoires, et de scènes de crimes et délits, dans lesquelles chaque département a son rôle à jouer.
Fiche de projet Individuelle
(Rédigée durant le TD 1)
Métier, fonction, poste :
Technicien d’investigation
Ce que je sais sur la nature de ce travail, en quoi il consiste :
Recherche et prélèvements d’indices sur le terrain, aide à l’ingénieur, résolution d’enquêtes, expériences en laboratoire et sur le terrain.
Qualités personnelles nécessaires à son exercice :
Motivation
Rigueur
Minutie
Peu émotif
Sens de l’observation
Non routinier
Compétences, formations nécessaires :
Bac S ou équivalent, puis Bac +3, concours de la police
Bac S ou équivalent, puis concours de la police et formation interne.
Cadre dans lequel s’exerce cette activité professionnelle :
Employé par l’état, fonctionnariat, laboratoires, scènes de crimes.
Fiche de recherche documentaire
Suivi des recherches effectuées
Doc.
Lieu de recherche
Document (titre, auteur ou source, date)
Axe de la recherche (secteur, métier ou fonction)
Ce que j’ai appris
1
SUIO
Fiche concours de la police scientifique
Le secteur de la police scientifique
Peu d’informations sur le métier de « technicien d’investigation » mais épreuves des concours de police scientifique.
2
Internet
Site de la police
« Technicien d’investigation »
Pas d’informations
3
Internet
Site de la police
Police scientifique
Différents métiers et départements dans la police scientifique
4
Internet
Site de la police
Salaires
Les salaires suivant les postes
5
Internet
Site de la police
Formation
La formation pour accéder à chaque poste
6
Internet
Site de la police
Concours
Les concours suivant le poste envisagé