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Stylistique TD.docx

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Contributor: DetroitRed
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Stylistique Objectifs du cours : En principe, on aura un examen terminal (commentaire composé). Différents cas de figure : - Si on a plus de 4h : rendre un commentaire entièrement rédigé, sans faire apparaître les titres, ni les tirets… En Trois parties, avec transition en deux parties (conclusion partielle + introduction). - Si on a 4h : rendre un commentaire entièrement rédigé, sans faire apparaître les titres, ni les tirets… En Trois parties, avec transition de début de partie (on la fait donc même au début de la première partie). Cette transition doit contenir l’objectif de la partie à venir, la manière dont elle s’articule avec la partie précédente et la manière dont elle s’articule avec l’axe problématique (qui est une sorte de fil directeur pour le correcteur). L’axe problématique est donc un point essentiel. Il doit être annoncé en introduction, et il faut qu’il apparaisse tout au long du devoir (notamment dans les transitions). - Si on n’a que 3h : Ne pas rédiger entièrement le commentaire : remplacer les transitions par des titres (au minimum 2 mots par titre, dont au moins un qui doit renvoyer à l’axe problématique, soit le même mot, soit un mot fortement synonyme. Le deuxième mot doit renvoyer à une variation). - Si l’on n’a que 2h : Ne faire que deux parties, bien claires. Le libellé du sujet comprendra une sorte de petit kit pour nous fabriquer un plan de secours, au cas où on n’aura pas suffisamment de temps pour rédiger quelque chose de clair. Si ces axes semblent incongrus et que c’est autre chose qui nous vient en tête, on prend notre plan. - Si l’on a moins de 2h (ou 2h et qu’on est complètement en panique) : Proposer un plan formel (une partie sur le lexique, une partie sur le verbe, une partie sur la phrase etc.), ce n’est pas le top, mais c’est mieux que rien. La stylistique n’est pas de la théorie littéraire. On étudie des situations concrètes de lecture et d’interprétation. On ne fait pas de grammaire (exemples construits), on se base sur des exemples qui concernent la vraie situation de communication qui n’est jamais évidente pour le lecteur et pour l’écrivain. La relation que s’imagine l’écrivain ou le lecteur ne correspond jamais à la réalité. Aristote : distinction entre la connaissance théorique et la connaissance pratique. La stylistique porte sur cette connaissance pratique. Il ne faut donc pas se mettre dans la peau du lecteur idéal. On doit partir de notre propre intuition. Le rivage des Syrtes – J. Gracq, 1951 Observations intuitives : - Longues phrases, beaucoup d’accumulation - Caractère descriptif et géographique du texte - Impression que la nature est humaine - Lutte entre la nature et les humains - Fait penser à une ville grecque ou antique - On est un peu entre la nature et l’art - Opposition entre mouvement et immobilité - Silence qui règne, impressionnant - Impression d’une dimension sexuelle - Impression d’une ville inhabitée Pour la première lecture, privilégier les phrases comportant un modalisateur (outil linguistique qui marque la subjectivité [peut-être, on a l’impression que, on se dit que…]). Ce que dit l’énonciateur ne coïncide pas nécessairement avec ce que perçoit le lecteur, qui a un point de vu subjectif. Le texte littéraire ne peut pas s’adapter au niveau de perception du lecteur (petit enfant ou adulte, le texte restera le même et ne s’adaptera pas). Pour la deuxième lecture, il faudra prendre ses distances avec l’objet d’étude pour avoir un point de vue critique. On doit donc être à la fois juge et partie. On doit être interprète critique et donc gommer tout ce qui est de l’ordre de l’impression, mais il faut quand même partir de ses impressions. Il faut transformer la lecture impressionniste en une lecture critique. Il faut examiner la lecture impressionniste pour aboutir à une lecture critique. On ne dit pas de vérités, on émet donc des hypothèses, qui peuvent être contradictoires. On peut s’inspirer des concepts créés par la critique, mais pas les répéter. 1h30 : texte avec introduction complète (3 axes), soit une question technique (comparaison/modalité/temps verbaux). Molière, Le misanthrope Ne pas tomber dans la psychologie de l’auteur. Comment sous l’apparence d’une comédie classique, Molière introduit des éléments nouveaux. Scène d’exposition (élément de la comédie classique). Puis on introduit le drame bourgeois « une scène d’exposition inhabituelle »… « excès et modération » caractéristiques des personnages. Langage dramatique comme langage euristique Peut on qualifier cette pièce de comédie (x une problématique) Difficulté entre devoir être et sembler être. Critique de la société du 17ème siècle -> soit être sincère .. ou alors être au contraire (en prenant 2 personnages extrêmes) Baudelaire . « Lidéal » « z » + « e » muet ce poème est discordant. forme fixe de sonnet, souvent marqué par une opposition sémantique. Forme très utilisée par Pétrarque… D’abord en décasyllabe, puis en alexandrin. Des poèmes musicaux. Soit système d’opposition, soit démonstratif, avec thèse antithèse synthèse. genre lyrique, mais démonstratif « une fleur qui ressemble à mon rouge idéal » -> début de l’antithèse. La construction est donc asymétrique. une construction 7/7. Alexandrin = 2 hémistiches égaux. 4/8 8/4 au théâtre. Ici on à « satisfai/re » ce sont des sésures enjambante, considérées comme fautive par Boileau. Toujours à la fin des quatrains. Ce sont des sonnets irréguliers (versification non classique). système d’accentuation -> e muet sur « une » -> fait que ce sonnet est très irrégulier. Ega-lyrique : -expression de ses émotions, traduit par un amour ou un CONTEMPLATION DE LA NATURE. Epanchement des sentiments qu’on peut aussi voit à travers la mort. Au départ c’était un chant < Orphée épanchement : les 4 façons - voix –éjaculation –blessure –mort . Lamartine / Rousseau Le moi va être sur-représenté. Comme il s’agit d’épanchement -> on se quitte. Il ne faut pas qu’il y ait de l’égaux. Au début il parle de lui, puis de « toi » « vous ». énonciation lyrique. S’il est dans une logique d’épanchement il doit se quitter. Il y a objectivation de « moi » pour une mise à distance. « vignettes » « avariés » « vauriens » + noms propres. vignette : ornement placé en première page de livre. Sorte d’enluminure, d’illustration. C’est le dessin d’une marque de fabrique (logo), quelque chose de commercial, lié au monde marchand Gavarni : aquarelliste de mode beautés de vignettes : mannequin « ette » -> de moindre valeur « produit » -> économie de marcher, ces beautés ne sont pas des êtres ce sont des produits, déjà périmé. « vaurien » -> il ne vaut rien / voyou. Pourquoi ce siècle ne vaut rien. Valeur d’usage // Valeur d’échange (offre/demande) [ un coups ca a de la valeur un coups non] + création de la bourse -> les valeurs des objets sont fantasmées (sa valeur est variable), mais si tout est variable, les gens aussi le sont. Quelle est la valeur d’une personne (FACEBOOK), le problème d’estime de soi n’existait pas avant que le monde ne devienne relatif. Ce siècle ne vaut rien car rien n’est stable. ++++ dieu n’existe pas, l’homme descend du singe. Toutes les valeurs deviennent relatives, y compris le beau. Ce n’est pas BEAU ou LAID, on est dans des demi-teintes, juste la couleur des « chloroses » (décoloration des feuilles) -> teint verdatre. Le rose des chloroses est verdâtre. Ce qu’il dit c’est que le modèle à la mode est une lépreuse. Opposition à Lady Mcbeth/Eschyle/Michel-Ange. -> atmosphère glauque. Pourquoi il se casse la tête à nous décrire mcbeth sans rien nous dire. Il n’y a pas d’apport sémantique . Il ne nous informe pas « Rêve d’Eschyle éclos au climat des autans » -> auteur de tragédie grec, vieux. Lady Macbeth -> Shakespeare, Angleterre. Le climat des autans -> Lady M. Il fait une synthèse pour sortir du temps et de l’espace. C’est utopique et achronique (hors du temps). Après -> structure catholique renvoyée aux titans grec. Absence de nuance, force, excès. Michel ange représente à lui tout seul une synthèse. Sa peinture est transgressive. Choix qui n’est pas anodin, pour atteindre le beau idéal il faut que ce soit hors de la norme. Il choisit Lady Macbeth, car elle le fait sortir de la norme. Les marques de l’ironie : Dans l’idéal il faut intégrer la modernité. Ce monde moderne est quand meme partie intégrante del’idéal baudelairien, les fleurs du mal/les fleurs de l’idéal. lyrisme-> concentration du moi. Analyse stylistique de texte Joachim du Bellay, "O beaux cheveux...", Les Regrets Poème à tonalité lyrique. Discours non raisonné à dimension vocale. Oralité et musicalité de la poésie, qui est indissociable du chant dans l'Antiquité. A l'origine, dans La République de Platon, le lyrisme désigne un état de possession, un état d'inspiration du poète. Le lyrisme vient de l'intérieur, selon Horace le genre est associé à des mètres et à des motifs particuliers ( célébration d'une personne, d'une divinité, d'un évènement ). Le lyrisme est descriptif et non pas narratif. Au XIXème, de part l'influence d'Aristote, le lyrisme devient l'imitation des sentiments. L'on peut aussi citer les Romantiques & dans le domaine de la philosophie Hegel. Il existe un tripartisme littéraire ; ainsi le théâtre est lié au genre dramatique, la poésie au genre lyrique et le roman au genre épique. La vision évolutionniste du monde et de l'homme, lie les genres à des formes littéraires particulières. Ainsi le lyrisme se retrouve dans le chant de la nature, l'épique dans l'épopée et le genre dramatique serait le résultat de ces derniers. Idée de possession par l'amour. Célèbration de la femme. Sentiment d'infériorité face à cette dernière. Le sonnet est une forme héritée de Pétrarque. Il est en rapport avec l'épigramme. Il est composé de 2 quatrains formulant une "thèse" et de 2 terçets formulant une " antithèse ". Il existe 3 grandes familles de sonnet, le sonnet italien, le sonnet français et le sonnet Elizabéthain. Il s'agit ici, d'un portrait physique ( la prosopographie ), seuls les aspects physiques et corporels sont ici décrits. L'on peut trouver aussi le portrait moral ( l'éthopée ). Au vers 11, Du Bellay parle implicitement du sexe de la belle. Il n'y a donc pas d'élévation car l'on descends dans la description physique de la femme. Il existe 3 genres de discours, l'épidictique ( relatant des évènements particuliers à la manière de la louange ou du blâme ), le judiciaire ( relatif au tribunal et de ce fait à la défense ), enfin le discours délibératif ( relatif à la persuasion/disuasion ainsi qu'à l'Agora ). Notions Faisceaux : repérer des procédés que l'on peut corréler vers une même signification. Isotopie : répétition significative d'unités linguistiques. Exemple : " L'aube allume la source " , Paul Eluard. Embrayeur d'isotopie : mot, sème ou expression lançant l'isotopie. Terme pivot généralement polysémique qui assure le passage d'une isotopie à une autre. Allotopie : changement d'isotopie. Importance du titre du recueil, car la notion de regret renvoie à la déception éprouvée par le poète lors de son voyage à Rome. Déception tant au niveau architectural et urbain, qu'au niveau papale et religieux. Or nous avons un sonnet qui semble célèbrer l'amour ainsi que la femme. Comment expliquer ce paradoxe ? S'agit-il d'un pastiche, d'une parodie de la forme du sonnet ? Serait-ce la copie d'un genre, donc dénuée d'exaltation ? Il y a une gradation dans le poème, ainsi l'on passe de matières précieuses et tangible à des matières fragiles et moins rares. Le champ lexical de la vieillesse, termes nuançant la célèbration. Répétition de l'invocation et de la vénération par l'usage de " O beaux ", " O belles ", " O divines ". Cela donne un côté hyperbolique au sonnet renvoyant au pastiche. Le champ lexical de la sculpture, avec des termes tels que " crystal", "ébène", "damasquine", ce qui renvoie à la contemplation d'oeuvre d'art. Allotopie sous-jaccente , " dents d'ébènes " Passage du matériel à l'immatériel, du palpable à l'impalpable, du concret à l'abstrait. L'on retrouve différents faisceaux tout au long du sonnet. L'admiration du poète, la beauté physique, le lyrisme, le portrait, l'épidictique. Commentaire final I) Ressemblance avec l'hypotexte " poésie amoureuse " 1) Reprise des clichés du poème amoureux - Célèbration du corps. 2) Tonalité lyrique - Sonnet / Influence de Pétrarque - Présence de vocatifs et d'apostrophes. - Modalités exclamatives / Adjectifs classifiants ( donc objectifs ) -Termes affectifs, "mignonemment" " grassette " 3) Un éloge - Isotopie de la Beauté ( anaphores ), des matières précieuses. -Phrases nominales, pas de conjonctions de coordination ( Parataxte ) -Procédés d'intensification ( polysyndète= succession de conjonctions de coordinations semblables ). -Intensifs = " si beau corps " -Métaphores = " cheveux d'argent " -Anaphore résomptive, c'est-à-dire qui est un résumé des autres anaphores. -Allotopie = " retors ", il s'agit d'une syllepse ( plusieurs sens ) II) Un hypertexte parodique 1) Présence d'indices identificateurs - Un embrayeur d'isotopie avec la syllepse " retors " - Aspect descendant et dégradant du portrait -Côté grivois, parle de son sexe et de ses seins -Gradation descendante des minéraux -Glissement de la beauté vers la grosseur -Au dernier vers, valeur syntaxique hypothétique " Si ". Aussi, la fin est antitétique du début. Apparition du pronom personnel " Je ", apparition de verbes, l'indicatif devient impératif . Passage de l'affirmatif au négatif. 2) Un texte ironique -Plusieurs sous-entendus/implicite -Syllepse, " précieux " ; signifie la rareté des dents -Surprise et étonnement devant l'horreur du corps qui se dégrade, modalités exclamatives. -Ironisation/Antiphrase -Dialogue avec l'introduction du " Je " 3) Une conglobation de la beauté Conglobation = signifié global qui n'est jamais explicité ( eumphémisme/litote mais dans un sens plus étendu/général ) -Isotopie de la grosseur III) Dénonciation de l'hypotexte 1) Poésie stéréotypée -Topos de la femme magnifique -Métaphores éculées -Répétitions du terme " Beau " -Grand nombre de complètements du nom -Adjectifs antéposés 2) Poème manquant de sincérité -Présence d'hyperboles -Trop de répétitions. Excès de la modalité exclamative -Isotopie de la grandeur, donc poésie de la flatterie. Dans le dernier terçet, sorte de flatterie non sincère ainsi que passage du concret à l'abstrait. -Idéalisation vs allusions grivoises - Du " beau " à la " beauté " , figures dérivatives -Amour plutôt cérébral que charnel - " Je ne vous ose aymer " , pas d'amour ni de sincérité L'on peut considérer que dans ce poème, Du Bellay fait la critique d'une poésie Pétrarquiste où les lieux communs et les stéréotypes sont récurrents. Ainsi le recueil " Les regrets " serait une sorte de manifeste anti-Pétrarquiste. -Les embrayeurs d'isotopie tels que dans " O beaux cheveux d'argent (...) retors ", peuvent être considérés comme une métaphore implicite des vers trop précieux de Pétrarque. -Jeu de mots sur " figurée ", puisque Du Bellay fait le constat d'un excès de figures de réthorique dans la poésie Pétrarquiste. -Dans le dernier terçet, il y a une caractérisation de la poésie amoureuse, un refus du manque de sincérité et des stéréotypes de la poésie précieuse et éthérée. -Rupture avec l'ancienne poésie dans le but de renouveller la forme poétique. Conclusion Le poème n'est pas seulement un pastiche mais plutôt une parodie des hypotextes critiqués. C'est une critique de la poésie amoureuse dont il mets à nu les artifices pompeux.Aussi, le titre " Les regrets " est complètement justifié. C'est un rire jaune et amer de Du Bellay sur l'Amour et sur l'Art. Analyse stylistique de texte La Fontaine, " Les Membres et l'Estomac ", Fable III, 2 En quoi " Les Membres et l'Estomac " est un apologue ? Et qu'est-ce qui le différencie d'un apologue traditionnel ? L'apologue est un texte didactique et argumentatif prenant la forme d'un récit, donc il suit un schéma narratif. C'est un genre continuellement hétérogène, un " genre-synthèse ". Le genre est originellement rattaché à Esope. Ici, il y a 3 morales se trouvant au début, au milieu et à la fin de la fable : " À la voir d'un certain côté, Messer Gaster en est l'image. " , " Ceci peut s'appliquer à la grandeur royale : Elle reçoit et donne, et la chose est égale. " et enfin " Quand Ménénius leur fit voir Qu'ils aux Membres semblables,Et par cet apologue, insigne entre les fables, Les ramena dans leur devoir. " Ces 3 morales divise le textes en 3 parties, l'on peut supposer qu'il y a 3 récits ( celui de l' Estomac, de Ménénius et de ce qui se trame politiquement en France ). Hétérométrie Références historiques et fiction La fable est traditionnellement universelle, or ici le récit débute par le pronom personnel " Je ". Le pronom personnel " nous " est aussi présent. Il y a un mélange des temps, plusieurs présents ( d'énoncitation, de narration et de vérité générale ) ainsi que le passé ( imparfait et passé simple). Allégorie de l'estomac avec Messer Gaster ( titre honorifique vs estomac ). Plusieurs influences donnant un côté tant intemporel que temporel à la fable. Ainsi il est fait référence à l'Antiquité ( Ménénius ), à Rabelais donc au XVIème siècle ( avec le personnage de Messer Gaster ) ainsi qu'à la cour Royale de France. Introduction " Les Membres et l'Estomac " se trouve dans le recueil de Fable III, au livre 2, et est précédé de " Le Meunier, son fils et l'âne " ainsi que de " Les Grenouilles qui demandent un Roi " ( mise en scène d'une défence de la monarchie ). Cela n'est pas anodin. La Fontaine a eu une période de froid avec Louis XIV. Le protecteur de La Fontaine est Fouquet ( l'un des conseillers du roi et un grand mécène pour les écrivains ). Or Fouquet est arrêté car il mets en danger le pouvoir du roi. I) Un architexte ambigu 1) Un apologue a) Une dimension narrative -Schèma narratif -Verbes à l'imparfait/ au passé simple ainsi que des verbes d'actions et des connecteurs temporels -3 présents ( d'énonciation, de narration/ actualisation et de vérité générale ) b) Une portée didactique -Présence de morales, présent de vérité général. -Lien direct avec la morale et le récit. La morale vient en écho au récit. -Anaphore résomptive -Présence du " Je " 2) Un genre particulièrement hétérogène -Plusieurs types de discours : descriptif, narratif, argumentatif, explicatif, injonctif -Mélange de récit, de discours, de poésie et de conte -En quelque sorte, une mini pièce de théâtre -Ambiguité entre les organes et les êtres Humains. -Sorte de morale immorale ? 3) Un apologue particulièrement libre -Les vers sont hétéromètriques -Divisé en 3 parties ( trois morales ) et deux fables -Présence du " Je " dès le 1er vers -Progression de l'animal à l'humain -Réflexions politiques faisant allusion au XVIIème siècle, ce qui engendre un glissement de l'universel au temporel. Questionnement sur le genre de la fable, en lui-même, sur sa sincérité ? Eloge ou blâme de Louis XIV ? Quelles significations peut-on donner au découpage en 3 parties du texte ? Quelles sont les connotations sur les personnages de la monarchie ? Sur la monarchie, elle-même ?

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