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Les medicaments.docx

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Contributor: Rickos
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Les medocs / médicaments : Synthèse Dégradation Récepteurs Rôles Pathologie Médocs et substances Dopamine Tyrosine=>tyrosine hydroxylase=>Dopa=>dopa-décarboxylase=>Dopamine - Catéchol-O-methyl transferase/ COMT - Mono amine oxydase / MAO 7 domaines transmembranaire + prot G - D1 : excitateur - D2 : inhibiteur SNP - Vasodilatation rénale, mésentérique, coronaires, cérébrale - Inhibe la sécrétion de rénine et aldostérone et donc baisse de réabsorption NA+ K+ - Baisse du transit SNC -Vigilance -Moteur et comportementale -Favorise le vomissement -Anorexie -Inhibe la sécrétion de prolactine Parkinson : déficit en D dans les nx gris centraux du SNC=>tremblement, akinésie Favorise la présence de dopamine : Indiqué chez les parkinsoniens . L-Dopa : augmente la synthèse de dopamine en passant la BHE . Entacapone : inhibe la dégradation de la D par COMT . Sélégine : inhibe la dégradation de la D par MAO Agoniste dopaminergique : Apomorphine, lisuride bromocriptine dopexamine : Augmente les effets de la colonne « rôle » -A faible dose : augmentation du débit sanguin rénale (augmentation de la diurèse) coronaire mésentérique et cérébrale -A dose moyenne : action ionotrope et chronotrope positive (beta stimulants) et vasodilatation -A dose élevé : augmentation de la PA (alpha stimulants) et diminution de la diurese Antagoniste dopaminergique : -Neuroleptique : inhibition D2 traitement des psychoses, accélération du transit -Antiémétisant : Métoclopramide Dompéridone MOTILIUM® en agissant sur l'area postrema Noradrénaline Rq : l’adrénaline sécrétés par les médullosurrénales est de la noradrénaline transformé Tyrosine=>tyrosine hydroxylase=>Dopa=>dopa-décarboxylase=>Dopamine =>dopamine beta hydroxylase=>Noradrénaline COMP et mono acido oxydase=>dérivés méthylés Couplé à une PG - Alpha1 GP : excitateur sur l'organe effecteur - Alpha2 GI : inhibiteur sur le GG - Bêta1 GS : excitateur sur l'organe effecteur - Beta2 GS : inhibiteur sur l'organe effecteur - Glandes sudorales : sécrétions des extrémités - Sécrétion bronchiques : inhibition - Mydriase : Dilatation pupillaire - Piloérection - Éjaculation : par contraction du C déférent - Contraction utérine - Vasoconstriction : élévation de la PA - Contraction des sphincter lisse : vésico anales - Sécrétions exo et endocrine du pancréas inhibé - Péristaltisme intestinal ralentit - Vasoconstriction coronaires et cutanés - Sécrétions, lipolyse et glycogénolyse - Sécrétion de rénine=> augmentation de la PA - Diminution du péristaltisme Cardiaque - Chronotrope : augmentation de la fréquence - Ionotrope : augmentation de force - Dromotrope : augmentation de conduction - Bathmotrope : augmentation de l'excitabilité - Bronchodilatation - Relaxation du muscle ciliaire : vision de loin - Relaxation des sphincter lisse vésico anales - Vasodilatation des coronaires - Sécrétion d'insuline Alpha2 bloquant : augmente la libération de nora au niveau central -Phénoxybenzamine et ergotamine -Miansérine : antidépresseur Alpha2 stimulant: diminue la libération de nora au niveau périphérique -Clonidine (Catapressan) : Antihypertenseur qui agis =>sur lesVx en Inhibant la vasoconstriction =>au niveau de la moelle allongée en ralentissant le cœur Alpha1 stimulant : Utilisé comme vasoconstricteurs -Locaux : « parfois associé à la xylocaine (anesthésique local) pour empêcher le produit de diffuser dans tout l'organisme . Adrénaline : Stoppe une hémorragie . Collyre alpha : Mydriase . Pseudoéphédrine : Décongestionne la muqueuse nasale (risque de sécheresse nasal voir AVC si passage en systémique) -Généraux : . Phényléphrine : traitement des malaises (CI si hyperthyroïdie et insuffisance coronarienne) . Midodrine : traitement de l'hypotension orthostatique Alpha1 bloquant : Relaxation des muscles lisses -Prazosine : Hypotenseur à action rapide -Alpress : hypotenseur à action retard -Alfuzosine : relâchement du sphincter vésical -Vidora : prévention de la migraine=>comme la migraine est du à une vasodilatation brutale on prend ce médoc pour la prévenir....traitement de l'athérosclérose Beta1 stimulant -Isopraline : effet dromotrope positif, utilisé dans les trouble de la conduction auriculo-ventriculaire -Dobutamine : effet iono chrono bathmo dromo ET lusitrope : augmentation de la dilatation ventriculaire, le cœur se remplit plus de sang et augmente donc son volume d’éjection systolique Beta2stimulant -Isopraline: Bronchodilatation, utilisé dans l'asthme -Salbutamol : Bronchodilatation et relaxation de l’utérus lors de contraction précose et risque d'accouchement prématuré Bêtabloquant : .Diminution de l'activité cardiaque et de la PA (puissance exprimés en PA2) .Utilisé également au niveau d'autres organes (voir tableau) .Globalement contrindiqué si insuffisance cardiaque et des autre organes cibles... - Liposoluble : Demi vie très courte car dégradation hépatique foutrement efficace ; risque d'interaction médicamenteuse . Propranolol (Avlocardyl) . Labétalol : également alpha bloquant -Hydrosoluble : Demi vie longue car peu dégradés par le foie ; pas d'interactions médicamenteuses ; pas d'effets sur le SNC  . Aténolol, nadolol, sotalol . Sotalol : antiarythmique bloque les canaux potassiques cardiaque Acétylcholine Choline et acétyl CoA=> choline acétyl transférase=>ACH Acétylcholinesthérase=>choline et acétate Nicotinique : canaux  - N1 : Sodique nerveux : SNS, SNV - N2 : calcique musculaire : SNS Muscarinique (PS) : 7 DTM + Prot G - GP : excitateur - GI : inhibe synthèse d'AMPc - GK : lié à canaux K, inhibiteur - contraction musculaire squelettique (SNS) - transmission de l'influx nerveux (SNS) Sécrétion glandulaire : - Lacrymales - Nasale - Salivaires - Trachéo-bronchique - du Tub dig - Sudorale (OS) Oeil : - Contraction du Muscle ciliaire : vision de prés - Myosis : Iridoconstriction= rétrécissement pupillaire App trachéo-bronchique : Bronchoconstriction App dig : - Contraction péristaltiques ++ - Relâchement du sphincter lisse=>CACA Vessie : (on pisse avec son PS) - contraction du détrusor - Relâchement du sphincter lisse Cardiovasculaire - Vasodilatation=>érection - Nd sinusal et atrio-ventriculaire - Oreillettes et ventricules (OS) - Ionotrope nég : --fréquence de contraction - Chronotrope nég : --force de contraction - Dromotrope nég : --conduction - Bathmotrope nég : --excitabilité Malaise vagale : surplus d'ACH libéré au niveau cardiaque Agoniste: -Direct muscarinique . Muscarine Pilocarpine Méthacholine =>en gros augmente tout les effets de la colonne « rôle » -Direct nicotinique . Nicotine/nicorette => baisse de l’éveil, facilitation de la mémoire ; sevrage tabac . Curare/Célocurine : =>contraction musculaire initiale, puis paralysie car impossible à dégager des récepteurs -Indirect : inhibiteur des cholinestérase . Néostigmine/Prostigmine : traitement de la myasthénie, augmente la contraction musculaire . Tacrine/Cognex : Traitement d'Alzheimer : augmente la transmission synaptique . Organophosphoré/ gaz sarin : Augmente le temps de transmission mais irréversible donc toxique Antagoniste : -Direct muscarinobloquant naturel: agissent en postsynaptique . Atropine : inhibition du parasympathique se référer à la colonne « rôle » -Direct muscarinobloquant de synthèse . Tropicamide/mydiaticum : entraine une mydriase . Tiemonium/Visceralgine : antispasmodique, lutte contre les spasmes musculaires . Scopolamine/Scopoderm tts : antiémétique . Oxubutinine/Ditropan : traitement de l'incontinence urinaire . Trihéxiphénidyle/Artane Parkinane : traitement parkinson en inhibant l'effet de l'ACH au niveau de la substance noire, permettant d'augmenter l'effet de la dopamine . Iprotropium/Bronchodual : Antiasthmatique en inhibant la bronchoconstriction -Direct nicotinique . Curare, Pancuronium/Pavulon : empêche la fixation de acétylcholine sur la plaque motrice, pas de contraction . Ganglioplégique : Bloque la transmission ganglionnaire -Indirect : agissent en présynaptique . Hémicholinium : blocage de la synthèse . Vésamicol : blocage du stockage . Opiacées Toxine botulique/botox : blocage de la libération en hydrolysant les protéines de l'exocytose, entraine paralysie et atrophie musculaire Sérotonine Tryptophane=>Tryptophane hydroxylase =>5-hydroxytryptophane =>5-hydroxytryptophane décarboxylase=>Sérotonine Par la MAO - 7 DTM + PG : . 5-HT1 . 5-HT2 . 5-HT4 . 5-HT7 - Canal : 5HT3 Cardiovasculaire : - Vasodilatation musculaire et sous-cut - Vasoconstriction rénale - Proagrégation plaquettaire - Ionotrope et chronotrope négatif - Vasodilatation coronaire - Augmentation de la perméabilité capillaire - Vasoconstriction veineuse et artérielle si lésion SNC - Antidépresseur - Anorexigene Autres: - Emétisant : stimulation du Tub dig et area postrema - Augmentation du transit - Bronchoconstriction - Contraction de l’utérus -Migraine -Diarrhée, vomissement -Asthme -Inflammation - Schizophrénie Agoniste : -Direct : .Triptan : inhibe la vasodilatation=>antimigraineux et algie vasculaire de la face (douleur horrible du coté de l'oeil) ; contrindiqué si risque d'infarctus .Buspirone/Buspar : agoniste partiel ; antidépresseur -Indirect ;, spécifique des 5-HT ou pas . Fluoxétine/Prozac : inhibe la recapture dans le neurone présynaptique, agit sur 5-HT et ISRS  . Imipranine/tofranil : inhibe la recapture dans le neurone présynaptique, agit sur 5-HT et NAD . Mirtazapine/Norset : Favorise la transmission synaptique . Moclamine : Inhibiteur de la dégradation par MAO : agit sur 5-HT et NAD Antagoniste : - Risperdal : Anti 5-HT2 (également anti D2) : Antipsychotiques - …...sétron/Zophren : Anti 5-HT3 : Antivomitif par inhibition vagale intestinal et au niveau de l'area postrema - Pizotifène/Sanmigran : antimigraineux non spécifique Histamine Histidine=>histidine décarboxylase =>histamine Active une enzyme IC - H1 : . Muscles lisses . Endothélium . Cerveau -H2 : augmente AMPc . Muqueuse gastrique . Myocarde . Mastocyte . Cerveau -H3 : augmente AMPc et Ca2+ . Cerveau . Plexus myentérique -H4 : augmente AMPc et Ca2+ . Lympho CD4 .Pneutrophile .Peosinophile - Contraction muscle lisse viscéral, augmente le péristaltisme - Libération de NO vasculaire=>vasodilatation - perméabilité vasculaire augmenté=> risque d'oedeme - Prurit : excite les terminaisons sensitives libres - Inflammation - Sécrétion gastrique - Allergie type 1 : dégranulation des mastocytes - Ulcère gastro-duodénal Agoniste : - Serc : contre les vertiges de ménière Antagoniste -Direct : empeche la fixation mais pas la libération d'histamine . Lévocetizine/Xyzall : contre la rhinite, conjonctivite, urticaire (symptôme d'allergie saisonnière) . Hydroxyzine/Atarax : effet sédatif et antiprurigineux . Prométhazine/Phénergan : Insomnie . Diphénhydramine/Nautamine : antinaupathique=mal des transports Rq CI : hypertrophie prostatique, glaucome, myasthénie, sécheresse buccale . Cimétidine/Tagamet : Antiulcéreux par réduction de l'activité des pompes à proton des cellules gastriques -Indirect : inhibe la synthèse ou libération . Tritoqualine/Hypostamine : inhibe l'histidine décarboxylase, l'histamine n'est pas synthétisée . Kétotifen/Zaditen/Chromoglycate disodiques : inhibe la libération de l'histamine Vit.D Ergostérol=>Calciférol/D2 => ou 7-déhydrocholestérol =>UV=> Cholécalciférol/D3=>foie=>Calcidiol=>rein=>Calcitriol La transformation par le rein peut être modulé en fonction de l’état de carence ou l’excès de calcitriol dans l'organisme - Stimulation : PTH, carence Ca2+et P - Inhibition : calcitonine, exces Ca2+ et P, calcitriol - Favorise l'absorption digestive du Ca2+ et P et sa fixation sur la matrice ostéoïde - Ostéomalacie et rachitisme : carence en Vit D et squelette peu minéralisé Agonistes : - Stérogyl, Uvestérol : D2 - Uvedose : D3 - Rocaltrol : Calcitriol, indiqué dans l'ostéodystrophie rénale - UnAlfa : Alfacalcidiol, indiqué dans les hypoparathyroïdies - Dédrogyl : Calcidiol, hypoparathyroïdie et ostéodystrophie néonatale EI -hypercalcémie, hypervitaminose -Diarrhée, fatigue, HTA, athérosclérose Vit.A Origine alimentaire : foie, viande, carotène végétal Présente des dérivés : - Rétinal - Ac Rétinoïque - Noyau cellulaire - Favorise la vision nocturne - Croissance et différentiation cellulaire epithéliale - Synthèse protéique Carence : - Troubles visuel dermato, ossification et de résistance aux infections - Par malabsorption : mucoviscidose, cholèstase, Ipanc Agonistes - Arovite, Avibon : Carence en Vit A par malabsorption - Trétinoine : Traitement de l’acné - Acitrétine/Soriatane : Traitement du psoriasis EI - Hypervitaminose : nausée, vertige, fatigue, anorexie, confusion, HTIC - Tératogène ++++++++++++++++++++++ nécessite de prendre un contraceptif et de faire des tests de grossesse touts les mois Vit. E Origine alimentaire : huile végétale Synthèse à partir de glutathion et de Vit C - Favorise la stabilité des membranes cellulaires en empêchant la transformation des AG en peroxyde Carence : - trouble neuro-musculaires - Peut etre du à une malabsorption Ephynal ; toco 500 K - Hémostase : stoppe les hémorragie B12 Cobalamine Origine alimentaire : foie, nécessite le facteur intrinsèque pour la resorbtion digestive - stimule l’érythropoïèse - synthèse des bases puriques - co-facteurs de réactions chimique - régénération de THF Carence : - Défaut d'absorption : anemie de biermer, par de FI - Végétaliens : Méthformine, glucophage B9 Folates Alimentation : Synthèse par les plantes verte - Synthèse d'ADN - Hématopoïèse Carence : - Prise de methothrexate - chez les femmes enceintes dont la demande augmente Agoniste : Acide folinique ; lederfoline Antagoniste : Metotexate C Acide ascobique apporté à l'organisme par les agrumes - Synthèse de collagène - Favorise l'absorption de fer - Régénère la vitamine E - Hématopoïèse et agrégation plaquettaire Scorbut : carence, entraine : - asthénie, douleur osseuse - hématome et hémorragie Agoniste : - Stimulant système immunitaire - En prophylaxie : prévention de carence - Excitant Ei : calculs oxalique et surcharge en fer B6 Pyridoxine; origine endo et exogène -cofacteur de réaction enzymatique Carence : - depression par baisse du metabolisme du triptophane – fatigue - dermatose Becilan : polynevrite, dermatose Isoniazide : antituberculeux, contre les neuropathies Tableau Pharmacologie CATEGORIE MEDICAMENTS Dopaminomimétiques Traitement de la maladie de Parkinson SINEMET MANTADIX MODOPAR Agonistes dopaminergiques APODINON DELANCE DOPERGINE PARLODEL REQUIP SIFRO Inhibiteurs de la COMT COMTAN Inhibiteurs de la MAO DEPRENYL IMAO B OTRASEL Inhibiteurs de la sécrétion de prolactine AROLAC DOSTINEX PARLODEL Traitement de troubles hémodynamiques DOPACARD DOPAMINE Antagonistes dopaminergiques Neuroleptiques Antiémétisants MOTILIUM PLITICAN PRINPERAN VOGALENE Inhibiteurs enzymatiques 1ère classe MACROLIDES 2ème classe ANTI-H2 TAGAMET (Cimétidine) 3ème classe Antifongiques DAKTARIN (Miconazole) MIZORAL (Kétoconazole) Autres CHLORAMPHÉNICOL DHE DISULFIRAM GYNERGENE IMAO QUINOLONES RIMIFON (Isoniazide) VIVALAN, PROZAC, FLOXYFRAL ZYLORIC (Allopurinol) Antagonistes calciques Dihydropiridines ADALATE (Nifédipine) AMLOR (Amlodipine) CALDINE (Lacidipine) FLODIL LP (Félodipine) ICAZ LP (Isradipine) IPERTEN (Manidipine) LERCAN (Lercanidipine) LOXEN (Nicardipine) NIDREL (Nitrendipine) ZANIDIP (Lercanidipine) CATEGORIES MEDICAMENTS Antagonistes calciques Benzothiazépines TILDIEM (Diltiazem) Phénylalkylamines ISOPTINE (Verapamil) Autres CORDIUM (Bépridil) SIBELIUM (Lunarizine) Inducteurs enzymatiques ALCOOL ANTIPROTÉASES DU VIH CARBAMAZÉPINE DDT GRISEFULUINE HYDRATE DE CHLORAL MILLEPERTUIS PHÉNOBARBITAL PHÉNYTOÏNE RIFAMPICINE TABAC Anti-histaminiques H1 AERIUS APHILAN ATARAX CLARYTINE DIMELAN KESTIN PHENERGAN POLARAMIDE PRIMALAN TELFAST THERALENE VIRLIX XYZALL ZYRTEC H2 Cimétidine STOMEDINE TAGAMET Directs (Inhibiteurs de synthèse et de libération d'histamine) Cromoglycate ZATIDEN TILAVIST Oxatomide Podoxamide Bêta-stimulants Questions d'examen. Antagonisme compétitif d'un récepteur pharmacologique. Définir et décrire cette notion. Les antagonistes compétitifs d'un récepteur pharmacologique se fixent au récepteur, empêchant ainsi le ligand habituel de ce récepteur de s'y fixer, et donc inhibent l'activation de ce récepteur et ses effets. Propriétés pharmacologiques de l'atropine. L'atropine est un anti-muscarinique, ses propriétés pharmacologiques sont les suivantes : 648067320SYSTEME NERVEUX AUTONOME SYSTEME NERVEUX AUTONOME Accélération cardiaque Dépression des centres vaso-moteurs (forte dose) S'oppose à la vasodilatation par Ach S'oppose à la bronchodilatation par Ach Diminution du tonus du tube digestif, de l'uretère et de la vessie Réduction des sécrétions Mydriase + augmentation de pression intraocculaire 648014040SYSTEME NERVEUX CENTRAL SYSTEME NERVEUX CENTRAL Dépression des centres impliqués dans le contrôle musculaire (antiparkinsoniens) FD : stimulation, délire, hyperthermie Elle est donc utilisée pour : les douleurs spasmodiques de fibres musculaires lisses, anesthésiologie, en cas de bradycardie, pour les intoxications (digitaliques, anticholinestérasiques) Caractéristiques et conséquences des intéractions médicamenteuses par inhibition enzymatique. Citer 3 médicaments classés parmi les inhibiteurs enzymatiques les plus puissants. C'est un mécanisme qui concerne de nombreux médicaments Consiste en une compétition entre les substrats du cytochrome P450 Le médicament est inhibiteur ou inhibé selon l'affinité pour le cytochrome P concerné L'effet est immédiat et peut se produire pour des molécules non médicamenteuses Médicaments classés parmi les inhibiteurs enzymatiques les plus puissants : macrolides (notamment l'érythromycine) anti H2 (notamment cimétidine contenue dans le TAGAMET et l'EDALENE) antifongiques imidazolés (miconazole (Daktarin) et kétoconazole (Nizoral)) A quoi correspond la notion de dépendance physique aux médicaments. La dépendance physique est un état d'adaptation de l'organisme caractérisé par l'apparition de troubles physiques parfois intenses survenant lorsque l'administration du produit est brusquement interrompue, ce qu'on appelle syndrome de sevrage (abstinence). Les signes physiques pevent être sueurs, nausées, vomissements, diarrhées, hypertension, fièvre, amaigrissement. Elle est à différencier de la dépendance psychique, qui correspond au désir souvent irrépréssible de répéter les prises d'un produit afin de retrouver les sensations agréables ou particulières qu'il est capable de donner. En vous aidant au besoin d'un schéma, décrire le fonctionnement général d'une synapse et y positionner les interactions pharmacologiques possibles. La synapse comprend un élément présynaptique (un neurone), un élément post-synaptique (neurone, cellule musculaire ou glandulaire), et une fente synaptique entre les deux. L'élément pré-synaptique synthétise un neuromédiateur qu'il va stocker dans des vésicules en attendant sa libération. La dépolarisation de l'élément présynaptique va entraîner la libération par celui-ci, d'un neuromédiateur dans la fente synaptique. Ce neuromédiateur pourra : Se fixer à un récepteur de l'élément post-synaptique Etre recapté par un récepteur de l'élément pré-synaptique, ce qui donnera lieu à un rétrocontrôle négatif et diminuera sa propre libération Etre détruit dans la fente synaptique par divers produits Les interactions pharmacologiques peuvent se faire : par des antagonistes, au niveau des récepteurs post-synaptiques (ce qui diminue l'effet du NM) et au niveau des récepteurs pré-synaptiques (pas de rétro-contrôle = augmentation de l'effet du NM) par des agonistes, au niveau des récepteurs pré-synaptiques (augmente l'effet du NM) et au niveau des récepteurs pré-synaptiques (augmente le rétrocontrôle : diminution de la libération, donc de l'effet du NM) par des médicaments ayant une structure analogue, ce qui permet de diminuer la dégradation par les enzymes dans la fente synaptique, et donc d'augmenter l'effet du NM Effets cardio-vasculaires des bêta-bloquants. Diminution de la fréquence cardiaque et de la contractilité myocardique Diminution du débit cardiaque Pas de diminution de la PA à court terme (après administration chronique oui) Effet anti-arythmique L'inhibition enzymatique comme interaction médicamenteuse. Décrire son mécanisme, ses caractéristiques, et ses conséquences cliniques. Ce sont des interactions médicamenteuses liées à la modification du métabolisme d'un médicament. Ce mécanisme concerne de nombreux médicaments, elle consiste à établir une compétition entre les différents substrats de type Cytochrome P450. Le médicament inhibiteur aura une plus grande affinité que le médicament inhibé pour le CYP450, qui ne pourra donc pas s'y fixer. L'effet est immédiat, il est d'empêcher le métabolisme de la molécule inhibée, et donc d'augmenter son effet. A noter que différents types de cytochromes peuvent également être impliqués dans ce mécanisme (Cytochrome 3A4, 2D6 ...) Les différentes voies d'administration des médicaments : avantages et inconvénients. 31068021600Voie orale (digestive) Voie orale (digestive) Avantages : préparation « à action prolongée » Inconvénients : notion de premier passage hépatique, problèmes liés à la variabilité d'absorption, ne convient pas encas d'urgence, pour les substances irritantes ou détruites par les sucs digestifs, les substances instables au pH gastrique et les substances non-liposolubles qui ne diffusent pas. 38880022320Voies parentérales Voies parentérales Inconvénient : nécessitent une asepsie rigoureuse car effraction Voie sous-cutanée Voie intra-musculaire Avantages : résorption rapide (15 à 60 minutes) Inconvénients : douleur, voire nécroses Voie intra-veineuse Avantages : effet immédiat, doses précises et contrôlables (X dose injectée = X dose dans le sang), volumes importants, substances non-suportées et/ou résorbées par les autres voies Inconvénients : substances uniquement hydrosolubles, danger en cas d'injection trop rapide (coeur et cerveau), ou d'injection de deux solutions non compatibles qui précipiteraient Voie intra-artérielle Voie sous-arachnoïdienne 38880022320Voies transmuqueuses et locales Voies transmuqueuses et locales Voie rectale Avantages : évitement du PH1 et d'éventuelles dégradations gastriques Inconvénients : résorption variable Voie sub-linguale Avantages : évitement du PH1 et des enzymes du TD (produits comme trinitrine à fort effet de PH1 administrés ainsi) Inconvénients : molécules liposolubles non ionisées uniquement Voie alvéolaire Avantages : grande surface d'échange très irriguée, effets généraux ou locaux Voie percutanée Avantages : patchs avec libération longue durée Inconvénients : variations de perméabilité Parmi les médicaments suivants, lesquels ont une fixation dans l'organisme supérieure à 90% ? Antivitamines K Sulfamides Fibrates (hypocholestérolémiants) AINS Aminosides Isoniazides Réponses : ABCD, qui sont des molécules ionisées à forte affinité de fixation (groupe I) et un nombre de sites faible. (Possibilités d'interaction et de saturation fortes) Mode d'action des défixateurs. En citer trois ainsi que les médicaments défixés et leurs conséquences. Les défixateurs sont des médicaments ayant une très forte affinité pour les protéines plasmatiques, elles s'y fixent et libèrent les molécules précédement fixées dans la circulation. AINS de la famille des fibrates qui défixent les anticoagulants oraux = risque d'hémorragie Phénylbutazone qui défixe les sulfamides (hypoglycémiants) = risque d'hypoglycémie Phénitoïne qui défixe les antidépresseurs tricycliques = risque de toxicité neurologique Parmi les médicaments suivants, lesquels traversent la barrière hémato-encéphalique par diffusion passive ? Atropine Benzodiazépine et barbituriques Guanétidine Noradrénaline GABA Réponses : AB qui sont liposolubles et non ionisés, les autres ne passent pas. Définissez la tolérance pharmacologiques C'est une diminution de l'activité et/ou de la toxicité d'un médicament, notamment des substances actives sur le SNC. C'est un phénomène d'adaptation de l'organisme à une substance exogène entraînant la diminution de la réponse biologique au fur et à mesure de la répétition des administrations de cette substance. Donnez les caractéristiques qui permettent de différencier des médicaments de liste I et de liste II Liste I : - étiquette blanche encadrée en rouge - doivent être conservées à la pharmacie en armoire fermée à clef - délivrance uniquement sur ordonnance datant de moins de 3 mois - posologie en toutes lettres - pas de renouvellement Liste II : - moins dangereuses que liste I - ordonnance de moins de 3 mois - posologie en chiffres - renouvellement possible pendant 1 an Interaction médicamenteuse : définition et exemples Définition : phénomène survenant lorsque l'activité ou la toxicité d'une substance est modifiée par son association avec d'autres substances (lorsqu'elles sont administrées ensemble), ceci suppose que l'interaction soit assez intense pour modifier de façon significative l'effet attendu. Exemples de médicaments à risques : antivitamines K, digitaliques, sulfamides hypoglycémiants, contraceptifs oraux, lithium ... Les différents types d'interactions : Favorables : Peuvent améliorer l'efficacité thérapeutique ( association de deux hypertenseurs) Diminuer un effet indésirable (anticholinergiques pour corriger les troubles neurologiques induits par les neuroleptiques) Antagoniser un surdosage (antagonistes morphiniques et morphine) A risques : Associations dangereuses : mise en jeu de la vie du malade, donc interdites (miconazole + anticoagulant) Associations déconseillées Association nécessitant des précautions d'emploi (anti-vitK + pro-vitK, si on arrêt l'anti-viteK, risque ....) Associations à prendre en compte Synergiques : deux médicaments ayant des effets qui vont dans le même sens Antagonistes : deux médicaments ayant des effets qui s'opposent (partiels ou totaux) Pharmacodynamiques : (les plus fréquentes) voir courbe dose/action, l'administration d'un antagoniste déplace la courbe vers la droite, la dose de substance à utiliser pour atteindre l'effet maximal est plus importante (inversement pour un agoniste) Pharmacocinétiques : antagonisme ou potentialisation liées à des interférences avec les différentes étapes du devenir du médicament dans l'organisme (résorption, distribution et excrétion) Effets cliniques des antagonistes H1 Effets s'opposants à l'histamine : inhibition de la vasodilatation et de l'augmentation de perméabilité capillaire dans l'allergie Sédatifs Antivertigineux Anésthésiques locaux Anticholinergiques Antitussifs Antiémétiques Effet des récepteurs H1 et H2 sur les différentes parties du corps H1 H2 Coeur Ralentissement Inotrope + Chronotrope + Vaisseaux Dilatation Dilatation Coronaires Contraction Dilatation Fibres musculaires lisses Contraction Relachement Estomac Sécrétion de Hcl + Allergie Perméabilité capillaire + Immuno-régulation SNC Vigilance + Appétit - Caractéristiques principales de la fixation protéique d'un médicament : Réversibilité (Médoc libre x protéine de transport)/(Médoc lié) = Kd (constante de dissociation en moles) Affinité Saturabilité (si faible nombre de protéines plasmatiques) Compétition (si saturabilité + forte affinité du médoc) Facteurs de variation : Hypoalbuminémie Nouveau-né Insuffisance de la fixation Insuffisance hépatique MEDICAMENTS A RISQUES TERATOGÈNES IMPORTANTS Médicament Mécanisme Précautions Antiacnéiques rétinoïdes (Roaccutane) Anomalies du SNC. Risque d'IG Contraception stricte de 1 mois avant le traitement à 1 mois après le traitement Dérivés de la vitamine A (Sorianate) Anomalies du SNC et du squelette. Risque d'IG Contraception stricte de 1 mois avant le traitement à 1 mois après le traitement Anticancéreux Antimitotiques et cytotoxiques, malformations graves dans 25% des cas de chimio pendant une grossesse ... MEDICAMENTS POTENTIELLEMENT DANGEREUX Antidiabétiques Tératogénécité de l'hyperglycémie Contre indication des antidiabétiques oraux pendant la grossesse. Seule l'insuline est autorisée. AINS (aspirine) Fermeture prématurée du canal artériel, toxicité rénale, hémorragies Contre indiqués Antalgiques (Paracétamol) ... Précautions Certains anti-hypertenseurs - IEC - ARA2 - Antagonistes calciques - Bêta bloquants Risques d'hypotension, d'hypoglycémie, voire d'anurie foetale (IEC) Contre indiqués Lithium Malformations cardiaques Contrôle de la lithémie de la mère et de l'état du coeur foetal (à partir de la 20è semaine) Anti-vitamine K 5% des malformations On utilisera l'héparine Antiépileptiques Malformations cardiovasculaires, fentes labiales ... Utilisés quand même, car les convulsions sont dangereuses pour la mère et l'enfant Antirétroviraux (HIV) ... ... Exemples de questions: Citer les applications thérapeutiques de molécules interférant avec la neurotransmission sérotoninergique. Préciser le mécanisme d'action et donner des exemples. En s'aidant d'un schéma, décrire les mécanismes par lesquels des médicaments peuvent modifier le fonctionnement d'une synapse neurotransmettrice. Définition des principaux paramètres pharmaco-cinétiques. Citer et expliquer une relation qui relie trois d'entre eux. Propriétés pharmacologiques non cardiovasculaires des Bêta2-stimulants. Effets pharmacologiques d'une substance parasympatholytique. Elimination rénale des médicaments : description, quantification. Elle dépend de 3 mécanismes : Filtration glomérulaire (dépend de la fixation protéique, seules les molécules de petit PM sont filtrées au niveau du glomérule, et donc éliminées, donc la défixation protéique augmente l'élimination du médicament par voie métabolique) Réabsorption tubulaire : concerne la fraction non ionisée, plus liposoluble, qui peut traverser la membrane, on peut la moduler en modifiant le pH de l'urine (si on l'augmente, on augmentera la réabsorption des médicaments basiques, et inversement ...). En cas d'intoxication aigue correspondant à un surdosage en molécules ionisables, on alcalinisera les urines pour empêcher leur réabsorption. Sécrétion tubulaire : c'est un mécanisme actif qui va dépendre de la mise en jeu de protéines de transport. On peut établir une compétition entre les substrat au niveau de ces protéines de transport, afi par exemple de retarder l'apparition de produits dopants dans les urines ... Quantification : on peut quantifier l'élimination rénale d'un médicament grâce à la clairance rénale, qui correspond au volume de plasma éliminé au niveau du rein, par unité de temps. On la calcule grâce à la formule suivante : Les anti -histaminiques : Libération à l’intérieur des tissus périphérique il y a pas de récepteur particulier qui vont activer la réaction, ce sont les Ig avec la réponse immunitaire qui déclenche la libération d’histamine. Synthèse et dégradation de l’histamine : Récepteur H1 : Récepteur H2 : lié à une protéine G Distribution : SNC = neurones qui vont agir sur les récepteurs H1 au niveau du cortex surtout Endothélium des vaisseaux =sur le tonus musculaire lisse des vaisseaux, au niveau l’endothélium libération du NO =vasodilatateur puissant Muqueuse d l’estomac = effet essentiel des antagonistes des H2 pour ma protection de l’estomac contre les sécrétions acides Muscle cardiaque Mastocyes Cerveau Effets de leur stimulation : Contraction muscle lisse viscéral Libération NO (endothélium vasculaire ) Relâchement muscle lisse vasculaire Augmentation de la perméabilité , les liquides vont sortir du secteur vasculaire pouvant entraîner des œdèmes Prurit par stimulation terminaisons libres des nerfs sensitifs Inflammation Mécanisme post récepteur : AMPc stimulation de la sécrétion de l’acide gastrique Rôle physiologique : pour la sécrétion gastrique physiologique Rôle physiopathologie : Allergie type 1=Ig E qui vont dé granuler les mastocytes Pour prévenir les ulcères gastro-duodénaux Récepteur H3 : Cerveau Plexus myentérique= contrôle la motricité intestinale Autres neurones Mécanisme post récepteur : Augmentation AMP c , CA ²+ Les médicaments : Agonistes : substances qui agissent directement pour stimuler les récepteur histaminergique , surtout pour certaines explorations immuno -allergiques , c’est une substance mineur comme ttt d’appoint comme anti vertiginaux H3 : béta histidine mais efficacité pas très grande Peu d’intérêt pharmacologique Antagonistes : substance inhibant les effets el stimulation des récepteurs H Direct : Anti H1 : surtout phénomène immuno-allergique Anti H2 : anti ulcéreux Indirect sur le système histaminergiques , en s’opposant à la libération d’histamine en amont de la production . Anti H1 :substances douées d’une affinité mais dépourvues d’efficacité pour récepteurs HA = empêchent les effets de l’histamine mais pas sa libération , donc le taux d’histamine reste le même Effets périphériques : Effets centraux : Vasoconstriction , anti œdémateux (car histamine augmente la perméabilité de vaisseaux donc bloque cette perméabilité pour éviter la sortie de liquides vers le secteurs interstitiels pouvant former des œdèmes ) Variables selon le degré de passage de la BHE Effet sédatif important Anti émétique Anti vertigineux Les plus anciens première génération : passe dans la BHE , très efficaces : effets anticholinergiques inapproprié chez le sujet âgé = modification de la vidange vésicale , bouche sèche , effets centraux = troubles confusionnels car la BHE est moins imperméable donc plus grand effet) Sédatifs Indications des H1 : Allergies : Manifestations mineures de l’anxiété : Insomnies occasionnelles ou transitoires (indications discutée en cours réévaluation ) Rhinites allergiques saisonnières et perannuelles Urticaire Conjonctivite allergique Ex : lévocetirizine , desloratidine Hydroxyzine (atarax ) Effet sédatif , autres effets : anti prugineux +effet anti cholinergique Utilisé en prémédication avant anesthésie générale , avant certaines explorations Prométhazine Alimémazine CI : Liées à l’action anti cholinergique : Antihistaminique première génération Hypertrophie prostatique, et vésiculaire Glaucome = par augmentation de pression dans le globe oculaire Myasthénie Grosses allaitement en l’absence de données fiables EI : Somnolence : Liée à la stimulation du récepteur H1 cérébral impliqué dans le contrôle de la vigilance A priori identique au récepteur H1 périphérique 5 10% des patients avec nouveaux anti H1 Effet anti cholinergique Glaucome Adénome prostate Sécheresse buccale = diminution marquée de la sécrétion salivaire En particulier : atarax Récepteur H2 : Les cellules entéro gastriques agissent sur la régulation de la pompe à proton qui envoie des protons dans la lumière gastrique , notamment par l’intermédiaire de la fixation des H2 Utilisé en thérapeutique pour effet de réduction de la sécrétion acide mais IPP sont plus efficaces plus facile sà manier donc anti H2 moins utilisé maintenant Chef de file : cimétidine (tagamet) mais à la différence des autres anti H2 interaction inhibitrices enzymatique (avec phénytoïne ; AVK , théophylinne ) , élimination rénale , effet anti –androgène (impuissance) Autres : ranitidines.. Moins d’interactions et métabolisme hépatique Médicaments ayant un effet anti H2 indirect : Inhibiteurs de la synthèse : Tritoqualine : hypostamine : anti histidine , décarboxylase , pas d’effet sédatif et anticholinergique , traitement d’appoint des manifestations allergiques , rhinites , conjonctivites , urticaire Inhibiteur de libération : Cromoglycate disodiques diminution de libération de médiateurs de l’histamine à partir des cellules bronchiques Mécanismes d’action des anti-infectieux : Grands principes d’utilisation des antibiotiques : Bactériologie : si infection grave : la documentation bactériologique de l’infection s’impose : ECBU, hémoculture, ponction pleurale, LCR Prescription adaptée : - Au germe : sensibilité in vitro - A l’ATB : paramètre pharmacodynamique & pharmacocinétique - Au patient : terrain ( âge localisation de l’infection ) Choix de l’AB : Avant l’administration Cas de l’antibioprophylaxie : pour prévenir un acteur de risque : Probabiliste, on choisit l’AB en fonction du geste chirurgical Elle est de courte durée Le patient est indemne de toute maladie à l’origine : rôle de prévention Définitions générales : Antibiotique concentration dépendante : Effet bactéricide puissante et rapide Dépend de la concentration, très forte posologie sur le lieu de l’infection en une administration Effet post anti biotique : phénomène ou l’on remarque que même après la disparition de l’antibiotique dans l’organisme l’effet antibiotique de non-prolifération bactéries continue ex : fluor quinolone (effet post antibiotique sur bactérie gram -) Atb temps dépendant concentration constante efficace, donc pas une administration posologie forte, mais plutôt perfusion continue de 24h à posologie moyenne selon le type de bactérie une molécule peut agir en antibiotique concentration dépendante ou temps dépendant (fluoroquinonlone ) Dans une bactérie = une paroi une membrane un ADN un ribosome constituent des cibles Mécanisme d’action : 4 cibles : Paroi bactérienne Membrane interne Synthèse protéique Génome bactérien : biosynthèse du peptidoglycane : beta lactamines & glycopeptides : dégradation des phospholipides : on diminue la mobilité et fluidité de la membrane : polymyxine Action sur le ribosome bactérien : macrolides , tétracyclines & aminosides : ARN polymérase : - Acides nucléique pour l’ARN : rifampicine , quinolones - Acide folique pour l’ADN: triméthoprime, sulfamide Paroi bactérienne Synthèse protéique Différentes molécules Béta -lactamines =Deux sous familles : les pénicillines & les céphalosporine ( plus prescrit & efficaces ) Aminosides Macrolides Généralités Pénicillines : Ces substances ont un index thérapeutique large (entre efficacité et toxicité ) Céphalosporine : Classé en fonction de leur arrivée sur le marché , se distinguent par l’évolution de leur spectre antibactérien. Cycle à 6 carbones au lieu de 5 précédemment. Choix très large : selon le patient et la posologie, très peu sont non métabolisé par le foie, dans l’ensemble demi vie très courte, Structures différentes des béta lactamines Groupements de sucres et de groupements amines , d’origine naturel puis mi –synthétique Voie locale = néomycine Action systémique agissent sur bactérie gram - : Gentamycine Tobramycine Amikamycine ++ Bactériostatique , ne tue pas les bactéries, mais empêchent la dissémination , voie IV et seconde attention voie orale , spectre plus ou moins celui de la pénicilline G, tropisme intracellulaire +++ : immunodéprimé intérêt d’avoir cette molécule . Inhibent les cytochromes P450 => IM Présentations : érythromycine : érythromycine ( plus ancienne ) & roxithromycine : rulid ( plus utilise ) Mode d’action Agissent sur la paroi bactérienne (mb + coque de protéoglycanes , les pénicillines vont s’y fixer et la dénaturer , la bactérie ne sera plus capable de résister aux tensions osmotiques crées par le milieu intérieur de l’hôte effet bactéricide (tue les germes ++) Inhibition de la biosynthèse protéique SU 30s du ribosome =Antibiotique bactéricides Très actif sur les BG – Inhibition de la biosynthèse protéique SU 50s ribosome Substance en particulier Les pénicillines : Pénicilline G : par Flemming en 1944 essayée sur les soldats américains = vrai recul de la mortalité due aux infections bactériennes Groupe M = pénicilline anti staphylococcus : spectre antibactérien ( bactéries sur lesquels la pénicilline est capable d’agir ) : non inactivés par la pénicilline anti staphylocucus= résistance : molécules : oxacilline& cloxaciline Groupe A : modifications chimique : molécules capables d’agir sur gram positif , amoxicilline ++ Carvapénemes : spectre large, grande stabilité vis-à-vis des beta lactamases : imipénéme : on l’utilise en dernier recours, pour ne pas re-créer de nouvelles résistances. Car cette molécule détruit la bactérie sans qu’elle puisse produire de pénicillases Effets indésirables Réaction d’hypersensibilité : -systémiques ( choc anaphylactique ) ou plus localisé ( œdème de Quincke ) -Cutanée : rash ou érythème urticaire -Neurotoxicité : risque de surdosage surtout si cas d’IR ++ : convulsion & donc adaptation de posologie : on diminue la posologie Avant prescription, on se renseigne sur les ATCD du patient ++ Hypersensibilité qui peut être croisé avec les pénicillines, si personne sensible pénicilline 20% de chance d’être hypersensible aux céphalosporines. Même risque de neurotoxicité. : très importante Ototoxicité : au niveau de l’oreille interne, atteinte nerf sept : atteint de la cochlée & vestibule, faire très attention si le patient se plaint de bourdonnements d’oreilles etc…Pas forcement réversible après arrêt du traitement photo toxicité : toxicité cortex rénale/ Néphrotoxicité : gentamycine & tobramycine : IR aigue réversible à l’arrêt du traitement mais peut provoquer des séquelles cellulaires - en général bien tolérés – troubles digestifs : lieu des bactéries donc quand l’AB agissent => effet indésirables -Toxicité hépatique avec l’érythromycine Résistance Vient d’un champignon pénicilinium En commun : Cycle béta lactame fragile Hydrolase =faible stabilité per os Faible résistance au pénicillinases (la bactérie synthétisent des enzymes capables de détruire la pénicilline), donc pénicilline G a vu son activité diminué car résistance mise ne place par beaucoup de bactéries Pharmacocinétique Aminosides ne sont pas résorbés par voie orale , pas passage dans la voie générale , donc uniquement par voie systémique = IV Elimination rénale = AB très toxique chez les IR adapter la posologie en fonction de la clairance à la créatinine Diffusion pratiquement nulle dans LCR et tissus adipeux : posologie adaptée au poids maigre : aminosides pas traiter dans les méningites, patient en surpoids : on adapte au poids maigre = sans sa graisse, car la molécule ne va pas dans la graisse Absorbés par voie orale, inhibiteur enzymatique P450 interaction avec Carbamazépine , ciclosporine , warfarine . Elimination hépatobiliaire. Association Aujourd’hui utilisé en association avec inhibiteurs des beta lactamases = pénams : activité antibactérienne faible, inhibent la majorité des pénicillases OXAPENAM : acide clavulanique + amoxiciline : AUGMENTIN +++ Contre-indication Hypersensibilité Synthèse protéique (suite) Génome protéique Molécules Tétracyclines Quinolone Sulfamides Généralités = cyclines 1ère génération : pommade 2ème génération : doxycycline Rentre très facilement à l’intérieur de la cellule :d’où une indication : germes à développement intracellulaire : notamment manifestations génito-urinaires et respiratoires. Fluoroquinolones, structure cyclique , ou on ajoute un fonction fluor qui a permis l’augmentation de l’activité et de la stabilité , bactéricide avec activité rapide & spectre large , elles sont très lipophiles, capable de passer les barrières cellulaires très facilement, pour traiter des atteintes profondes ex : l’os très utilise . Différentes générations : Première : cystite Deuxième et troisième génération : systémique Médicaments existants : ofloxacine ;oflocet ; lévofloxacine : tavanic : contiennent toutes les deux du floxacine mais modification de la molécule dans l’espace , moxifloxacine. Premier traitement antibactériens à visée systémique : - Spectre d’action extrêmement large : mais aujourd’hui résistance acquise, apparu très rapidement , aujourd’hui que 5 associations : cotrimoxazole = sulfaméthoxazole + triméthoprime - Fansidar pas affection bactérienne mais paludisme Mode d’action Bloquent la synthèse protéique au niveau de la sous unité : 30ss du ribosome bactérien Blocage de l’ARN gyrase, empêche le surenroulement de l’ADN (topo isomérase II) perte de la conformation spatiale de l’ADN, supprime fonction du génome bactérien IM : par inhibition enzymatique : taux de théophylline (asthme) à adapter la posologie Antiacides : diminution de la résorption du système digestif vers la circulation : diminution de l’effet des quinolones car moins bien diffusé - synthèse d’acide folique ( réparation d’ADN ) , en se substituant à l’acide para amino-benzoïque - Association au triméthoprine : renforce l‘action des sulfamides, blocage de l’étape suivant - Effet temps dépendant mais quand même effet post antibiotique Substance en particulier Glycopeptides : vaccomycine vancopine ,téicoplanine targocid -AB de réserve utilisés exclusivement en milieu hospitaliser car aucune résistance contre les straphylococciques -Antistraphylococciques de référence Mécanisme d’action : inhibiteurs de la synthèse du peptidoglycane de la paroi bactérienne Effets indésirables +++++ - Digestifs - Photosensibilisation : interdiction exposition solaire - Altérations osseuses et dentaires : fixation trame osseuse en phase croissance et email dentaire jaune indélébile -Gastro intestinaux -SNC : maux de tête , vertiges -Hématologiques : hémolyse, neutropénie, thrombocytopénie -Augmente espace QT -Neurologiques : insomnies, troubles visuels, hallucinations, dépression, convulsions & réversible à l’arrêt. -Dermatologique : phototoxicité : éruption érythémateuse maculopapuleuse -Tendinopathie : 2 à 42 jours après le début du traitement, régressent 1 à 2 mois après l’arrêt du traitement dans 2/3 des cas ++ -+++++ sujets âgé, IR, stéroïdes au long cours - Tolérance bonne aux faibles doses - Réactions d’hypersensibilité : atteintes cutanées graves entre différents sulfamides, voir même sulfamides - Troubles hématologiques : anémie hémolytique aigue, agranulocytose & anémie : corrigé par l’apport d’acide folique par voie orale pour compenser le déficit Surveillance du traitement : - NFS - STP - Surveillance clinique attentive : éviter les accidents allergiques graves : arrêt immédiat devant toute manifestation cutanée Pharmacocinétique Bonne résorption intestinale mais diminué si en même temps que le repas, diffusion tissulaire très bonne ; passe le placenta et dans le lait , passage dans le BHE très insuffisant Elimination mixte : filtration glomérulaire rénale et excrétion biliaire : augmentation de la posologie Résorption orale trop faible : voie injectable & élimination rénale , ajustement posologie chez IR , bonne pénétration tissulaire Absorbé par VO, très lipophiles, peu liées au protéines plasmatiques : pas trop d’interaction médicamenteuse, élimination urinaire : explique leur utilisation dans la cystite Action antibactérienne : effet bactéricide : concentration dépendant & effet post AB marque : pas tous résorbés par voie intestinale => utilisation pour lumière intestinale - Excrétion principalement par le rein sous forme inchangée => infections urinaires : forte variabilité interindividuelle en fonction de l’âge et de l’IR Association Utilisation des glycopeptides : Utilisés en association : association médicaments néphro et/ou ototoxique à éviter Surveillance de la toxicité : concentration plasmatique & fonction rénale et auditive Contre-indication - grossesse ( 2 & 3 trimestre ) - Allaitement - Enfant de moins de 8 ans - En cas d’hypersensibilité - Traitement par les rétinoïdes par voie générale Antiviraux : Cycle des ANTIVIRAUX : - cycle de multiplication du virus : Attachement, Fusion, Décapsidation, Intégration, Réplication, Assemblage ou libération, Synthèse d’ARNm viral On va pouvoir agir à tous ces différents niveaux Principales cibles : - Enzymes virales nécessaires à la réplication - La majorité des AV inhibent les enzymes impliques dans la synthèse des acides nucléique ou protéine de maturation des protéines virales Inhibition de la décapsidation : Inhibition de la réplication : Action de INTI : Inhibition de l’assemblage et de la libération : Par mécanisme d’inhibition de la pompe à protons de la protéine M2 des virus de la grippe A Amantadine : mantadix & rimantadine : flumadine Actif sur virus grippe A seulement le virus ne peut plus se décaspuler : le génome est bloquer dans la capsule Ce mécanisme est statique, on ne tue pas le virus mais on l’empêche d’agir Enzyme clés de la réplication : reverse transcriptase ( VIH ) ou ADN polymérase virale : Analogues nucléosidiques : modification du sucre ou base purique ou pyrimidique - Pro médicaments : triphosphorylation : par les kinases de la cellule humaines - Aciclovir : Zovirax : anti HSV - Anti VIH : AZT Analogues nucléotidique : pas de première phosphorylation : moins spécifique & plus toxique néphro-toxicité Acide phosphonoformique ( PFA) : agit directement sur le site de l’ADN polymérase sans transformation préalable , analogue de pyrophosphate Analogue de la guanosine : dépourvue de 3’OH , phosphorylé par la thymine kinase du virus Très peu toxique : active uniquement sur les cellules infectées par le virus Arrêt d’élongation de la chaine, manque radical 3’ OH nécessaire à l’accrochage d’un autre nucléotide * Inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse du VIH • AZT : analogue thymidine dépourvu de 3’ OH remplace par le radical azide N3 • Triphosphorylé par kinases cellulaires • Inhibe action de la reverse transcriptase en inhibant l’élongation… Etape tardive : nouvelles cibles anti VIH et anti grippe , VIH : Oseltamivir : tamiflu Actif contre virus grippe A et B, inhibe la neuraminidase : libération des virions néoformés à la surface cellulaire , arrêt diffusion des virus de cellule à cellule , action préventive et curative si administration précoce Inhibition de la synthèse d’ARNm : Inhibe la formation et la maturation des ARNm produits lors cycle multiplication des virus a ARN. Grippe … Les antirétroviraux : TCD4+ < 350 /mm^3 : début du traitement - Association d’ARV de différentes classes - Objectif : * restaurer un nombre suffisant de lymphocytes pour lutter contre les infections opportunistes * ARN plasmatique indétectable en 3 à 6 mois après début de traitement, on considère que l’on a une stase du virus, mais il reste tous les virus quiescents, on n’a pas guéri mais traiter Inhibiteur TI (transcriptase inverse ) : analogue dépourvus de 3’OH => arrêt élongation - Toxicité mitochondriale : inhibition non spécifique ADN polymérase mitochondriale Inhibiteur non nucléotidiques de la TI : INNTI - Inhibition non compétitive de la TI : fixation poche hydrophobe près du site de fixation Inhibiteur des protéases : - Bloquent la phase tardive de la maturation : à protéase clive les polypeptides précurseurs : produits par les gènes codant pour les protéines de structure et les enzymes d virion : virions immatures incapables … - Associé à des inhibiteurs de la TI Nouvelles classes d’AV : - Inhibiteur des récepteurs aux chimiokines : antagonistes d esCCR5 :fixation dans la région TM du récepteur CC5 : le rétrovirus ne pourra pas rentrer dans la cellule , car n’est plus reconnu - Inhibiteurs de fusion : on empêche la fusion avec la membrane et pénétration du virus : fuséon = molécules - Inhibiteur de l’intégrase : raltégravir ++ : empêche l’ADN pro viral de s’intégrer dans la cellule Les interférons : - Cytokines : antivirales, antiprolifératives : virus de l’hépatite B & C , beta infection VHC Les antifongiques : traitement infection dû à des champignons Généralités - Espèce fongique pathogène : levure : candida & champignon filamenteux : aspergillus - Deux lignes de défense : barrière cutanéo-muqueuse & système immunitaire de l’hôte - Toute altération de ces mécanismes de défense favorise la dissémination systémique des mycoses - Infections systémiques graves - Mortalité très importante si elles ne sont pas traite : si immunodéprimé : très grave - dermatophytes Indications : - Mycoses superficielles à dermatophytes - Mycoses septicémiques et profondes ++ : forte mortalité • Polyènes • Azolés • Antimétabolites • Echinocandines Mode d’action des antifongiques : altération de la membrane plasmique : ergostérol - Amphotéricine B : interaction avec l’ergostérol membranaire : néphrotoxicité ++ - Azolés : inhibition de la synthèse de l’ergostérol membranaire : inhibition de la 14- alpha inaostérol … - Flucytosine : en association, inhibition synthèse ARN ADN fongique : toxicité dermatologique - Echinocandines : inhibition de la beta 1-3 glucane synthétase : nouvelle famille, peu d’Effet Indésirable, moins toxique et efficaces. Altération de la paroi fongique

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