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Histoire des mythes

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Cours histoire des mythes Pas de livre « d'histoire des mythes », le prof a dit « le livre c'est moi » Le mythe est par nature désagrégation, le mythe ne se compte pas il se conte. L'Histoire se base sur le passé, en histoire on raconte ce qui s’est passé à une date précise. Le mythe lui est permanent, il n'a pas de début ni de fin. Une fois écrit le mythe devient de la littérature, ce n'est plus un mythe. Dans ce cours on va apprendre ce qu'est un mythe. Le mythe a quelque chose d'à la fois profane et sacré, le mythe est complet. Le mythe concerne chacun de nous, le rêve fait partie de la réalité, le rêve est un mythe.   Le miroir > première illusion d'optique au cinéma, si on b-veut filmer quelqu’un qui se regarde dans un miroir, cette personne ne doit pas se voir dans le miroir, pour donner une notion de réalité on doit déformer cette dite réalité.   Le mythe de Narcisse c'est que le reflet est une chose fausse, mais il reste quand même là a contempler son reflet dans l'eau et meurt d'anorexie, mais il ne meurt pas, il se transforme, il se métamorphose. Le mythe est un passage, il est constitué de tout ce qui permet le passage. Le mythe de narcisse est là pour nous dire que le mythe est a la fois changement et permanence, il n'y a pas de début ni de fin au mythe.   Le mythe en grec c'est le pneuma, la source vitale. L’apparence visible est une chose infime, le reste est mythe. Le mythe est antérieur au nom. Mythe=battement de vie. Altérité, l'autre. Dans ma façon de ma positionner dans mon environnement, domaine du pressentiment. Conscience de l’individualité par rapport à l’autre. Si l'Homme était seul il n'aurait pas cette conscience de l'individu. A l'origine du monde il y a la nuit, pas de forme, mais il y a des ondes. Quand Narcisse apparait la fleur, voir La métamorphose de Narcisse de Dali> 2 Narcisses pour l'altérité, une sorte de reflet, on ne voit pas le visage du narcisse de droite, quand on fixe le tableau au centre le Narcisse de gauche a tendance a disparaître au profils du Narcisse de droite pour devenir une main tenant un œuf (l'oeuf primordial) d'où sort une fleur.     Il est tout a fait probable que la mort, telle que nous humains la voyons, soit le passage tel que le voient les aborigènes. En se droguant ils voient l’infra-monde, ce sont des choses que l'on ne voit pas, un peu comme le surréalisme nous montre des choses que l'on pense impossibles.    Chez Platon la réminiscence c'est la reconnaissance d'une chose déjà vue, ça renvoi au mythe de la réincarnation. Sêma>le signe, a donner aussi la sémantique et le sens.   Personne A meurt, sa psyché, son âme, s'en va du corps, avec la psyché, il a les idées aléthéia, les idées traversent le léthé, le fleuve de la mort (un truc comme ça), puis la psyché vas dans un notre corps, B. de temps en temps B a des réminiscences des idées de A, il se souvient fugitivement de son âme, peut apercevoir un coïncidence. Ces idées c'est le daïmon, le démon, vague onde, pressenti.   Celons certains le corps est le sêma de l'âme, le tombeau de l'âme.         Le hasard, la coïncidence, n'a pas de moral. Il n'y a pas de distinction morale/sexe dans le mythe. Il n'y a pas de logique en mythe. Mythologie = parole parole. Le mot même de mythologie est un pléonasme. Avant Homère mythos et logos veulent dire paroles. Un mythe est une parole récupérée, un écho, une parole ventilée, transportée. Après l’instauration de la citée grecque, muthos = la petite histoire, que l'on raconte aux enfants, logos = le discours, le discours fiable, d'où la logique, la logistique, ce qui fait appel au résonement. Le muthos résonne, le logos raisonne.   Passage, filiation, générations, on est issus du mythe familial. La conception (d'un enfant), est un aboutissement, il n'y a pas de commencement ni de fin a un mythe. On est dans un devenir, on a pris le train en marche, et on en sort quand il roule.   Avant Platon il y a les près-socratiques on a 2 vers grecs, le EINAI(je suis) et le GIGNOMAI(je deviens), nous sommes tous en devenir. Le mythe est une parole, une parole auto-disante, le mythe n'a pas besoin de nous pour vivre, il été là avant nous, il sera là après nous.   LE MYTHE COMME LOI   Le mythe est antérieur a la loi, a la morale... le titre fait référence a la loi mythique et non la loi juridique. Heideger pense le logos et le muthos comme deux choses qui ne devraient pas être vue comme opposées. Höderlin. Pas de ligne droite en mythe, les choses se passent par le détour. Il y a une filiation en mythe, on se lit les uns les autres, on s'écoute, cette filiation est essentielle, c'est le mythe comme on le vit dans sa vie quotidienne, pourquoi est-il artificiel de séparer le logos du muthos ? Primitivement logos=muthos=parole. Heideger repart de cette synonymie, sur la parole, c'est quelque chose qui précède le pensé logique, on est dans une période prés-socratique, la parole est autant logique qu'illogique, on peut écouter les fous, les rêves, etc... les stoïciens quand ils parlent de logos alogos, c'est la logique illogique, mais pas besoin, muthos nous suffit largement, il n'y aucune raison de prendre la logique en premier, on peut écouter un enfant. Tout est à prendre, à écouter dans la nature, tout est signe, aucune surprise à ce que l'on écoute un oracle, aucune surprise a voir les éléphants se barrer 20min avant le tsunami. Il y a eu une prise de pouvoir par la raison. C'est a la mise en place de l'institution qui fait ce qui est bien, ce qui est mal, ce qui est logique. (Bouddha, Confusius,> 5-6e siècle avant J-C). Homère se sont des aèdes>aïdo>je chante, des chants, Homère est une fumisterie, c'est un terme générique qui regroupe beaucoup de choses Iliade et Odyssée> compilations. On se retrouve dans une systématisation qui impose une distinction entre mythe et logique. Il faut bien voir qu'on peut pas faire une étude des mythes, quand on fait une mythologie on essaie de faire une raison d'un mythe. La raison du mythe est oxymorique. Il y a des choses indémontrables et qui sont essentielles. Ce qui est en amont de l’institution grec c'est le principe de la mesure, ce n'est pas être le juste milieu, c'est trouver une harmonie, on ne peut pas distinguer ce qui est fusionnel, il y a quelque chose en nous qui bat et qui n'a rien de logique.   Le mythe comme loi, la loi telle qu'on la voit c'est lex>lego, je dis, parole, la loi est aveugle donc impartiale, la loi au sens mythique est une parole. Les aborigènes en Australie appellent le mythe la loi, ils vont appeler loi rêve ou mythe ce qui est de l'ordre du quotidien, recettes pour manger, chasser, ce qui est de l’ordre du rite, c'est le nomos>la coutume. La coïncidence est de l'ordre du mythe. Dans la quotidienneté des aborigènes ils sentent battre le mythe. Nous n'avons pas besoin de la conscience pour nous penser. Pour quelle raison Nazca a été tracée ? Les dessins apparaissent par contraste, s’ils sont restés intact, c'est grâce au sol, au gypse comme une colle. Le dessin fait fi des bosses et autres ravin. Le dessin perdura par le rite, la raison est rituelle. La chôra, c'est le lieu, pas comme le topos, c'est un lieu dans lequel il y a des liens entre les gens. Les incas font en sorte d'être ensemble à faire quelque chose quand ils dansent sur Nazca.   La peinture aborigène, représente la chasse pour pouvoir tuer l'animal, c'est pour charger un pouvoir magique pour pouvoir traquer l'animal. On se met en état de transe pour aiguiser ses sens, c'est le chaman qui mène la danse, il nous incite a recharger le rythme.   Il y a un commencement avant la naissance, il y a un commencement au commencement, alors pourquoi il y aurait une fin. Nous somme un apparaître temporaire d'une chose permanente que Pilorget appelle le mythe.   Quand on regarde une œuvre, on l'aime parce que c'est en accord avec nous. L’essentiel de la liberté individuel c'est sentir que l'on fait partit d'un tout. Cesser d'être un apparaître ce n'est pas cesser d'exister ou disparaître. A chaque instant de notre vie on perd des millions de cellules, on vieillit, la mort fait partie intégrante de la vie.   Nous sommes des mythes.   A partir du moment où on demande à un aède de raconter une histoire, il improvise. Au fils du temps et des versions de l’Iliade, le texte s'enrichit de gens qui ont accompagnés Paris et Hélène. Il y a toujours un moyen de détourner l'usage. Monstre=quelqu'un qui montre.   Le trop, tourner, façon de tourner, détourner. Platon est un mec sérieux. Pourquoi un type qui a dit ce qui prévalait c'est l’esprit, le nous, le logos, la logique, tout en faisant un mythe, comment peu-t-il dire que le mythe est pour les enfants et nous en servir. Il détourne le discours, pour comprendre quelque chose il faut une petite histoire. Jamais Platon ne s'explique sur le dehors de la grotte. Platon ne conseille pas la violence, il dit lui-même que la violence est inutile. Notre type ce libère de ses chaines et se retourne, il regarde par terre et voit une source, puis voit le ciel, il avance vers la lumière et arrive dans la lumière plein, il voit la réalité. C'est quoi cette grotte ? Ce récit a tout d'un rêve. C'est la découverte de ce qui fait de notre existence une partie visible du mythe au détour de ce qu'on croyait être une petite histoire. Tout le principe du texte repose sur un effort d'imagination. Il faut considérer ça une image ressemblante a la réalité, on abordera ainsi à la vérité, c'est le phénomène ice-berg. Pour approcher quelque chose de vrai il faut commencer à représenter. Toute l'histoire du mythe de la caverne est en soit un détournement pour aborder quelque chose qui vient après la réalité ne peut pas s'aborder complètement. Faire aborder les choses par le point de vue de la personne visée. Le mythe ce n'est pas une histoire qui commence a A et finit a B, il n'est pas linéaire.   Impossibilité de passer> no tressapassing> contournement, on dépasse ce que l'on ne peut pas passer. On nous montre un contexte exotique dans l'univers de Xanadu, on passe de l'autre côté de la fenêtre. Lorsque on est sur le corps de Kane, sur ses lèvres qui disent Rosebud, puis on voit la boule qui s'échappe de la main et se brise au pied de l'escalier, elle continue a refléter la suite du film, l'infirmière, a ce moment démarre la rétrospective de Kane. Rosebud, c'est l'enfance,une luge d'enfant, petit bouton de rose> ce n'est ni plus ni moins que le caractère immuable du mythe. Kane est le portrait craché de Hust, au niveau caractère, pour lui pour Hust Rosebud est le sexe de sa femme. Ce qu'on nous montre est une manière de connaître mieux quelqu'un qui n'est pas dans le film, dans le tableau, c'est un autre. Nous somme vieux comme l'éternité, on n'a pas commencé a une année X et on ne finira pas en une année Y, on a une dimension mythique, on n’a pas d’âge. On va découvrir qu'on a une ampleur plus grande que notre existence.   Le mythe n'est pas seulement quelque chose qui vas de l'avant, il est aussi vers l'arrière, traiter le mythe c'est faire opérer ce mouvement. Nous sommes manichéens, il y a le bien et le mal symétriquement disposés. Le manichéisme est une enflure, la philosophie de manu, qui reprend une tradition qui dit que bien et mal étaient fondus. Et dit manu est arrivé un homme, un empêcheur de tourner en rond qui distingue le bien et le mal par le verbe. Cette distinction est réprouvée par le mythe car tardive. Citizen Kane est un film de génie, car la symétrie est cassée, on commence par la mort du Kane, on finit par le début. On finit par la fumée qui sort en spirale, en grec speira, speiro : respirer, c'est un souffle, sperma la semence, ce que l'on sème c'est la vie. Il n'y a pas de distinction en mythe, on est a la fois homme et femme. Le pas net est du début a la fin de Citizen Kane, dans le début du film on plane (notion de planage). Vue d'en haut, la distinction n'existe pas, on a des sociétés dites primitives qui représentent les animaux d'en haut. Il faut le handicap, le raté, le trébuchement, pour parvenir a ressentir la non distinction. On est potentiellement un génie ou un taré avant de naitre. Faculté d'être devant et derrière la fenêtre. La vie est représenté un souffle (mort des rois de France, les 3 lumières de Lang). Il n'y a pas de distinction entre la fin et le début de Kane. L'arbre pousse en puisant dans ses racines. L'enfant que l'on est est toujours en nous. Jan KOUNEN, il a fait blue berry, il a aussi fait un documentaire sur le chamanisme autres mondes, systématiquement il a un chaman qui a devant lui quelqu'un de malade, il film le chaman qui fume et jette la fumée a la tête du malade, la fumée guérit. La Maya celons les indiens, c'est le tout compris, le 2 en 1, le package, on peut consommer avec modération, la démesure est punie par les dieux. La sôphrosunê, c'est la modération. Avant la distinction il y a la fusion. Le chaman ne lutte pas contre les éléments, il est sage, il sait qu'il n'y a pas de choses bonnes ou mauvaises, c'est nous qui rendons les choses mauvaises. Le raté est indispensable, Citizen Kane est l'histoire d'un raté, il faut avoir la patience d'aller au bout, on aperçoit a la fin une représentation de Rosebud. En anglais il y a l'editor> le journaliste qui fouille dans les archives, et on a le reporter qui va sur le terrain, il fait être les deux et non pas l'un ou l'autre. Process vient de pro-cedo(aller de l'avant en se retirant). Dans les mythes on trouve cette avancée en reculant, on est devant l'avancée. Dans l'odyssée, on a Télémaque fils d'Ulysse, attend son père, à cause des prétendants de sa mère il va chercher son père. Il part donc cherché son père, il vas voir Ménélas, Ménélas demande a Télémaque de le suivre a l'écart de la Chôra et lui raconte une histoire, une histoire qui n'en finit pas, une époque où il est coincé en Égypte, il va voir l'oracle Protée qui a son tour raconte une histoire, c'est un détour, il dit qu'un certain nombre de héros est déjà rentré, dont le fils de Laëtre (le grand père de Télémaque), donc papa est rentré à la maison.   Un copain psychanalyste du prof, il vas regarder une partition sur un piano, il se fait bousculer, tombe inconscient et rêve qu'il est dans un stade et joue au base-ball, il se prend un coup de batte sur la tempe et se réveille, il se réveille au moment où il fait un détour. La pensée est un détour, elle fonctionne comme le mythe. « Je pense donc j'ai agis », Marcel PROUST. Nous ne possédons pas nos rêves, ce sont eux qui nous possèdent. Toute notre représentation procède d'un détour sur une chose en amont, pas ne peut pas accéder a une chose directement. On ne peut pas faire autrement que de partir des phénomènes. Nous avons besoins de l'autre pour nous penser, j'ai besoin de savoir a qui je ne veux pas ressembler. On ne peut pas faire un choix, tout choix est déjà possible. À Delphes il n'y a pas un dieu, mais 2, Apollon et Dionysos, ils sont face to face, il y a une double devise> « connais-toi toi même », et l'autre est « Il est ». Gnôthé seauton/eï. Je ne suis pas, je commence et je finis, je procède de l'être, je suis une de ses apparitions. 15 palindromes, court métrage de Léo Blandino. On se forme une vérité qui fait partie, d'une grande vérité. On avance vers la vérité par le recul. A la base> demander à des étudiants de choisir une image d'un réalisateur aimer, avoir une photo du réalisateur sur eux. Il leur a été demandé de détruire l'image du cinéaste, ils ont tous accepté. Comment dépasser l'idole, oser la détruire. Chaque étudiants, 15, à improviser la manière de détruire la photo. Le palindrome c'est ses phrases qui se lisent dans un sens comme dans l'autre> avancer en reculant. Il s'agit d'un meurtre rituel, je vais épuiser le style du mammouth pour trouver mon style. On ne peut pas dépendre uniquement du rêve, on ne peut pas déconnecter de la réalité (hors addiction). La notion de catharsis est liée à la notion d'oubli, on oublie assez facilement, l'oublie n'est pas une destruction. Vérité en grec> alêtheia, lêtheia= oublis, vérité= non oublie. L'oublie est en amont de la vérité, l'oublie compte plus que la vérité. Il y a une idée qui dit que ce qu'on appelle vérité/réalité, n'est qu'une petite partie. Il faut avoir confiance en soi.   NIPSON ANOMÊMATA MÊ MONAN OPSIN. > le PS n'est qu'une seule lettre en grec.     SATOR AREPO TENET OPERA ROTAS 2 palindromes. Le palindrome peut être linéaire ou multidirectionnel, l’essentiel du palindrome n'est pas dans la signification mais dans le parcours à rebours. Le premier>>> Inscription trouvable dans les églises chrétiennes. Trouvable contre le bénitier, ou sur les fonts baptismaux, c'est quelque chose qui attrait à l'eau. L'eau purifie, elle sanctifie. Phrase purificatrice qui désigne l'eau, la coutume. Dans l'Antigone de Sophocle Antigone défend les ta nomina agrata, elle veut pouvoir enterrer un de ses frères, celui qui a trahis son frère, ce sont les lois non écrites qu'elle défend. Les Anomêmata, c'est ce qui concerne les fautes envers la culture, il faut laver tout ce qui concerne le viol de la culture et non pas seulement les apparences. Le palindrome chrétien a souvent un secret, ici le ? est a part, il est seul, il ne se répète pas, une lettre ancienne, elle ressemble à la croix du christ. Le deuxième, latin, il ne signifie rien, SATOR, le semeur, TENET, tenir conserver comprendre participer à, OPERA, les œuvres, ROTAS, rotae de la roue, sa veut pas dire grand-chose. Roue ou cycle des saisons, le semeur est garant des œuvres de la nature, des cycles des saisons. On retrouve encore la croix.     Pourquoi le palindrome ? Drome=course, palin=retour en arrière, ambivalence, palin= de nouveau.2 sens différents, voir contraire. Palin est un pharmacos, pharmacie un médicament à petite dose soigne, a grosse dose il tue. On ne peut avancer sans avoir un regard vers l'arrière, la pensée de derrière celons Pascal. Le palindrome de Socrate, au sens propre du terme, il doit se rendre chez Agato, c'est le banquet, il invite un de ses disciples a ce banquet, a 250m de la maison il dit a son disciple de continuer, il se retrouve seul chez Agato. Un esclave arrive chez Agato, et dit que Socrate est dans le vestibule du voisin, il ne veut pas bouger, ça dure la moitié du repas, on ne saura pas ce qu'a fait Socrate pendant ce temps-là. Les impressions de déjà vu, déjà senti sont de l'ordre du palindrome, c'est important de s'y arrêter, sinon « on ne connaitra pas même sois même se rythme qui vous poursuis d'un aire insaisissable et délicieux », Proust, on est dans le connais toi toi même. Le vestibule, l'antichambre est l'endroit du passage, il y avait une tombe devant avant, on vivait avec les morts devant la porte, ils deviennent les esprits qui protègent, qui défendent, et qui maudissent. Le rassemblement, vient du logos, on rassemble la famille autour du mort, l'enterrement est la coutume de base, l'enterrement c'est le moment où on se réunit, mais aussi le moment où on vas rire, c'est l'ambivalence.     Parmenide, Chnê legueïn te noeïn t'éon emmenaï, Il faut dire et penser que l'étant est>> cette traduction est fausse, elle n'est pas précise, >> Il faut rassembler et pressentir/ s'attendre à que l'étant est. On retrouve ça dans toutes les civilisations, on récapitule pour avancer. Il y a cette ambivalence dans toutes les civilisations, elle est souvent enseigné devant la porte, des fois il faut aller chez les morts, la Catabase, la décente chez les morts, les morts instruisent, ils nous disent que les contraires instruisent, il y a toujours un double signe. Le royaume des morts est une Chora, elle est parfaitement présente, et aussi dans le films de Blandino, les jeux d'enfants, l'entrée de la fac, la passerelle au-dessus de la route, l’ascenseur, le mur de pierre(avec l'empreinte, piste du chasseur, piste du gibier, passer par où le gibier est déjà passer),>>> avancer par reculs.     Totem > totem et tabou Freud, le totémisme aujourd'hui Levi Strauss. Le totem qui est un animal, une représentation, un objet, un ancêtre, dans lequel on se reconnaît, on y trouve sa force, indépendamment de la tribu, le totem est lié à la chasse, Avatar de Cameron il traite du totem mais aussi du NAHUATL(animal dont on a la force)> le dragon, c'est celui de l'ancêtre, un chasseur va se confronter à un animal, si c'est un animal particulièrement dangereux fort mythique, l'animal d’exception, et si on arrive à le tuer vous êtes un exception, l'animal et vous est totem, on a 2 sentiments, crainte et jalousie. L'idée du totem en mythe est associée au tabou, y a 2 tabou par rapport au totem, on n’a pas le droit de coucher avec le totem, ni de le tuer, on a de l'envie, mais aussi de la répulsion. On ne peut pas tuer le père qu'on adore, qu'on envie, mais on ne peut pas coucher avec non plus, c'est de l'ordre de l’interdis de l'inceste, l'inceste commis avec tous ceux qui sont dans le totem. (Tabou vient du polynésien, ça veut dire sacré). Saint et sanction viennent du même mot sacré. Le totem dans le film de Blandino est l'oeil il est partout dans le film de Blandino. L'oeil est l'on des plus ancien totem, Horus se fait arracher son œil par Seth, qui le lance dans le désert, de l'ordre du balancer, du diabalo(jeter au travers)(le diable est celui qui jette, qui divise, qui vous indique qu'il faut vous détourner), l'oeil est OUDJET, c'est le pouvoir suprême, le pouvoir du totem. Le tatouage est le fait de revêtir une seconde peau, le voile du tatouage dissimule en même temps qu'il révèle, il dissimule l’ancienne peau et révèle la nouvelle. La cicatrice est quelque chose qui fait tatouage. Quelque fois l’acné est un tatouage. L'oeil c'est aussi le regard, impossibilité de se retourner dans beaucoup de mythe. Le regard de la Gorgone est un pouvoir totémique. Le beau comme le laid est un monstre, il nous paralyse, il monstre du doit, il indique. En mythe il n'y a pas de beauté ni de laideur, il y a une manifestation.    Le médecin écoute ce qu'on lui dit, en fonction de ce qu'il a appris. On fait a peu près la même chose. Fable=morale, pas de morale en mythe, dire que mythe=fable c'est dire le contraire du cours. Fable vient de Fari >dire parler, il a donné Fas > le destin, faste et néfaste. La fable est a destination de l'in-fans, l'enfant. En assimilant un mythe a une fable on reprend le sens tardif du mythe une petite histoire. Fable pour les enfants, qui ne parle pas, donc une histoire avec des mots pour quelqu'un qui ne parle pas ? WTF ? Pour donner une référence, il faut dire pourquoi cette référence en est une. Ne pas mettre celons Pilorget, pas d'intimité.     Diaballo > je divise, je crée une tension, ça va donner diable, un diable complètement défiguré, christianisé, le méchant. Diaballo n'a rien de méchant. Le Tabou est un diable. Créer un tension, principe des 3 tensions, une force u, une force v, un point o, les forces tirent, on crée une résultante, une 3e force, Diaballo c'est ça, tension entre vie/mort, yin/yang, jour/nuit, de cette tension va résulter quelque chose, le mythe est l'ensemble de cette tension et de sa résultant, a expliqué le tabou du retournement. Il y a un mythe qui explique un peu tout ça, un mythe chinois, le mythe de Kaoliand, le sonneur de Pékin, époque Ming, un général met tout en œuvre pour construire les remparts de Pékin, le fait de las construire va déstabiliser la chôra. Sa se manifeste par des sources taries, on essaie de trouver la raison, on est dans la raison, on découvre que sur la chôra de Pékin il y a 2 dragons, un couple, ils ont fait tarir les sources, ils veulent être tranquille, il faut les tuer, mais ils se transforment en vieillards, là vient le champion, Kao Liang, qui vas voir l'oracle qui lui dit que une fois qu'il a tué les dragons, il devra retourner à Pékin et ne pas se retourné avant d'avoir fait 100 pas. Le héros trouve les dragons, les tues, il repart sur Pékin, il se plante, il se retourne au pas 99, il va être submergé par les eaux des sources qu'il a délivré en tuant les dragons. On a un totem,le dragon, le fils du ciel l’empereur, on ne peut pas regarder l’empereur il nous terrasse si on le regarde, qui apporte un tabou. Pourquoi interdiction de se retourné, on ne pas se tourné vers quelque chose qui serai la source, la raison du mythe, parce que nous sommes dans le devenir et on a pas accès au l'immuable. On a 2 possibilité > vivre sans eau, ou se barrer, le champion propose une résultante en libérant les eaux en tuant les dragons qui retenaient les eaux, les dragons étaient là avant la tension, ils étaient là pour la tension. Nous n'avons pas le choix, la résultante du champion est l'inverse du chemin des dragons. Quand on fonde un mur, on viol le lieu, on doit donc faire en sorte de ne pas détruire l’équilibre du lieu. On ne peut fonder qui si c'est en adéquation avec les forces de la nature. Ce qui est norme chez certains, ne l'est pas forcement chez l'autre. Le pourquoi est quelque chose que l'on tente toujours en mythe. Le mythe a été dévalué, on perd du temps a raconté le mythe.    « Dieu est mort » Nietzshe > on le prend souvent dans un sens athée, contre-sens, on a amputé la dynamique, on ne travaille plus que pour la raison. La raison rend aussi aveugle, assimiler un cours ce n'est pas l'apprendre par cœur. On a besoin de croire en la vérité et dans le mensonge. J'ai besoin de laideur pour avoir du charme.    Dans l'histoire d’Héraclès, on a quelque chose qui vient de Rodicos de Céos, il a fait un apologue d’Héraclès. Héraclès arrive à un carrefour, à la croisée des chemins, juste au carrefour (là où la civilisation plante sont totem) apparaissent 2 femme, une très belle l'autre pas du tout, le vice et la vertu, chacune vente son chemin, le chemin de la vertu est plein de cailloux, sec, pas un arbre, le chemin du vice est ombragé, avec des sources, tout le texte de Rodicos, rapporté par Xenophm, il y a l'argumentation des 2 femmes, le texte s’arrête sur Hercules se mit à réfléchir, on s'en fou de son choix, le plus important c'est de savoir ce qu'on va faire sur son chemin. L'essentiel n'est pas de prendre tel ou tel chemin mais de vivre ressentir ce qu'il y a sur ce chemin.     Le mythe d'Oedipe, est très connu grâce a Freud, car sa lui permet de parler de la pulsion d'un garçon pour sa mère, il n'a gardé qu'une seule énigme, l'autre énigme est claire, mais sa lui a passé sous le nez. Freud est un boiteux, un clochard un SDF, quelqu'un qui titube, qui marche a cloche pied. Oedipe qui signifie pied enflé décent d'une famille de boiteux LABDACIDES, ce mot vient de Lambda , une lettre qui a besoin d'une jambe pour tenir. Oedipe n'est pas encore né, qu'on lui annonce déjà qu'on dit a son père que si il a un fils il va morflé, le mec veux quand même un gosse, il a un gosse, un mec, hors on ne tue pas l'enfant, il lui perce la cheville, il le fait pendre a un arbre, suffisamment bas, là passe un berger, il décroche l'enfant, l'élève, et confie l'enfant au roi et renne de Corinthe. Donc pour lui ses parents sont à Corinthe, il va voir des oracles qui lui disent tu vas tuer son père et épousé sa mère. Il va à la croisée des chemins, entre THEBES ou DAULIS, il choisit Thèbes là où sont vraiment son père et sa mère. I tue son père par accident, lors d'une bagarre. Une fois arrivé a Thèbes il y a un monstre qui pose des devinettes, celle de l'animal qui marche a 4-2-3 pattes. La deuxième énigme > qu'elle est la sœur qui engendre la sœur qui l'engendre a son tour, le jour et la nuit > jour êména, et nuit ênux, deux féminin, il redonne donc du flux a la ville de Thèbes, il perçoit le cycle de la vie. Thèbes veux le récompensé, on lui donne la veuve, sa mère dont il aura 4 enfants 2 filles 2 mecs. Le choix d'Oedipe était donc soit de tué son fils et épousé sa mère ou se faire manger par son père.   Terminologie grec dans le cours car les grecs ont conceptualisé, l'individu n'existe pas avant les grecs. L’individu en lui-même n'a pas grand sens, on a le totem. Avant et après Socrate on n’a pas le même rapport à la mort personnel (Socrate ici donne juste une date). Le rapport a la mort et a l'individualité, nous est dur a assimiler car on pense avec notre pensée moderne. Le principe du yin et du yang est un principe d'interpénétration. La notion du jour est la contamination. On se contamine tout le temps, le mythe est contaminant comme une maladie, elle peut être aussi positive. Sémantique du yin et du yang yin, féminin froid hiver, on peut y trouver lors du solstice d'hiver on a une cérémonie avec des filles tatouée qui se baladent presque a poil, qui se déchaînent, on danse, on fait des dons a Dionysos, on boit de l'alcool on verse du vin sur la terre pour la rendre féconde. Ce déchainement est un lâchage, il a pour but d'appeler le renouvellement de la nature. On hésite pas non plus à dépenser un animal, le démembrer, et le répandre, provocation de l’automutilation, scarifications, faire couler son sang. Aider au renouvellement en plein yin. On se tranche le phallus aussi, on repend du sang signe de semence. Chronos et Ouranos sont deux dieux qui perdent leur virilité, Chronos le fait tombé dans la mer et de là né Aphrodite. L'idée d’offrir sa virilité a un dieux n'a pas de sens en mythe, c'est quelque chose qui rentre dans le yin. L'été, on se raconte des histoires, on boit, on honore Apollon qui apparaît, apparaît donc la raison, on va retenir ses pulsions.     Qui dit intrication dit contamination, Apollon est le divin archée, il envoi des flèches qui apportent la peste dans le camp ennemi, Dionysos contamine avec le délire et la fièvre. Hyperborè, là où vas Apollon pendant le solstice d'hiver, Island Danemark Norvège, traces des voyages, il part en laissant Delphes aux main de Dionysos, ce voyage a un nom > Epidêmia, l'épidémie n'est pas seulement par la maladie, c'est le séjour à l'étranger, on a des traces de contaminations, Apollon est draconien, il assimile le serpent a Delphes serpent en grec drakôn, un jour d'hyperborè descendrons des drakkar(bateaux avec des dragons), contamination de la racine du mot, on a une culture qui se déplace avec le dieux, ce sont des marchands qui partent, des guerriers qui reviennent. On retrouve ici les 3 classes de DUMEZIL ; les prêtres les guerriers et les marchands, qui sont les contaminants. Dionysos est aussi contaminant, il chamboule la Grèce entre le 7e et le 5e siècle, il apporte le rite de la Thiase, a la base Dionysos vient de l'orient c'est celui qui apporte son délire, il sera bien plus tard celui à qui on rendra grâce par le théâtre. Les bacantes des femmes des ménades, c'est qu'on a appelé le sabbat, elles vont a Thèbes construite car on a réveillé un Dragons, les gens de Thèbes ont une craintes en les voyant arrivées, le roi Penthée s'oppose aux ménades, Penthée est contre le délire, mais sa mère est chef de fils des ménades, la lois du sang et de la famille n'est pas toujours prépondérant, il est quand même curieux de savoir pourquoi sa mère est dans ce culte. Penthée se travestie, il est contaminé, le délire a déjà pris le pas, il n'est plus dans Sphrosunê Apollinienne, il est dans l'Hudris, la manïa dionysiaque, il est dans la non distinction des sexes, ça lui permet de rentré dans le rite, une fois rentré dans le mythe il se fait contaminer, le dieux fait prendre le roi pour un lion a ses fidèles, les ménades se jettent dessus, et démembre le lion, roi de Thèbes, la mère démembre donc son fils.     La contamination par l'autre. Sartre « l'enfer c'est les autres », Sartes fait une sorte de contre sens chrétiens, il aurait dû dire les enfers, les enfers des morts y compris les innocents, les autres sont les pharmacoï, la quasi-totalité des mots grecques sont pharmakoï. Deino, sa veux dire terrible, ce qui est à peu près tout en français., c'est celui que l'on reverrer et craindre, Dieu est terrible, Papa aussi. L'autre est un pharmacos, la famille est pharmakos, les chieurs de la famille c'est aussi ceux que nous aimons et qui nous aiment, ils sont pharmakoï.     La schize, on l'est tous un peu, on est facilement schizophrène, c'est une division, dans le texte d'Apulée, est schizophrène, phrène est le diaphragme et l'âme, schizophrène est celui qui divise son âme. Apulée est algérien, le narrateur du deuxième paragraphe se dit grec, comme le héros du livre. Par la schizophrénie in peu se contaminé sois même. Apulée vas multiplié les narrateurs et les débuts de l'histoire, 4 commencements, avec des narrateurs différents. Le narcissique se met en scène, c'est souvent celui qui n'a pas confiance en lui, comme le machiste. Un machiste c'est quelqu'un qui se donne une personnalité de dominant. Le mimétisme est une contamination, c'est grâce a ça que je me construit, j'ai besoin de mes ennemis pour me construire, j'imite donc je deviens. On est dans le Gnôthi seauton, on est dans le connais toi toi même.     La multi-génèrescense qui apparaît dans la schizophrénie, elle est fondamentalement une multi-générécense de la matrice elle-même. L'idée maitresse, tout ce que nous pouvons voir ou percevoir est le fruit d'une multitude de paramètres, y compris organiques, qui constitue que ce qui est perceptible de la réalité, la réalité elle-même n'a aucune forme goût couleur. Le ciel que l'on voit bleu ou gris, nuageux, le ciel est noir, la couleur noir n'est pas une couleur, c'est l'absence de couleur, le ciel n'apparait coloré que par actions du prisme qu'est l'atmosphère et de nos sens. Les autres sont des pharmakoï car non définis, nous sommes des caméléons. Tout ce qui a des noms, des gouts des parfums, c'est nous qui le donnons. La matrice ce n'est pas les formes, ni les coulers que nous y voyons, c'est le plaisir lui-même, c'est le battement de plaisir, sa peut-être aussi le déplaisir. Le sceau nous apparaît rouge, il a toutes les couleurs sauf le rouge mais il nous apparaît rouge. Abysse, une force extra-terrestre en contacts avec des humains dans les fonds marins, pour entrer en contact avec les humains les extra-terrestre ils prennent la forme de l'eau, cette eau qui rentre se trouve face a l’héroïne et prend la forme du visage vue, il y a contamination par le mimétisme. Le contact est établi par la contamination. Le mythe n'a pas de forme, c'est nous qui le lui donnons.      Il s'agit du diner de Platon et d'une expression propre a Platon, la matrice est porte empreinte. Les éléments n’apparaissent jamais sous la même forme, on ne peut pas dire ce que c'est. Ça pose le caractère indescriptible, imperceptible, insaisissable du mythe. Le sceau rouge est rouge car il contient les autres couleurs, ça ne veut donc rien dire qu'il soit rouge.(Diderot) Jaques et son maitre discutent, le maitre veut entendre les histoires des amours de Jaques, le maitre lui dit « dit la chose comme elle est », Jaques « si vous croyez que c'est facile », naissance de la philosophie qui dit que ce qui ne peut être dit il faut le taire, de Wittgenstein. Tout n'est pas dicible. Phrase de Parmenide « Chnê te legueïn te noeïn téon emmenaï(eïnaï) » Il faut récapituler et pressentir que l'étant/le perceptible est, ce qui est de l'ordre du perceptible est de l'ordre de ce qui existe or le perceptible n'est pas l'étant. Ici Eïnaï est emmenaï, donc le participe de lÊtre. Il y a une part divine en l'être humain, c'est son âme (souvent sur la forme d'un être ailé), si nous procédons du divin, il y a quelque chose de l'être en nous,il faut être en attente, disponible, vers tout indice qui nous montre que l'essentiel n'est pas loin. Dès que l'on a envie de pleurer ou de danser en écoutant de la musique, c'est que sa procède du divin, ce n'est pas raisonnable. Tableau de Vinci, Saint Jean Baptiste, 2 indices qui nous disent que ce qu'il y a sur le tableau c'est du bullshit, la représentation est là pour nous montrer autre chose, c'est du sêma, Saint Jean-Baptiste > le cousin du Christ, il est là pour annoncer, pour pressentir que quelqu'un arrive. Il est traité avec la technique de Vinci le sfumato, diluer les contours, le visage ne commence pas, il n'a pas de lignes, avant la peau on a le duvet, sa dilue le visage. Vinci crée une peinture où on ne voit pas où commence le visage, on a pas de trait qui délimite les formes. Ça respire, il y a un battement. 2e indice, le bras droit de Saint Jean-Baptiste, la position tribhanga, tout le corps est en spirale, il spire, il respire. Saint Jean-Baptiste n'est pas tout à fait tribhanga, il a le bras droit monté, il montre quelque chose, il montre le rien, un hors cadre. La représentation n'est pas inutile, c'est une représentation ce qui ne peut pas se représenter, ça montre que l’essentiel est ailleurs. Notre raison (résonance) d'être, n'est pas de montrer que nous sommes essentiel, c'est de ressentir que nous participons a quelque chose qui nous dépasse profondément. Toute religion est basée sur la purification, cette distinction a été le fait de l'humanité pendant des siècles, il ne faut pas faire la distinction entre le corps et l'esprit, on a besoin du corps pour ressentir ce qui nous entoure, qui nous permet de ressentir ce qui est devant nous. On est pas d'un seul sexe, on est a la fois homme et femme, on a une prédominance, on a une fascination pour l’androgénie. Simplicius qui commente le Peri tou Kosmou d'Aristote, « Chnê sôzeïn ta phaïnomena » il faut sauver les apparences, car parmi ses apparences on peu percevoir des signes de quelque chose qui fait partie du vide. Si on dénigre les apparences on est dans l'erreur. Si on cultive la beauté a son maximum, on crée une horreur, c'est ce qu'on reproche aux nazis, vouloir créer une race supérieur, parfaite, qui s'arrête a l’apparence. Une esthétique où le rebut n'existe plus, le bouffon, l'handicapé est important, l'insignifiant est important. Carlos GINSBURGH dans mythes, traces, rites, l'un des chapitres parle du paradizme indiciène, voir Sherlock Holmes, c'est l'insignifiant qui est intéressant, parce que il est signifiant. Le conte de Sérendip, principe de Serendipiti, c'est l'ancien nom du Sry Lanka, un conteur persan raconte l'histoire de 3 princes qui refusent le pouvoir, il sont chasés et constituent leur destin, pleins d'aventures qui tiennent de l'insignifiant. La plus connue de leurs aventura c'est celle du chameau, il y a une trace de pâte, c'est une pâte de chameau, plus loin 2 talus, un brouté l'autre non, le chameau est borgne, il y a une ligne non broutée, il lui manque une dents, il continuent, ils arrivent a 2 tas jaunes, un doré avec des abeilles autour, donc c'est du miel, l'autre est pal avec des fourmis c'est du beurre, plus loin un liquide jaune, c'est du pipi,, c'est celui d'une femme il y a des traces de mains, elle est enceinte, ils arrivent en ville et voient le chamelier, décrivent le chameau se font arrêter et là un mec vient sui dit où est le chameau, le roi qui les a fait arrêter les relâche et lui donne ses 3 filles. On a besoin des apparences pour signifier des choses, pour s'en rendre compte. Voilà quelque chose de fugitif, ça nous échappe, quand on se dit qu'on est bien, on est déjà plus aussi bien, cette répétition est utile. Le Psycho, de Gus Van Sant, séquence presque identique a celui de Hitchcock, mais il y a des petites différences, le rideau de la douche, chez Hitchcock il est unis, chez Van Sant il est Kaléidoscopique, l'ombre apparaît donc plus montreuse. La mise a mort de la fille, la caméra film les pieds, on voit le sang qui part dans le siphon, chez Van Sant la caméra tourne autour du siphon, et aussi autour de l'œil de la victime Hitchcock tourne un peu Van Sant fait un 360°, on est dans la spira. On est dans le principe d'imitation, imiter ce n'est pas copier, c'est faire comme la nature, elle crée du vivant, Vinci crée du vivant, Van Sant recrée Psycho, il crée du vivant, il crée une poiêsis=une production une création. On est dieux quand nous procréons, une des façon d'atteindre l'immortalité est de procréer. Il y a un passage dans un texte latin d'un type né en Algérie, Apulée, dans les Métamorphoses, dans ce roman, il y a un jongleur, un avaleur de sabres, Apulée décrit cette scène, l'avaleur ouvre la bouche, il y fait entrer un épée, le long du jongleur et de l'épée va grimper un enfant, il fait de l'équilibre sur l'épée, ce n'est pas sexuel, sensoriel. Eros, Gaïa, Chaos ; Shiva, Kisna, Braham. On a quelque chose de l'ordre de la disponibilité informelle(Braham Chaos), quelque chose de l'ordre de la contraction(Kisna Gaïa) et quelque chose de l'ordre de la dispersion (Shiva Eros), il y a le désir et la dispersions, cette notion de flux, tout ce qui est de l’ordre de la création est de l'ordre du battement. L'enfant est de l'ordre du daïmôn, du flu anglais, quand on crée on est contaminer, sa peut être positif ou négatif. Le mythe est de l'ordre d'un battement d'aile, le battle est anglais, le beat.    Le mythe n'a pas de forme, il a une valeur, il est peu être notre porte de sortie, notre manière de continuer. Persistance de la matrice, échiquier bonne façon de le montrer, 2 types d’échiquiers, vu celons le fou et la tour, le jeu étant l'un des noms du mythe, pour tout joueur un échiquier c'est une possibilité de combinaisons, évolution du cavalier, de la tour, du fous, même quand l'échiquier est vide on y voit encore les combinaisons multiple de jeux, simultanéité visuel du joueur. La persistance rétinienne pouvait être le cas de Monterosso, on ne sai pas en quoi consiste la chôra, toutes les combinaisons sont possibles. Le dinosaure peu être un Gnothi seaûton. (la terminologie grec et indienne est importante pour le partiel).le dinosaure peu être la chôra, le monde entier. Le plus important de l'exercice n'était pas d'imaginer un scénario, mais de le laisser ouvert > mimêsis (imitation, faire un acte de création, a la manière de la nature). Le guépard de Visconti, raconte le mythe de la durée, se perdre dans une vue de sois. Ne pas rejeter une seule option, dans le jeux, toute les options sont possibles, tant qu'on a pas miser on a pas perdu ni gagner, tous les coups sont permis. L'enfant qui joue, pour lui jouer c'est tricher, il se fout des règles, il est en amont, le but du jeux c'est de s'amuser. Le temps est un enfant qui joue au pessoilles (des dès, des pions a déplacés) : la royauté d'un enfant. Le joueur avance en reculant, il avance les pions en fonction de leur déplacement, il faut avoir un coup d'avance, il faut anticiper pour gagner, échec et mat.idée que tout est contenu dans le mythe, l'enfant, le temps(Aiôn) l'éternité, l’infini. Le mythe est un des nom donné a la totalité de ce qui existe, il n'y a pas de non existant, tout est dans l'existant, il y a l'être et le non être. On est dans le mythe dès que l'on envisage tous les choix possibles sans bon ou mauvais choix. Il y a quelque chose de l'ordre de la dynamique, sans nostalgie, il y a ce qui était et le nouveau. Il ne faut pas donner a la morale l'importance qu'elle n'a pas. Nous sommes dans le mythe dès lors que nous n'avons pas fait une option. La disponibilité est plus importante que la connaissance. Au travers du brassage Vishnou on vas vers une chose qui arrive, émergence que quelque chose. Chez les indiens le créateur Brammah du monde né du nombril de Vishnou, pas de début a la création. Pakal est un roi qui a vécu vers 1500 apr.JC, c'est un maya, son sarcophage > son tombeau = lieu rituel, sur le tombeau des glyphes, celui de Xipo Telec, entrée de l'inframonde, le roi est représenté en train de mourir sur son sarcophage, au moment de mourir, catabase descente aux enfers, à ce moment-là survit l'arbre de vie cheva, c'est une anabase, dans l'arbre il y a un Khi (X), au-dessus de ça, le serpent a double tête, et encore au-dessus un P(rho), encore au-dessus de Quetzal. Cette croie est vitale en mythe, on la retrouve partout, la secte christique a réutilisé le sigle qu'elle utilise, et qui est bien plus vieux qu'elle. Le khi a 5 directions. Toutes les civilisations on toutes perçues ce truc mythique. Le 5e élément est le bond, l'être mythique est celui qui trouve un moyen de continuer.

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